Donald Trump va-t-il être reconduit pour quatre années supplémentaires à la Maison-Blanche ou va-t-il céder sa place à l’ancien bras droit de Barack Obama, Joe Biden, le favori des sondages ? Des sondages qui avaient prédit il y a quatre ans la victoire d’Hillary Clinton.
Les sondages vont-ils encore se tromper ?
Le 9 novembre 2016, contre toute attente, Donald Trump était élu à la présidence des Etats-Unis en recueillant pourtant plus de deux millions de voix en moins que sa rivale démocrate. Mais, dans le système électoral américain, ce qui compte c’est de remporter la majorité des grands électeurs. Donald Trump en avait obtenu 306, Hillary Clinton 232.
Le collège électoral américain compte au total 532 membres répartis dans 50 Etats. Celui qui rafle la majorité des 270 grands électeurs est élu à la Maison-Blanche. Certains Etats pèsent lourd dans la balance. La Californie compte à elle seule 55 grands électeurs. Citons aussi le Texas, l’Etat de New York, la Floride, la Pennsylvanie et l’Illinois.
L’autre particularité de ces élections américaines, ce sont les Swing States, les Etats pivots, indécis qui n’ont pas véritablement d’étiquette politique, qui peuvent changer de couleur d’une élection à une autre et qui décident souvent du sort du scrutin. Parmi les Etats pivots : Floride, Caroline du Nord, Pennsylvanie, Wisconsin, Michigan, Arizona, Géorgie, Iowa, Ohio ou Texas.
Le contexte inédit de la pandémie
Ces élections américaines se déroulent dans le contexte inédit de la pandémie qui a fait près de 230 000 morts aux Etats-Unis et plongé le pays dans une récession historique. Outre la crise sanitaire et économique, cette campagne électorale a été marquée par les tensions raciales après la mort de George Floyd et d’autres Afro-américains.
Les sondages vont-ils encore se tromper ?
Le 9 novembre 2016, contre toute attente, Donald Trump était élu à la présidence des Etats-Unis en recueillant pourtant plus de deux millions de voix en moins que sa rivale démocrate. Mais, dans le système électoral américain, ce qui compte c’est de remporter la majorité des grands électeurs. Donald Trump en avait obtenu 306, Hillary Clinton 232.
Le collège électoral américain compte au total 532 membres répartis dans 50 Etats. Celui qui rafle la majorité des 270 grands électeurs est élu à la Maison-Blanche. Certains Etats pèsent lourd dans la balance. La Californie compte à elle seule 55 grands électeurs. Citons aussi le Texas, l’Etat de New York, la Floride, la Pennsylvanie et l’Illinois.
L’autre particularité de ces élections américaines, ce sont les Swing States, les Etats pivots, indécis qui n’ont pas véritablement d’étiquette politique, qui peuvent changer de couleur d’une élection à une autre et qui décident souvent du sort du scrutin. Parmi les Etats pivots : Floride, Caroline du Nord, Pennsylvanie, Wisconsin, Michigan, Arizona, Géorgie, Iowa, Ohio ou Texas.
Le contexte inédit de la pandémie
Ces élections américaines se déroulent dans le contexte inédit de la pandémie qui a fait près de 230 000 morts aux Etats-Unis et plongé le pays dans une récession historique. Outre la crise sanitaire et économique, cette campagne électorale a été marquée par les tensions raciales après la mort de George Floyd et d’autres Afro-américains.