Le cap des 18 000 morts est désormais franchi en Espagne. Selon les chiffres du ministère de la Santé, le coronavirus a coûté la vie à 567 personnes ces dernières 24 heures. Un léger rebond de 1,8% par rapport à la veille, alors qu'il croissait de plus de 8% par jour début avril.
L'Espagne reste le pays le plus endeuillé d'Europe derrière l'Italie. Le nombre de cas confirmés s'élève à 172 541, alors que le travail a repris dans certains secteurs de l'économie, mis à l'arrêt pendant deux semaines. Une partie des travailleurs ont repris le chemin des usines et des chantiers et des millions de masques leurs sont distribués dans les gares pour éviter que les transports en commun véhiculent le virus, donnant un nouvel élan à la contagion.
Le confinement général, imposé depuis le 14 mars reste toutefois en vigueur. C'est un des plus stricts d'Europe : seuls les achats de nourriture et de médicaments ou une courte promenade du chien justifient de sortir de chez soi et pas question de laisser sortir les enfants. Le gouvernement estime que 67% des Espagnols ne mettent pas le pied dehors, selon le ministre des Transports José Luis Abalos.
"Les tendances sont bonnes"
Le pays est entrée mardi dans son deuxième mois de confinement strict prévu jusqu'au 25 avril à minuit. Le chef du gouvernement Pedro Sanchez a déjà prévenu qu'il devrait sans doute le prolonger.
Les autorités estiment que le pic de la pandémie a été franchi depuis les 950 morts quotidiennes enregistrées le 2 avril. "Les tendances sont bonnes, en ligne avec ce que nous observons ces dernières semaines", s'est félicité Fernando Simon, directeur du Centre d'urgences sanitaires, qui participait pour la première fois physiquement à la conférence de presse quotidienne après s'être isolé pour avoir contracté le virus.
La baisse de nouveaux cas a permis de soulager les hôpitaux des régions les plus touchées du pays, comme Madrid et la Catalogne, mais "les centres de soins intensifs restent sous pression", a-t-il ajouté.
L'Espagne reste le pays le plus endeuillé d'Europe derrière l'Italie. Le nombre de cas confirmés s'élève à 172 541, alors que le travail a repris dans certains secteurs de l'économie, mis à l'arrêt pendant deux semaines. Une partie des travailleurs ont repris le chemin des usines et des chantiers et des millions de masques leurs sont distribués dans les gares pour éviter que les transports en commun véhiculent le virus, donnant un nouvel élan à la contagion.
Le confinement général, imposé depuis le 14 mars reste toutefois en vigueur. C'est un des plus stricts d'Europe : seuls les achats de nourriture et de médicaments ou une courte promenade du chien justifient de sortir de chez soi et pas question de laisser sortir les enfants. Le gouvernement estime que 67% des Espagnols ne mettent pas le pied dehors, selon le ministre des Transports José Luis Abalos.
"Les tendances sont bonnes"
Le pays est entrée mardi dans son deuxième mois de confinement strict prévu jusqu'au 25 avril à minuit. Le chef du gouvernement Pedro Sanchez a déjà prévenu qu'il devrait sans doute le prolonger.
Les autorités estiment que le pic de la pandémie a été franchi depuis les 950 morts quotidiennes enregistrées le 2 avril. "Les tendances sont bonnes, en ligne avec ce que nous observons ces dernières semaines", s'est félicité Fernando Simon, directeur du Centre d'urgences sanitaires, qui participait pour la première fois physiquement à la conférence de presse quotidienne après s'être isolé pour avoir contracté le virus.
La baisse de nouveaux cas a permis de soulager les hôpitaux des régions les plus touchées du pays, comme Madrid et la Catalogne, mais "les centres de soins intensifs restent sous pression", a-t-il ajouté.