Le fondateur de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a affirmé ce jeudi 1er mai que "l'islamophobie, le racisme, (sont) l'invention des puissants pour diviser le peuple". Depuis la place d'Italie à Paris, il a livré son traditionnel discours pour la Journée internationale des travailleurs et travailleuses, avant que le cortège ne s'élance vers la place de la Nation.
"Tous les êtres humains aspirent au même petit bonheur: vivre dignement de son salaire, ne pas épuiser son corps ou ses nerfs au travail... Tous les êtres humains, quels que soient leur religion, leur genre, leur couleur de peau", a déclaré Jean-Luc Mélenchon.
Sans le nommer, le chef de file de LFI a fait référence au meurtre d'Aboubakar Cissé, jeune Malien tué de plusieurs dizaines de coups de couteau vendredi dernier dans la mosquée de la petite commune gardoise de La Grand-Combe. "Honte à ceux qui viennent nous dire que c'est de la récupération communautariste que d'affirmer notre compassion, notre identification à la victime de l'islamophobie", a déclaré Jean-Luc Mélenchon ce jeudi. Une attaque qui semble viser le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau.
"Un rassemblement anti-raciste"
Ce dernier a accusé mardi La France insoumise d'avoir "l'indignation sélective". "Quelle indignité de la part de la France insoumise! Y a-t-il eu des manifestations après l'attentat de Mulhouse? Ils choisissent leurs causes", a-t-il aussi dénoncé sur X, alors qu'un rassemblement se tenait dimanche place de République en hommage à Aboubakar Cissé.
Lors de cette manifestation où se trouvaient des représentants de toute la gauche, dont une délégation au grand complet de LFI, Jean-Luc Mélenchon avait accusé Bruno Retailleau d'avoir "entretenu", "des mois durant", un "climat islamophobe".
"Le 1er-Mai est pour nous un rassemblement anti-raciste", a-t-il martelé ce jeudi.
Il a également réclamé, dans son discours, le retour de "la retraite à 60 ans" et appelé le gouvernement à "nationaliser ArcelorMittal". Le géant de la sidérurgie a annoncé un plan de suppression d'environ 600 postes dans ses sites du Nord et de l'Est de la France.
Bfmtv
"Tous les êtres humains aspirent au même petit bonheur: vivre dignement de son salaire, ne pas épuiser son corps ou ses nerfs au travail... Tous les êtres humains, quels que soient leur religion, leur genre, leur couleur de peau", a déclaré Jean-Luc Mélenchon.
Sans le nommer, le chef de file de LFI a fait référence au meurtre d'Aboubakar Cissé, jeune Malien tué de plusieurs dizaines de coups de couteau vendredi dernier dans la mosquée de la petite commune gardoise de La Grand-Combe. "Honte à ceux qui viennent nous dire que c'est de la récupération communautariste que d'affirmer notre compassion, notre identification à la victime de l'islamophobie", a déclaré Jean-Luc Mélenchon ce jeudi. Une attaque qui semble viser le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau.
"Un rassemblement anti-raciste"
Ce dernier a accusé mardi La France insoumise d'avoir "l'indignation sélective". "Quelle indignité de la part de la France insoumise! Y a-t-il eu des manifestations après l'attentat de Mulhouse? Ils choisissent leurs causes", a-t-il aussi dénoncé sur X, alors qu'un rassemblement se tenait dimanche place de République en hommage à Aboubakar Cissé.
Lors de cette manifestation où se trouvaient des représentants de toute la gauche, dont une délégation au grand complet de LFI, Jean-Luc Mélenchon avait accusé Bruno Retailleau d'avoir "entretenu", "des mois durant", un "climat islamophobe".
"Le 1er-Mai est pour nous un rassemblement anti-raciste", a-t-il martelé ce jeudi.
Il a également réclamé, dans son discours, le retour de "la retraite à 60 ans" et appelé le gouvernement à "nationaliser ArcelorMittal". Le géant de la sidérurgie a annoncé un plan de suppression d'environ 600 postes dans ses sites du Nord et de l'Est de la France.
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