Le juge du troisième cabinet d’instruction du tribunal de Dakar a demandé l’extradition de l’homme d’affaires Doro Gaye, qui séjourne en ce moment en France. Accusé par Zakiroulah Sow de l’avoir grugé dans une affaire foncière, pour 1,2 milliard de francs CFA, ce dernier a été placé sous mandat de dépôt avant de bénéficier d’une liberté provisoire assorti d’un contrôle judiciaire.
Suivant un protocole liant les parties, Doro Gaye s’était engagé à rembourser le montant dû. Mais contre toute attente, il quitte le pays sans l’autorisation du magistrat chargé de son dossier, violant ainsi les termes de son contrôle judiciaire. D’où la demande d’extradition adressée à la justice française.
Appelée le 9 juillet à Paris, l’affaire a été renvoyée au 3 septembre prochain. Il s’agit du deuxième report, selon Les Échos, qui donne l’information.
En prenant cette décision, le juge français chargé du dossier répond favorablement à la demande du procureur général près la cour d’appel de Paris qui, selon le quotidien d’information, «souhaite avoir des informations complémentaires de la part des autorités sénégalaises».
Ainsi, conclut Les Échos, «Zakiroulah Sow devra prendre son mal en patience et s’agissant du juge d’instruction [sénégalais], il lui faudra poursuivre son information judiciaire sans Doro Gaye. Car, l’homme d’affaires ne compte pas fouler le tarmac de l’aéroport de Blaise Diagne Diass de sitôt».
seneweb
Suivant un protocole liant les parties, Doro Gaye s’était engagé à rembourser le montant dû. Mais contre toute attente, il quitte le pays sans l’autorisation du magistrat chargé de son dossier, violant ainsi les termes de son contrôle judiciaire. D’où la demande d’extradition adressée à la justice française.
Appelée le 9 juillet à Paris, l’affaire a été renvoyée au 3 septembre prochain. Il s’agit du deuxième report, selon Les Échos, qui donne l’information.
En prenant cette décision, le juge français chargé du dossier répond favorablement à la demande du procureur général près la cour d’appel de Paris qui, selon le quotidien d’information, «souhaite avoir des informations complémentaires de la part des autorités sénégalaises».
Ainsi, conclut Les Échos, «Zakiroulah Sow devra prendre son mal en patience et s’agissant du juge d’instruction [sénégalais], il lui faudra poursuivre son information judiciaire sans Doro Gaye. Car, l’homme d’affaires ne compte pas fouler le tarmac de l’aéroport de Blaise Diagne Diass de sitôt».
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