C’est l’autre point majeur du discours de Donald Trump dimanche 21 mai à Riyad devant les représentants d'une cinquantaine de nations musulmanes, dont 37 chefs d'État ou de gouvernement. Le président américain a appelé tous les pays à "isoler" l'Iran "en attendant que le régime iranien montre sa volonté d'être un partenaire dans la paix".
"Du Liban à l'Irak en passant par le Yémen, l'Iran finance, arme et entraîne des terroristes, des milices et d'autres groupes terroristes qui répandent la destruction et le chaos à travers la région", a déclaré Donald Trump dans son discours.
Ces remarques n’ont pas manqué de faire réagir les internautes. Beaucoup ont souligné sur Twitter que l’Iran, contrairement à l’Arabie saoudite, venait de vivre des élections présidentielles démocratiques et auxquelles les femmes avaient pu participer.
Le président américain, dont il s'agit de la première visite officielle à l'étranger depuis son entrée en fonctions en janvier, a par ailleurs déclaré être porteur d'un message "d'amitié, d'espoir et d'amour".
Il a en outre exhorté les pays musulmans à n'offrir aucun "refuge aux terroristes" et a annoncé un accord avec les pays du Golfe pour lutter contre le financement du "terrorisme".
Avec AFP
"Du Liban à l'Irak en passant par le Yémen, l'Iran finance, arme et entraîne des terroristes, des milices et d'autres groupes terroristes qui répandent la destruction et le chaos à travers la région", a déclaré Donald Trump dans son discours.
Ces remarques n’ont pas manqué de faire réagir les internautes. Beaucoup ont souligné sur Twitter que l’Iran, contrairement à l’Arabie saoudite, venait de vivre des élections présidentielles démocratiques et auxquelles les femmes avaient pu participer.
Le président américain, dont il s'agit de la première visite officielle à l'étranger depuis son entrée en fonctions en janvier, a par ailleurs déclaré être porteur d'un message "d'amitié, d'espoir et d'amour".
Il a en outre exhorté les pays musulmans à n'offrir aucun "refuge aux terroristes" et a annoncé un accord avec les pays du Golfe pour lutter contre le financement du "terrorisme".
Avec AFP