L’ancien international du ballon rond et ses présumés acolytes vont , derechef, tenir bon, supporter stoïquement entre quatre murs.
En effet, des informations glanées de sources judiciaires, il s’avère que Cheikh Sidy Bouya Mbengue (à l’état civil) et cie, mis aux arrêts, placés en position de garde à vue dans les locaux de la SU et, encore déférés hier au parquet de Dakar, n’ont pu faire face au maitre des poursuites. Qui devra décider sur leur sort.
En clair, Cheikh Mbengue, l’adolescent et un troisième individu, (présumé complice), cravatés, ont enduré à contrecœur des heures durant l’odeur fétide de la cave du tribunal de grande instance hors classe de Dakar, mais le procureur a préféré ajourner le traitement de leur affaire.
Bénéficiant finalement d’un deuxième retour de parquet, ils seront encore acheminés au parquet ce mercredi aux fins d’être fixés sur leur gratiné cas.
Pour rappel, Cheikh Mbengue, patron d’un centre de football, et compagnie sont tombés dans la souricière des redoutés mais redoutables enquêteurs de la Sureté Urbaine sis au commissariat central de Dakar pour une affaire relative à du faux et usage de faux concernant des documents administratifs frauduleusement confectionnés loin du sol pollué de la capitale Sénégalaise, précisément à Marsassoum.
Affaire à suivre…
B. D.
En effet, des informations glanées de sources judiciaires, il s’avère que Cheikh Sidy Bouya Mbengue (à l’état civil) et cie, mis aux arrêts, placés en position de garde à vue dans les locaux de la SU et, encore déférés hier au parquet de Dakar, n’ont pu faire face au maitre des poursuites. Qui devra décider sur leur sort.
En clair, Cheikh Mbengue, l’adolescent et un troisième individu, (présumé complice), cravatés, ont enduré à contrecœur des heures durant l’odeur fétide de la cave du tribunal de grande instance hors classe de Dakar, mais le procureur a préféré ajourner le traitement de leur affaire.
Bénéficiant finalement d’un deuxième retour de parquet, ils seront encore acheminés au parquet ce mercredi aux fins d’être fixés sur leur gratiné cas.
Pour rappel, Cheikh Mbengue, patron d’un centre de football, et compagnie sont tombés dans la souricière des redoutés mais redoutables enquêteurs de la Sureté Urbaine sis au commissariat central de Dakar pour une affaire relative à du faux et usage de faux concernant des documents administratifs frauduleusement confectionnés loin du sol pollué de la capitale Sénégalaise, précisément à Marsassoum.
Affaire à suivre…
B. D.