Du spectacle et des buts mais aucun vainqueur : le choc a tenu toutes ses promesses. Comme à l'aller, Manchester City et Liverpool se sont rendu coup pour coup au cours d'une exhibition de jeu servie dimanche à l’Etihad Stadium (2-2). Les Skyblues ont d'abord submergé des Reds étonnamment fébriles en première période. Pris à la gorge d’entrée par Kevin De Bruyne (5e), Liverpool a réagi par l‘intermédiaire de Diogo Jota (13e), avant de plier le genou devant Gabriel Jesus (37e). Sur une passe lumineuse de Mohamed Salah, Sadio Mané a confirmé le regain des Reds après la pause (46e). Toujours pas d'ascendant pris entre Pep Guardiola et Jürgen Klopp, qui vont ferrailler jusqu'au bout pour le titre de champion.
Propulsée au sommet de la scène européenne, la rencontre entre les deux mastodontes du royaume, pilotés par deux des entraîneurs les plus emblématiques de la décennie, promettait un spectacle et une tension dignes des thrillers les plus excitants. Poussé par un stade comble, Manchester City a immédiatement passé la surmultipliée. Quelques minutes de rodage et Kevin De Bruyne a perforé le rideau de Liverpool. Et plutôt deux fois qu’une. Sur la première percée, Raheem Sterling a loupé son face-à-face. Sur la seconde, le Belge s’est chargé de tout, même s’il a été bien aidé par une déviation malheureuse de Joël Matip et un poteau rentrant (5e).
Étrangement tendus et fébriles, les Reds ont été méconnaissables au cours d’un premier acte disputé avec le frein à main. Malgré l’égalisation de Diogo Jota à la suite d’une combinaison entre les deux latéraux des Scousers (13e), Liverpool a longtemps affiché un stress patent. Preuve en est, les sorties hasardeuses d’Alisson, pas si serein dimanche.
Plus mordant, les Skyblues ont parfaitement parasité le milieu adverse, avec une pression haute et efficace. La tête sous l’eau dans le dernier quart d’heure de la première période, le club de la Mersey a essuyé occasions sur occasions (29e, 35e, 36e). Jusqu’à ce but de Gabriel Jesus, titulaire surprise et bien heureux du marquage inexistant d’Alexander-Arnold, souvent pris dans son dos en première période (37e). Le KO n’était pas loin, sans un sauvetage d’Andrew Robertson devant Sterling (43e).
Propulsée au sommet de la scène européenne, la rencontre entre les deux mastodontes du royaume, pilotés par deux des entraîneurs les plus emblématiques de la décennie, promettait un spectacle et une tension dignes des thrillers les plus excitants. Poussé par un stade comble, Manchester City a immédiatement passé la surmultipliée. Quelques minutes de rodage et Kevin De Bruyne a perforé le rideau de Liverpool. Et plutôt deux fois qu’une. Sur la première percée, Raheem Sterling a loupé son face-à-face. Sur la seconde, le Belge s’est chargé de tout, même s’il a été bien aidé par une déviation malheureuse de Joël Matip et un poteau rentrant (5e).
Étrangement tendus et fébriles, les Reds ont été méconnaissables au cours d’un premier acte disputé avec le frein à main. Malgré l’égalisation de Diogo Jota à la suite d’une combinaison entre les deux latéraux des Scousers (13e), Liverpool a longtemps affiché un stress patent. Preuve en est, les sorties hasardeuses d’Alisson, pas si serein dimanche.
Plus mordant, les Skyblues ont parfaitement parasité le milieu adverse, avec une pression haute et efficace. La tête sous l’eau dans le dernier quart d’heure de la première période, le club de la Mersey a essuyé occasions sur occasions (29e, 35e, 36e). Jusqu’à ce but de Gabriel Jesus, titulaire surprise et bien heureux du marquage inexistant d’Alexander-Arnold, souvent pris dans son dos en première période (37e). Le KO n’était pas loin, sans un sauvetage d’Andrew Robertson devant Sterling (43e).