Traque des soirées clandestines - Le ministre de l'Intérieur Antoine Diom descend sur le... terrain
Allier le travail au bureau et le travail sur le terrain s’avère souvent complexe et nécessite une organisation rigoureuse. L’efficacité de ces deux aspects du travail repose sur la coordination optimale des activités avant, pendant et après les actions sur le terrain.
Un élément essentiel pour maintenir la motivation de ses équipes, c'est avant tout d'être avec eux. Être sur le terrain, les accompagner, les conseiller, se rendre compte des difficultés sont autant de tâches du manager on ne peut plus cruciales. Ce qu'a certainement compris l'actuel ministre de l'Intérieur. Antoine Diom, pour ne pas le nommer, a enfilé une tenue décontractée pour descendre sur le théâtre d'opérations.
Le "premier flic du pays" était difficilement identifiable, vendredi soir, entre ses éléments (les policiers mobilisés). Les radars fureteurs de dakarposte ,qui lui ont emboîté le pas à l'occasion de "la traque des soirées clandestines", l'ont vu donner la marche à suivre un peu partout sans laisser transparaître son éreintement.
Sans bomber le torse, Antoine Diom, assez effacé, a donné le la avant de mener à bon port à la fermeture de tous les lieux festifs (lire l'article ci-dessous).
Nos tentatives de lui tirer les vers du nez ont été vaines. Un de ses collaborateurs consentira à lâcher tout de go: "pour l'instant, il n'y a pas de perspectives de réouverture concernant ces établissements de nuit, etc... Ils vont être autorisés à rouvrir si la situation sanitaire le permet."
Un élément essentiel pour maintenir la motivation de ses équipes, c'est avant tout d'être avec eux. Être sur le terrain, les accompagner, les conseiller, se rendre compte des difficultés sont autant de tâches du manager on ne peut plus cruciales. Ce qu'a certainement compris l'actuel ministre de l'Intérieur. Antoine Diom, pour ne pas le nommer, a enfilé une tenue décontractée pour descendre sur le théâtre d'opérations.
Le "premier flic du pays" était difficilement identifiable, vendredi soir, entre ses éléments (les policiers mobilisés). Les radars fureteurs de dakarposte ,qui lui ont emboîté le pas à l'occasion de "la traque des soirées clandestines", l'ont vu donner la marche à suivre un peu partout sans laisser transparaître son éreintement.
Sans bomber le torse, Antoine Diom, assez effacé, a donné le la avant de mener à bon port à la fermeture de tous les lieux festifs (lire l'article ci-dessous).
Nos tentatives de lui tirer les vers du nez ont été vaines. Un de ses collaborateurs consentira à lâcher tout de go: "pour l'instant, il n'y a pas de perspectives de réouverture concernant ces établissements de nuit, etc... Ils vont être autorisés à rouvrir si la situation sanitaire le permet."
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