Le chemin vers la finale de la Ligue des champions à Istanbul continue pour l'Inter ! En quart de finale retour de la C1 2022-2023, l'Internazionale s'est qualifiée pour le dernier carré de la compétition au terme d'un match nul à spectacle contre Benfica (3-3). Victorieuse au match aller, la formation milanaise a globalement dominé les débats au stade Giuseppe-Meazza mais a laissé revenir son adversaire en toute fin de match à cause d'une forme de décompression liée à l'absence de suspense sur l'identité du futur demi-finaliste. Grand artisan de cette qualification lombarde, Nicolo Barella a joué un rôle prépondérant au milieu de terrain. En demi-finale, l'Inter va affronter le voisin de l'AC Milan, une rencontre déjà attendue par toute une ville.
L'Italie peut sourire : elle sera au rendez-vous de la finale organisée à Istanbul le 10 juin prochain. Reste désormais à savoir quel club de Milan sera présent sur la pelouse. AC Milan ou Inter ? Les paris sont lancés. Quoi qu'il en soit, cette double confrontation va rappeler celle de la saison 2002-2003, une époque où le football italien dominait la scène européenne de la tête et des épaules. Vingt ans plus tard, la donne est bien différente mais l'Italie aura le droit de rêver à un successeur attendu depuis... L'Inter, en 2010. Ce mercredi soir, les Nerazzurri se sont facilités la tâche pour croire en leur rêve de soulever une quatrième C1 dans leur histoire.
BARELLA, ET L'ITALIE EST LÀ
Débutée sur un rythme de sénateur, la rencontre s'est emballée sur le premier tir de la rencontre. Sur son pied gauche, Barella a envoyé une frappe enroulée imparable dans la lucarne d'Odysseas Vlachodimos (14e, 1-0). Solide tactiquement, cette Inter a pris un avantage psychologique sur son adversaire et s'est mise à endormir progressivement la rencontre. Heureusement pour le spectacle, Benfica a trouvé la faille pour égaliser juste avant la pause : Fredrik Aursnes a catapulté sa tête sous la barre d'André Onana (38e, 1-1). À la mi-temps, le doute était encore permis sur le futur adversaire de l'AC Milan.
En seconde période, Roger Schmidt a rapidement pris des risques avec l'entrée du virevoltant ailier David Neres. Le match s'est animé, mais dans les faits, l'Inter a été la première équipe à marquer une deuxième fois. Sur un centre de Federico Dimarco, Lautaro Martinez s'est débloqué pour mettre son équipe définitivement à l'abri d'une élimination surprise (66e, 2-1). Libérée, l'Inter s'est envolée par l'intermédiaire de Joaquin Correa, fraîchement entré en jeu, d'un enroulé du pied droit (78e, 3-1). Avec l'assurance de disputer la demi-finale, les hommes de Simone Inzaghi ont diminué leur pressing et l'intensité de jeu a drastiquement baissé, de quoi permettre à Benfica de relever la tête. Si Neres a trouvé le poteau (83e), Antonio Silva a réduit l'écart de la tête (86e, 3-2) puis Petar Musa a arraché l'égalisation pour l'honneur (95e, 3-3). Peu importe : à Milan, l'essentiel est désormais ailleurs.
L'Italie peut sourire : elle sera au rendez-vous de la finale organisée à Istanbul le 10 juin prochain. Reste désormais à savoir quel club de Milan sera présent sur la pelouse. AC Milan ou Inter ? Les paris sont lancés. Quoi qu'il en soit, cette double confrontation va rappeler celle de la saison 2002-2003, une époque où le football italien dominait la scène européenne de la tête et des épaules. Vingt ans plus tard, la donne est bien différente mais l'Italie aura le droit de rêver à un successeur attendu depuis... L'Inter, en 2010. Ce mercredi soir, les Nerazzurri se sont facilités la tâche pour croire en leur rêve de soulever une quatrième C1 dans leur histoire.
BARELLA, ET L'ITALIE EST LÀ
Débutée sur un rythme de sénateur, la rencontre s'est emballée sur le premier tir de la rencontre. Sur son pied gauche, Barella a envoyé une frappe enroulée imparable dans la lucarne d'Odysseas Vlachodimos (14e, 1-0). Solide tactiquement, cette Inter a pris un avantage psychologique sur son adversaire et s'est mise à endormir progressivement la rencontre. Heureusement pour le spectacle, Benfica a trouvé la faille pour égaliser juste avant la pause : Fredrik Aursnes a catapulté sa tête sous la barre d'André Onana (38e, 1-1). À la mi-temps, le doute était encore permis sur le futur adversaire de l'AC Milan.
En seconde période, Roger Schmidt a rapidement pris des risques avec l'entrée du virevoltant ailier David Neres. Le match s'est animé, mais dans les faits, l'Inter a été la première équipe à marquer une deuxième fois. Sur un centre de Federico Dimarco, Lautaro Martinez s'est débloqué pour mettre son équipe définitivement à l'abri d'une élimination surprise (66e, 2-1). Libérée, l'Inter s'est envolée par l'intermédiaire de Joaquin Correa, fraîchement entré en jeu, d'un enroulé du pied droit (78e, 3-1). Avec l'assurance de disputer la demi-finale, les hommes de Simone Inzaghi ont diminué leur pressing et l'intensité de jeu a drastiquement baissé, de quoi permettre à Benfica de relever la tête. Si Neres a trouvé le poteau (83e), Antonio Silva a réduit l'écart de la tête (86e, 3-2) puis Petar Musa a arraché l'égalisation pour l'honneur (95e, 3-3). Peu importe : à Milan, l'essentiel est désormais ailleurs.