Une semaine à l’envers pour les Gunners. Quatre jours avant de se déplacer au Parc des Princes pour y jouer son avenir européen, Arsenal s’est incliné pour la deuxième fois de suite à domicile ce samedi, face à Bournemouth en Premier League (1-2). Les Londoniens menaient pourtant à la pause, avant d’être renversés en l’espace de dix minutes par des Cherries très réalistes.
Avec neuf des onze titulaires battus mardi par Paris, les hommes d’Arteta ont connu une entame difficile, ne parvenant pas à mettre le pied sur le ballon. Il a fallu attendre la fin du premier quart d’heure pour voir Declan Rice se signaler, à travers une première tentative trop croisée pour inquiéter Kepa. Meilleur joueur sur le terrain jusqu’à la pause, l’Anglais, sous les yeux de son sélectionneur Thomas Tuchel, a été au four et au moulin, ouvrant le score peu avant la demi-heure de jeu (1-0, 34e). Servi par Odegaard en profondeur, le n°41 a parfaitement fêté sa 100e avec Arsenal en dribblant le portier adverse, avant de conclure dans le but vide.
LES CHERRIES AIMENT DÉCIDÉMENT LES GROS
En tête à la mi-temps, grâce également à un Saliba solide au duel, les locaux pensaient se rassurer entre deux joutes européennes d’une importance capitale. Mais bien qu'ils n'aient pas connu de réelles frayeurs en début de seconde période, hormis quelques relances mal maîtrisées de Raya dans l’axe, il n’a fallu que huit minutes pour remettre cette sérénité apparente en question.
Dix minutes après avoir manqué de faire le break par Saka (57e), une tête décroisée de Huijsen, suite à une longue touche de l’entrant Semenyo (1-1, 68e) a remis les deux équipes à égalité. Pire, habituellement réputés pour être très performants sur coups de pied arrêtés offensifs, les Gunners ont été pris à leur propre jeu, Evanilson devançant Odegaard au deuxième poteau pour tout renverser (1-2, 75e).
PAS D'ÉVIDENCE POUR TROSSARD OU PARTEY
De là, Bournemouth s’est comporté tel un grand du championnat, confisquant le ballon pour s’assurer de ne pas trop reculer. Vainqueurs de Manchester City, Newcastle ou Nottingham Forest ces derniers mois, les Cherries n’ont plus tremblé, jusqu'à s’offrir un improbable 6/6 contre Arsenal cette saison. Un succès anecdotique pour les joueurs d'Andoni Iraola, mais un revers embarrassant pour Arsenal, qui conserve malgré tout sa deuxième place.
Incapable de remettre de l'intensité après les deux buts adverses, les Anglais disposent toujours de nombreux blessés, Trossard ou Partey, en balance pour une place de titulaire, n’ayant pas rassuré. Il faudra à l’évidence bien plus, mercredi, pour faire de leur escapade parisienne une nuit des plus étoilées.
eurosports
Avec neuf des onze titulaires battus mardi par Paris, les hommes d’Arteta ont connu une entame difficile, ne parvenant pas à mettre le pied sur le ballon. Il a fallu attendre la fin du premier quart d’heure pour voir Declan Rice se signaler, à travers une première tentative trop croisée pour inquiéter Kepa. Meilleur joueur sur le terrain jusqu’à la pause, l’Anglais, sous les yeux de son sélectionneur Thomas Tuchel, a été au four et au moulin, ouvrant le score peu avant la demi-heure de jeu (1-0, 34e). Servi par Odegaard en profondeur, le n°41 a parfaitement fêté sa 100e avec Arsenal en dribblant le portier adverse, avant de conclure dans le but vide.
LES CHERRIES AIMENT DÉCIDÉMENT LES GROS
En tête à la mi-temps, grâce également à un Saliba solide au duel, les locaux pensaient se rassurer entre deux joutes européennes d’une importance capitale. Mais bien qu'ils n'aient pas connu de réelles frayeurs en début de seconde période, hormis quelques relances mal maîtrisées de Raya dans l’axe, il n’a fallu que huit minutes pour remettre cette sérénité apparente en question.
Dix minutes après avoir manqué de faire le break par Saka (57e), une tête décroisée de Huijsen, suite à une longue touche de l’entrant Semenyo (1-1, 68e) a remis les deux équipes à égalité. Pire, habituellement réputés pour être très performants sur coups de pied arrêtés offensifs, les Gunners ont été pris à leur propre jeu, Evanilson devançant Odegaard au deuxième poteau pour tout renverser (1-2, 75e).
PAS D'ÉVIDENCE POUR TROSSARD OU PARTEY
De là, Bournemouth s’est comporté tel un grand du championnat, confisquant le ballon pour s’assurer de ne pas trop reculer. Vainqueurs de Manchester City, Newcastle ou Nottingham Forest ces derniers mois, les Cherries n’ont plus tremblé, jusqu'à s’offrir un improbable 6/6 contre Arsenal cette saison. Un succès anecdotique pour les joueurs d'Andoni Iraola, mais un revers embarrassant pour Arsenal, qui conserve malgré tout sa deuxième place.
Incapable de remettre de l'intensité après les deux buts adverses, les Anglais disposent toujours de nombreux blessés, Trossard ou Partey, en balance pour une place de titulaire, n’ayant pas rassuré. Il faudra à l’évidence bien plus, mercredi, pour faire de leur escapade parisienne une nuit des plus étoilées.
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