Le Conseil des ministres du Congo justifie la suspension du contrat d’affermage accordé à la filiale de la Senelec, dénommée Socelec, par «les nombreuses critiques émises dans les médias et sur les réseaux sociaux (…)». Le communiqué ajoute que «les préoccupations soulevées mettent en lumière certaines zones d’ombre entourant le contrat, ce qui a conduit à cette prudente retenue». Il semblerait que les syndicats de la société nationale Energie électrique du Congo (E2c) ont mis une forte pression sur les pouvoirs publics pour que le contrat d’affermage, signé depuis le 26 février, ne puisse pas voir un début d’application.
La République des Valeurs monte au créneau après ces révélations explosives de la presse congolaise concernant SOCELEC, filiale de la SENELEC, au cœur d’un contrat d’affermage trouble avec l’État congolais. Dans une plainte déposée le 16 avril 2025 à Brazzaville par le Cabinet Africa Finances and Advisory, de lourdes accusations sont portées contre la société sénégalaise : escroquerie présumée, corruption, fausses déclarations financières et détournements de fonds.
Les faits évoqués sont alarmants : des fonds fictifs estimés à 300 millions de dollars, une gestion opaque, un train de vie fastueux financé par une société qui n’a même pas encore démarré ses activités, et des transferts de fonds suspects vers le Sénégal, via des circuits non réglementés.
Face à l’ampleur de ces accusations, la République des Valeurs dénonce un scandale de gouvernance qui entache l’image du Sénégal sur la scène internationale. Le parti politique pointe notamment du doigt l’opacité du contrat signé par SOCELEC avec l’État congolais, en l’absence de garanties financières claires et avec un seul administrateur congolais impliqué.
Dans un communiqué, la République des Valeurs appelle les autorités sénégalaises à faire toute la lumière sur cette affaire. Le parti :
Exige du gouvernement une transparence totale sur ce dossier ;
Demande l’ouverture immédiate d’une enquête indépendante sur la gestion de SOCELEC, incluant les responsabilités de la Direction générale de la SENELEC ;
Invite l’Assemblée nationale à mettre en place une commission d’enquête parlementaire.
Rappelant que le secteur énergétique est un levier stratégique du développement national, la République des Valeurs alerte sur les conséquences économiques et diplomatiques d’une telle dérive à l’international. Elle réaffirme son engagement pour une gouvernance éthique, responsable et tournée exclusivement vers l’intérêt du peuple sénégalais.
rewmi
La République des Valeurs monte au créneau après ces révélations explosives de la presse congolaise concernant SOCELEC, filiale de la SENELEC, au cœur d’un contrat d’affermage trouble avec l’État congolais. Dans une plainte déposée le 16 avril 2025 à Brazzaville par le Cabinet Africa Finances and Advisory, de lourdes accusations sont portées contre la société sénégalaise : escroquerie présumée, corruption, fausses déclarations financières et détournements de fonds.
Les faits évoqués sont alarmants : des fonds fictifs estimés à 300 millions de dollars, une gestion opaque, un train de vie fastueux financé par une société qui n’a même pas encore démarré ses activités, et des transferts de fonds suspects vers le Sénégal, via des circuits non réglementés.
Face à l’ampleur de ces accusations, la République des Valeurs dénonce un scandale de gouvernance qui entache l’image du Sénégal sur la scène internationale. Le parti politique pointe notamment du doigt l’opacité du contrat signé par SOCELEC avec l’État congolais, en l’absence de garanties financières claires et avec un seul administrateur congolais impliqué.
Dans un communiqué, la République des Valeurs appelle les autorités sénégalaises à faire toute la lumière sur cette affaire. Le parti :
Exige du gouvernement une transparence totale sur ce dossier ;
Demande l’ouverture immédiate d’une enquête indépendante sur la gestion de SOCELEC, incluant les responsabilités de la Direction générale de la SENELEC ;
Invite l’Assemblée nationale à mettre en place une commission d’enquête parlementaire.
Rappelant que le secteur énergétique est un levier stratégique du développement national, la République des Valeurs alerte sur les conséquences économiques et diplomatiques d’une telle dérive à l’international. Elle réaffirme son engagement pour une gouvernance éthique, responsable et tournée exclusivement vers l’intérêt du peuple sénégalais.
rewmi