Donald Trump s'est rendu ce vendredi soir dans le Dakota du Sud pour un meeting de campagne.
De nombreux manifestants s'étaient rassemblés pour dénoncer sa venue.
Le milliardaire américain avait choisi de s'exprimer au pied du Mont Rushmore, célèbre pour les sculptures de quatre présidents américains taillées dans la falaise.
Devant ses partisans, le candidat républicain s'est fait le défenseur d'une Amérique "fière" et "forte", passant sous silence les dégâts causés par l'épidémie de coronavirus.
"Nous allons dire la vérité telle qu'elle est, sans nous excuser : les Etats-Unis d'Amérique sont le pays le plus juste et le plus exceptionnel ayant jamais existé sur la Terre", a-t-il affirmé devant des partisans conquis.
En plein débat sur les symboles de l'Histoire du pays, et alors que des statues de généraux confédérés ont été mises à terre par des manifestants antiracistes, Donald Trump a dénoncé "une campagne visant à effacer notre histoire, diffamer nos héros, supprimer nos valeurs et endoctriner nos enfants". Et de promettre la fermeté face aux manifestants.
"Je déploie des forces de l'ordre fédérales pour protéger nos monuments, arrêter les émeutiers et poursuivre ceux violent les lois qui s'appliquent à tous. (...) Les personnes qui ont endommagé ou défiguré des statuts ou monuments fédéraux se verront infliger des peines d'au moins 10 ans de prison" dixit Donald Trump
président américain
De nombreuses voix s'élèvent aux Etats-Unis pour dénoncer un racisme profondément ancré. Le débat a été relancé avec la mort de George Floyd fin mai. Cet Afro-américain est décédé lors de son arrestation par des policiers blancs.
Ce drame a suscité une vague de colère contre les brutalités policières. Cela a réactivé le mouvement anti-raciste "Black Lives Matter" ("La vie des Noirs compte"). Et cela s'accompagne de dégradation de monuments ou de statues à l'effigie de personnalités controversées, jugées esclavagistes ou racistes.
De nombreux manifestants s'étaient rassemblés pour dénoncer sa venue.
Le milliardaire américain avait choisi de s'exprimer au pied du Mont Rushmore, célèbre pour les sculptures de quatre présidents américains taillées dans la falaise.
Devant ses partisans, le candidat républicain s'est fait le défenseur d'une Amérique "fière" et "forte", passant sous silence les dégâts causés par l'épidémie de coronavirus.
"Nous allons dire la vérité telle qu'elle est, sans nous excuser : les Etats-Unis d'Amérique sont le pays le plus juste et le plus exceptionnel ayant jamais existé sur la Terre", a-t-il affirmé devant des partisans conquis.
En plein débat sur les symboles de l'Histoire du pays, et alors que des statues de généraux confédérés ont été mises à terre par des manifestants antiracistes, Donald Trump a dénoncé "une campagne visant à effacer notre histoire, diffamer nos héros, supprimer nos valeurs et endoctriner nos enfants". Et de promettre la fermeté face aux manifestants.
"Je déploie des forces de l'ordre fédérales pour protéger nos monuments, arrêter les émeutiers et poursuivre ceux violent les lois qui s'appliquent à tous. (...) Les personnes qui ont endommagé ou défiguré des statuts ou monuments fédéraux se verront infliger des peines d'au moins 10 ans de prison" dixit Donald Trump
président américain
De nombreuses voix s'élèvent aux Etats-Unis pour dénoncer un racisme profondément ancré. Le débat a été relancé avec la mort de George Floyd fin mai. Cet Afro-américain est décédé lors de son arrestation par des policiers blancs.
Ce drame a suscité une vague de colère contre les brutalités policières. Cela a réactivé le mouvement anti-raciste "Black Lives Matter" ("La vie des Noirs compte"). Et cela s'accompagne de dégradation de monuments ou de statues à l'effigie de personnalités controversées, jugées esclavagistes ou racistes.