Les putschistes ont promis de convoquer "incessamment les forces vives de la Nation" afin de désigner un "nouveau président du Faso, civil ou militaire".
Dans un communiqué, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) - dont le Burkina est suspendu des instances depuis le coup d'État de janvier - a "condamné avec la plus grande fermeté la prise de pouvoir par la force qui vient de s'opérer". La Cédéao trouve "inopportun ce nouveau coup de force au moment où des progrès ont été réalisés (...) pour un retour à l'ordre constitutionnel au plus tard le 1er juillet 2024".
Dans un communiqué, la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) - dont le Burkina est suspendu des instances depuis le coup d'État de janvier - a "condamné avec la plus grande fermeté la prise de pouvoir par la force qui vient de s'opérer". La Cédéao trouve "inopportun ce nouveau coup de force au moment où des progrès ont été réalisés (...) pour un retour à l'ordre constitutionnel au plus tard le 1er juillet 2024".