Inculpé pour escroquerie avant d’être placé sous mandat de dépôt par le juge du Pool financier, Abo Mbacké ou «Amir Abo» sollicite une liberté provisoire. L’homme d’affaires, accusé d’avoir fait croire à une commerçante qu’il est l’ami du Premier ministre, avant d’empocher 100 millions de la dame Mame Diarra Tall, a été inculpé à la suite de la plainte de cette dernière.
La Chambre d’accusation lui a accordé la liberté provisoire, puisqu’il avait remboursé, mais c’était sans compter avec le pourvoi du parquet général. Le 15 mai prochain, la Cour suprême va statuer sur ledit pourvoi, rapporte Les Échos.
Selon les juges de la juridiction d’instruction de recours, Abo Mbacké a remboursé l’argent à la plaignante et il n’y a donc aucune nécessité à le retenir en prison puisqu’il n’y a plus d’autres victimes.
D’après Les Échos, la dame a indiqué qu’elle avait un bon du trésor et Abo Mbacké lui a fait croire qu’il est l’ami du Premier ministre Ousmane Sonko. Il a ainsi demandé à la commerçante de lui remettre 100 millions de FCFA. Cette dernière s’est alors exécutée.
Selon le journal, elle rendra compte que cette amitié évoquée par Abo Mbacké avec le Premier ministre jamais existé. Finalement, l’homme d’affaires va rembourser intégralement à la dame son argent.
Mais ce n’était pas fini puisque l’architecte Pierre Goudiaby Atépa est également venu se plaindre. Il a été mis en rapport avec Abo Mbacké par Matar Diop de Subatel.
Pour le ferrer, il lui a fait croire, selon lui, qu’il est le conseiller du prince héritier Mohamed Ben Salmane. Il a ainsi demandé à l’architecte de lui faire une maquette qu’il va présenter au prince qui souhaite construire une villa au Sénégal. Finalement, ce ne serait que du bluff. Amir Abo a nié s’être fait passer pour un conseiller du prince.
Toujours selon Les Échos, lors de la perquisition faite à son domicile, les enquêteurs de la Division des investigations criminelles ont découvert des autocollants avec des inscriptions qui renvoient au Prince Ben Salmane, des photomontages accrochés aux murs et dans lesquelles on le voyait prétendument en compagnie du prince.
Les dénégations d’Abo Mbacké ne l’ont pas fait échapper à la prison. Toutefois, la Chambre d’accusation a accédé à sa demande de mise en liberté provisoire. Reste à savoir ce que va dire la Cour suprême à la suite du pourvoi du Parquet général.
rewmi
La Chambre d’accusation lui a accordé la liberté provisoire, puisqu’il avait remboursé, mais c’était sans compter avec le pourvoi du parquet général. Le 15 mai prochain, la Cour suprême va statuer sur ledit pourvoi, rapporte Les Échos.
Selon les juges de la juridiction d’instruction de recours, Abo Mbacké a remboursé l’argent à la plaignante et il n’y a donc aucune nécessité à le retenir en prison puisqu’il n’y a plus d’autres victimes.
D’après Les Échos, la dame a indiqué qu’elle avait un bon du trésor et Abo Mbacké lui a fait croire qu’il est l’ami du Premier ministre Ousmane Sonko. Il a ainsi demandé à la commerçante de lui remettre 100 millions de FCFA. Cette dernière s’est alors exécutée.
Selon le journal, elle rendra compte que cette amitié évoquée par Abo Mbacké avec le Premier ministre jamais existé. Finalement, l’homme d’affaires va rembourser intégralement à la dame son argent.
Mais ce n’était pas fini puisque l’architecte Pierre Goudiaby Atépa est également venu se plaindre. Il a été mis en rapport avec Abo Mbacké par Matar Diop de Subatel.
Pour le ferrer, il lui a fait croire, selon lui, qu’il est le conseiller du prince héritier Mohamed Ben Salmane. Il a ainsi demandé à l’architecte de lui faire une maquette qu’il va présenter au prince qui souhaite construire une villa au Sénégal. Finalement, ce ne serait que du bluff. Amir Abo a nié s’être fait passer pour un conseiller du prince.
Toujours selon Les Échos, lors de la perquisition faite à son domicile, les enquêteurs de la Division des investigations criminelles ont découvert des autocollants avec des inscriptions qui renvoient au Prince Ben Salmane, des photomontages accrochés aux murs et dans lesquelles on le voyait prétendument en compagnie du prince.
Les dénégations d’Abo Mbacké ne l’ont pas fait échapper à la prison. Toutefois, la Chambre d’accusation a accédé à sa demande de mise en liberté provisoire. Reste à savoir ce que va dire la Cour suprême à la suite du pourvoi du Parquet général.
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