Le miracle a failli arriver sur un penalty inespéré de Yannick Carrasco, obtenu au bout du bout du temps additionnel. Mais le Belge a manqué sa tentative avant de voir Saul Niguez envoyer le ballon sur la barre de la tête. Cet échec et le match nul concédé par l’Atlético de Madrid contre le Bayer Leverkusen (2-2) éliminent les Colchoneros de la Ligue des champions dès la phase de poules. Le FC Porto est, lui, qualifié. Les Espagnols regretteront leurs carences défensives et leur manque d’efficacité devant le but adverse.
Un match est terminé, non pas quand le coup de sifflet final est donné, mais quand le VAR en a décidé. Clément Turpin l’a appris au terme des six minutes de temps additionnel. Rappelé par ses assistants pour une main dans la surface du Bayer Leverkusen, l’arbitre français a désigné le point de penalty et fait passer l’Atlético pour un véritable phénix.
Contraints à l’emporter au Wanda Metropolitano pour croire aux huitièmes de finale suite au large succès de Porto à Bruges (4-0), les Colchoneros ont attendu une grosse mi-temps pour se mettre dedans. Le temps de passer à côté après un premier acte gâché (2-1) par un manque de créativité devant et des erreurs payées chères par les Madrilènes derrière, à l’image de cette perte de balle de Griezmann sur l’ouverture du score de Moussa Diaby (9e), puis de celle de Correa sur le deuxième de Callum Hudson-Odoi (29e). Des erreurs inhabituelles que les Colchoneros n’ont pas compensé, en panne d’inspiration dans un 4-4-2 amorphe, symbolisé par un Morata hors des radars et vite sorti au profit de Matheus Cunha (61e).
GRIEZMANN FRUSTRÉ
Les entrées dès l’entame du second acte de Rodrigo de Paul et Saul Niguez conjuguées au passage des hommes de Diego Simeone en 3-5-2 ont constitué un tournant, vite suivi par l’égalisation du premier nommé, dont l’activité a beaucoup pesé. Les Colchoneros ont retrouvé ce qui a fait leur succès depuis une décennie sous le coach argentin : une grosse agressivité sur le porteur et des projections rapides balle au pied.
Mais Carrasco (60e), buteur dans le premier acte, et surtout Griezmann (58e, 60e, 81e) ont soit manqué de réussite, soit buté sur un excellent Hradecky. Le gardien finlandais est l’homme du match puisqu’il a repoussé en toute fin de match le penalty inespéré du même Carrasco. L’entrée trop tardive de Joao Felix (87e), éventuellement imputable à Diego Simeone au vu du contexte, peut aussi être pointée du doigt.
L’Atlético est éliminé de la C1 dès la phase de poules pour la première fois depuis 2017. Un coup d’arrêt net dans un groupe B pourtant abordable, duquel le Club Bruges et le FC Porto se sont finalement extirpés de manière surprenante. La Ligue des champions réserve parfois de belles surprises, et des fins de match surprenantes.
Un match est terminé, non pas quand le coup de sifflet final est donné, mais quand le VAR en a décidé. Clément Turpin l’a appris au terme des six minutes de temps additionnel. Rappelé par ses assistants pour une main dans la surface du Bayer Leverkusen, l’arbitre français a désigné le point de penalty et fait passer l’Atlético pour un véritable phénix.
Contraints à l’emporter au Wanda Metropolitano pour croire aux huitièmes de finale suite au large succès de Porto à Bruges (4-0), les Colchoneros ont attendu une grosse mi-temps pour se mettre dedans. Le temps de passer à côté après un premier acte gâché (2-1) par un manque de créativité devant et des erreurs payées chères par les Madrilènes derrière, à l’image de cette perte de balle de Griezmann sur l’ouverture du score de Moussa Diaby (9e), puis de celle de Correa sur le deuxième de Callum Hudson-Odoi (29e). Des erreurs inhabituelles que les Colchoneros n’ont pas compensé, en panne d’inspiration dans un 4-4-2 amorphe, symbolisé par un Morata hors des radars et vite sorti au profit de Matheus Cunha (61e).
GRIEZMANN FRUSTRÉ
Les entrées dès l’entame du second acte de Rodrigo de Paul et Saul Niguez conjuguées au passage des hommes de Diego Simeone en 3-5-2 ont constitué un tournant, vite suivi par l’égalisation du premier nommé, dont l’activité a beaucoup pesé. Les Colchoneros ont retrouvé ce qui a fait leur succès depuis une décennie sous le coach argentin : une grosse agressivité sur le porteur et des projections rapides balle au pied.
Mais Carrasco (60e), buteur dans le premier acte, et surtout Griezmann (58e, 60e, 81e) ont soit manqué de réussite, soit buté sur un excellent Hradecky. Le gardien finlandais est l’homme du match puisqu’il a repoussé en toute fin de match le penalty inespéré du même Carrasco. L’entrée trop tardive de Joao Felix (87e), éventuellement imputable à Diego Simeone au vu du contexte, peut aussi être pointée du doigt.
L’Atlético est éliminé de la C1 dès la phase de poules pour la première fois depuis 2017. Un coup d’arrêt net dans un groupe B pourtant abordable, duquel le Club Bruges et le FC Porto se sont finalement extirpés de manière surprenante. La Ligue des champions réserve parfois de belles surprises, et des fins de match surprenantes.