Décidément, le football africain vit une période bien compliquée alors que se profile le coup d'envoi de la CAN-2019 (21 juin-19 juillet) en Égypte. Au lendemain de la décision de la Confédération africaine de football d'annoncer que la finale de la Ligue des champions africaine serait finalement rejouée, la Fifa a confirmé que le président de l'instance africaine, Ahmad Ahmad, avait été interpellé par la justice française, jeudi 6 juin.
L'organisation qui patronne le football mondial a précisé dans un communiqué n'être "pas au courant des détails de cette enquête" et ne pas pouvoir "faire de commentaire à ce sujet". Selon le média Jeune Afrique, Ahmad Ahmad a été entendu par les services de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). Il serait question d'une enquête portant sur une rupture de contrat unilatérale avec l'équipementier Puma afin de privilégier une société française, Tactical Steel.
Le mois dernier, le comité d'éthique de la Fifa avait été saisi par le secrétaire général de la CAF, Amr Fahmy, sur des soupçons de corruption et de harcèlement sexuel à l'encontre d'Ahmad Ahmad. Dans la foulée, le secrétaire général avait été limogé.
L'organisation qui patronne le football mondial a précisé dans un communiqué n'être "pas au courant des détails de cette enquête" et ne pas pouvoir "faire de commentaire à ce sujet". Selon le média Jeune Afrique, Ahmad Ahmad a été entendu par les services de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). Il serait question d'une enquête portant sur une rupture de contrat unilatérale avec l'équipementier Puma afin de privilégier une société française, Tactical Steel.
Le mois dernier, le comité d'éthique de la Fifa avait été saisi par le secrétaire général de la CAF, Amr Fahmy, sur des soupçons de corruption et de harcèlement sexuel à l'encontre d'Ahmad Ahmad. Dans la foulée, le secrétaire général avait été limogé.