La pandémie de Covid-19 qui a particulièrement affecté les secteurs du tourisme et du transport aérien, a fait chuter de 52% le trafic de l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD), a révélé jeudi à Keur Moussa (Thiès), le directeur général de la société gestionnaire de l’Aéroport Limak-Aibd-Summa (LAS).
"En fin novembre, nous avons enregistré une perte de trafic de - 52%, ce qui est énorme, mais qui est relativement bien meilleur que ce que nous pouvons voir dans les autres aéroports, particulièrement en Europe", a soutenu Xavier Mary.
Le DG de LAS prenait part à la cérémonie de réception d’une salle de classe, construite par sa société à l’école élémentaire du village de Gapp, dans la commune de Keur Moussa, dans le cadre de la responsabilité sociétale d’entreprise (RSE).
M. Mary a relevé que l’AIBD a fêté, le 7 décembre dernier, un troisième anniversaire "morose", à cause de la pandémie.
"Nous faisons tous les efforts avec notre équipe et notre personnel de manière à offrir une bon qualité de service à nos passagers", a-t-il ajouté, en parlant d’une situation "tendue et difficile", du fait de la crise sanitaire.
L’école du village de Gapp, peuplé d’environ 650 habitants, a étrenné une 5-ème salle de classe d’une valeur de 6 millions de francs CFA, grâce à la politique de RSE de l’AIBD.
Il s’agit, pour le patron de la société aéroportuaire, de contribuer à l’atteinte des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, notamment ceux relatifs à une éducation de qualité et à la réduction des inégalités.
Le maire de Keur Moussa, Momar Ciss, a salué le "partenariat fécond" que l’AIBD a noué avec sa commune située à une dizaine de kilomètres de l’aéroport.
Toutefois, la construction d’un mur de clôture et d’une sixième salle de classe, pour compléter le cycle de la structure scolaire, s’avère nécessaire, a plaidé le directeur de l’école de Gapp, Assane Samb.
L’école a vu son effectif passer de 119 élèves l’année dernière à 146, cette année, avec des salles de 20 à 30 apprenants chacune.
M. Samb s’est réjoui du lot de cahiers, de stylos et de craies offert par LAS. Il a signalé un manque de manuels scolaires, que de nombreux parents du village n’ont pas les moyens d’acheter pour leurs enfants.
aps
"En fin novembre, nous avons enregistré une perte de trafic de - 52%, ce qui est énorme, mais qui est relativement bien meilleur que ce que nous pouvons voir dans les autres aéroports, particulièrement en Europe", a soutenu Xavier Mary.
Le DG de LAS prenait part à la cérémonie de réception d’une salle de classe, construite par sa société à l’école élémentaire du village de Gapp, dans la commune de Keur Moussa, dans le cadre de la responsabilité sociétale d’entreprise (RSE).
M. Mary a relevé que l’AIBD a fêté, le 7 décembre dernier, un troisième anniversaire "morose", à cause de la pandémie.
"Nous faisons tous les efforts avec notre équipe et notre personnel de manière à offrir une bon qualité de service à nos passagers", a-t-il ajouté, en parlant d’une situation "tendue et difficile", du fait de la crise sanitaire.
L’école du village de Gapp, peuplé d’environ 650 habitants, a étrenné une 5-ème salle de classe d’une valeur de 6 millions de francs CFA, grâce à la politique de RSE de l’AIBD.
Il s’agit, pour le patron de la société aéroportuaire, de contribuer à l’atteinte des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, notamment ceux relatifs à une éducation de qualité et à la réduction des inégalités.
Le maire de Keur Moussa, Momar Ciss, a salué le "partenariat fécond" que l’AIBD a noué avec sa commune située à une dizaine de kilomètres de l’aéroport.
Toutefois, la construction d’un mur de clôture et d’une sixième salle de classe, pour compléter le cycle de la structure scolaire, s’avère nécessaire, a plaidé le directeur de l’école de Gapp, Assane Samb.
L’école a vu son effectif passer de 119 élèves l’année dernière à 146, cette année, avec des salles de 20 à 30 apprenants chacune.
M. Samb s’est réjoui du lot de cahiers, de stylos et de craies offert par LAS. Il a signalé un manque de manuels scolaires, que de nombreux parents du village n’ont pas les moyens d’acheter pour leurs enfants.
aps