Défendus par l'avocat franco-espagnol Juan Branco, les plaignants estiment que le PSG a bénéficié du report en France de l'application des règles de fair-play financier de l’UEFA pour s’attacher les services du septuple Ballon d’Or. Ce qui s’assimile, selon eux, à une aide d’État.
Des règles qui « ont contraint le FC Barcelone à se séparer de Messi »
Ces mêmes règles, qui s'appliquaient déjà dans le championnat espagnol, « ont contraint le FC Barcelone à se séparer de Messi », créant ainsi « une distorsion de concurrence dont a profité le PSG ». La décision du Tribunal n’est toutefois pas attendue avant de longs mois.
« Il est considéré que les supporters et les citoyens européens n'ont pas leur mot à dire », a déploré Juan Branco lors de l’audience. Ce à quoi Bruno Stromsky, du service juridique de la Commission, a répondu: « Les disparités dont se plaignent les requérants ne relèvent pas des aides d’État », rappelant par-ailleurs que le FC Barcelone, lui-même, n’avait pas porté plainte.
Des règles qui « ont contraint le FC Barcelone à se séparer de Messi »
Ces mêmes règles, qui s'appliquaient déjà dans le championnat espagnol, « ont contraint le FC Barcelone à se séparer de Messi », créant ainsi « une distorsion de concurrence dont a profité le PSG ». La décision du Tribunal n’est toutefois pas attendue avant de longs mois.
« Il est considéré que les supporters et les citoyens européens n'ont pas leur mot à dire », a déploré Juan Branco lors de l’audience. Ce à quoi Bruno Stromsky, du service juridique de la Commission, a répondu: « Les disparités dont se plaignent les requérants ne relèvent pas des aides d’État », rappelant par-ailleurs que le FC Barcelone, lui-même, n’avait pas porté plainte.