Z. Bao, plus connue sous le pseudonyme « Been2 » sur TikTok, proposait en ligne une gamme de produits et d’injections destinés à modifier l’apparence physique : augmentation des seins, des fesses, des hanches ou encore ventre plat. Dans son édition de ce mardi 24 juin, Libération souffle qu’elle a été arrêtée, avec son assistante A. Ndiaye, par la Division spéciale de cybersécurité (DSC), après un signalement lié à de graves complications subies par une cliente.
Cette dernière, M.D. Thiam, étudiante de 25 ans, a confié aux enquêteurs avoir payé 105.000 F CFA pour une injection mammaire, avant de développer une infection sévère : « C'était comme si mes seins pourrissaient », a-t-elle déclaré, selon les propos relayés par Libération.
L’enquête a révélé que les substances utilisées, notamment de l’acide hyaluronique et de l’acide ascorbique, avaient été importées illégalement de Malaisie. Selon l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique, ces produits sont extrêmement dangereux, surtout lorsqu’ils sont administrés par des personnes non qualifiées, pointe la même source. Qui précise que A. Ndiaye, qui réalisait les injections contre 10.000 F CFA, prétendait détenir une attestation en soins infirmiers.
Finalement, les deux femmes ont été déférées au parquet pour association de malfaiteurs et exercice illégal de la pharmacie, conclut Libération.
seneweb
Cette dernière, M.D. Thiam, étudiante de 25 ans, a confié aux enquêteurs avoir payé 105.000 F CFA pour une injection mammaire, avant de développer une infection sévère : « C'était comme si mes seins pourrissaient », a-t-elle déclaré, selon les propos relayés par Libération.
L’enquête a révélé que les substances utilisées, notamment de l’acide hyaluronique et de l’acide ascorbique, avaient été importées illégalement de Malaisie. Selon l’Agence sénégalaise de réglementation pharmaceutique, ces produits sont extrêmement dangereux, surtout lorsqu’ils sont administrés par des personnes non qualifiées, pointe la même source. Qui précise que A. Ndiaye, qui réalisait les injections contre 10.000 F CFA, prétendait détenir une attestation en soins infirmiers.
Finalement, les deux femmes ont été déférées au parquet pour association de malfaiteurs et exercice illégal de la pharmacie, conclut Libération.
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