À l’occasion d’un atelier de renforcement des capacités pour les journalistes des régions de Kaolack, Fatick et Kaffrine, Moussa THIAM, président du Cadre de réflexion et d’action des journalistes sur l’hygiène, l’eau et l’assainissement (CRAJHEA), a souligné le rôle essentiel des médias dans la protection de la santé publique et de l’environnement.
Selon M. THIAM, le centre du pays fait face à des défis structurels persistants en matière d’hygiène, d’eau et d’assainissement, notamment la salinité de l’eau, les inondations urbaines récurrentes et la faiblesse du réseau d’assainissement.
Face à ces problématiques, le président du CRAJHEA a insisté sur la nécessité pour les journalistes de fournir une « information fiable, rigoureuse et accessible aux populations ».
« Notre mission de journalistes est d’être au cœur de ces enjeux », a déclaré Moussa THIAM, ajoutant que « informer ne suffit plus ».
Il nous faut désormais vérifier, analyser, croiser les données et innover dans nos formats. »
Vers un journalisme d’investigation et de données
Pour remplir cette mission, M. THIAM a appelé ses confrères à adopter de nouvelles approches journalistiques.
Il a encouragé l’investissement dans le journalisme de données (Data Journalism), la vérification des faits (fact-checking), l’investigation et l’exploration de nouveaux formats narratifs comme les podcasts et les reportages multimédias.
En adoptant ces pratiques, la presse peut se positionner comme un « véritable acteur » du développement et mieux accompagner les politiques publiques, tout en répondant aux attentes des populations, a-t-il conclu.
dakaractu
Selon M. THIAM, le centre du pays fait face à des défis structurels persistants en matière d’hygiène, d’eau et d’assainissement, notamment la salinité de l’eau, les inondations urbaines récurrentes et la faiblesse du réseau d’assainissement.
Face à ces problématiques, le président du CRAJHEA a insisté sur la nécessité pour les journalistes de fournir une « information fiable, rigoureuse et accessible aux populations ».
« Notre mission de journalistes est d’être au cœur de ces enjeux », a déclaré Moussa THIAM, ajoutant que « informer ne suffit plus ».
Il nous faut désormais vérifier, analyser, croiser les données et innover dans nos formats. »
Vers un journalisme d’investigation et de données
Pour remplir cette mission, M. THIAM a appelé ses confrères à adopter de nouvelles approches journalistiques.
Il a encouragé l’investissement dans le journalisme de données (Data Journalism), la vérification des faits (fact-checking), l’investigation et l’exploration de nouveaux formats narratifs comme les podcasts et les reportages multimédias.
En adoptant ces pratiques, la presse peut se positionner comme un « véritable acteur » du développement et mieux accompagner les politiques publiques, tout en répondant aux attentes des populations, a-t-il conclu.
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