Donald Trump a annoncé vouloir raccourcir le délai qu’il avait initialement fixé à la Russie pour accepter un accord de paix en Ukraine, pour désormais le fixer à 10 à 12 jours. Le président américain a précisé qu'il donnerait confirmation de ce nouveau calendrier à Moscou lundi soir ou mardi matin.
S'exprimant depuis l'Écosse aux côtés du Premier ministre britannique Keir Starmer, Donald Trump a a dit envisager des sanctions "secondaires", visant les pays qui achètent des produits russes, notamment les hydrocarbures, afin d'assécher les revenus de Moscou.
"Je suis déçu par le président Poutine", a-t-il lancé. "Il n’y a aucune raison d’attendre. Nous ne voyons tout simplement aucun progrès. Poutine doit conclure un accord. Trop de gens meurent", a-t-il poursuivi, alors que la Russie a lancé une salve de plus de 300 drones et quatre missiles de croisière et trois missiles balistiques dans la nuit, selon l’armée de l’air ukrainienne.
Lors de la visite à Washington du secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte le 14 juillet dernier, le président américain avait fixé un délai de 50 jours à la Russie pour mettre fin à la guerre, la menaçant de sanctions économiques "très sévères".
Plus tôt encore, lors de sa campagne présidentielle, le dirigeant s'était vanté à plusieurs reprises de pouvoir mettre fin à la guerre de la Russie en Ukraine en un jour.
Kyiv salue la décision de Donald Trump
Le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak a salué les propos de Donald Trump, le remerciant de "faire preuve de fermeté et d’adresser un message clair de paix par la force".
De son côté, le Kremlin a indiqué lundi matin qu’une rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump n’était "pas exclue" en septembre en Chine, si les deux chefs d’État s’y rendent au même moment.
S'exprimant depuis l'Écosse aux côtés du Premier ministre britannique Keir Starmer, Donald Trump a a dit envisager des sanctions "secondaires", visant les pays qui achètent des produits russes, notamment les hydrocarbures, afin d'assécher les revenus de Moscou.
"Je suis déçu par le président Poutine", a-t-il lancé. "Il n’y a aucune raison d’attendre. Nous ne voyons tout simplement aucun progrès. Poutine doit conclure un accord. Trop de gens meurent", a-t-il poursuivi, alors que la Russie a lancé une salve de plus de 300 drones et quatre missiles de croisière et trois missiles balistiques dans la nuit, selon l’armée de l’air ukrainienne.
Lors de la visite à Washington du secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte le 14 juillet dernier, le président américain avait fixé un délai de 50 jours à la Russie pour mettre fin à la guerre, la menaçant de sanctions économiques "très sévères".
Plus tôt encore, lors de sa campagne présidentielle, le dirigeant s'était vanté à plusieurs reprises de pouvoir mettre fin à la guerre de la Russie en Ukraine en un jour.
Kyiv salue la décision de Donald Trump
Le chef de l’administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak a salué les propos de Donald Trump, le remerciant de "faire preuve de fermeté et d’adresser un message clair de paix par la force".
De son côté, le Kremlin a indiqué lundi matin qu’une rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump n’était "pas exclue" en septembre en Chine, si les deux chefs d’État s’y rendent au même moment.