Le pape et le chef du gouvernement libanais se sont rencontrés en tête-à-tête pendant vingt minutes. Dans un communiqué, le Vatican souligne que cette rencontre a permis d'aborder la crise politique et les conditions socio-économiques difficiles des Libanais. Le Saint-Siège souhaite que « la justice, les réformes nécessaires et le soutien de la communauté internationale contribuent à améliorer le sort du pays du Cèdre ».
Cette rencontre a également été l'occasion de rappeler l'importance de « promouvoir non seulement la notion de pleine citoyenneté pour tous les Libanais », mais aussi la coexistence pacifique entre les communautés. À l'issue de cet entretien, François a expliqué que le Liban était « un message, mais aussi une promesse pour laquelle il faut se battre ».
Le pape a assuré les Libanais de ses prières dans ces moments très difficiles qu'ils vivent actuellement, et rappelé son engagement et son travail « afin qu'un effort commun puisse prendre forme pour aider le Liban à se remettre sur pied », selon le Saint-Siège.
Najib Mikati a quant à lui offert au souverain pontife un cadeau très symbolique : une brique d'une église melkite de Beyrouth, détruite dans l'incendie du port le 4 août 2020.
Cette rencontre a également été l'occasion de rappeler l'importance de « promouvoir non seulement la notion de pleine citoyenneté pour tous les Libanais », mais aussi la coexistence pacifique entre les communautés. À l'issue de cet entretien, François a expliqué que le Liban était « un message, mais aussi une promesse pour laquelle il faut se battre ».
Le pape a assuré les Libanais de ses prières dans ces moments très difficiles qu'ils vivent actuellement, et rappelé son engagement et son travail « afin qu'un effort commun puisse prendre forme pour aider le Liban à se remettre sur pied », selon le Saint-Siège.
Najib Mikati a quant à lui offert au souverain pontife un cadeau très symbolique : une brique d'une église melkite de Beyrouth, détruite dans l'incendie du port le 4 août 2020.