C'est connu: l’injure et la diffamation publique, qu’elles soient effectuées en ligne ou par voie de presse traditionnelle, se définissent comme des délits de presse, soumis au régime de la loi sur la liberté de la presse.
Nous voulons dire par-là que si la dame Ndèye Maty Fall croit qu'elle a été diffamée, elle n'a qu'à saisir la Justice qui va, à coup sur, trancher. Et de ce fait nous répondrons preuves à l'appui. Jusque-là nous maintenons nos écrits. Afin que nul n'en ignore, nous ne sommes pas habités par une volonté de nuire ni au ministre en question encore moins à sa désormais ex épouse en l'occurrence Ndèye Maty Fall.
Il s'est agi d'un fait divers sur lequel nous sommes tombés et que nous avons exploité.
Nous tenons à préciser que nous ne connaissons ni d'Eve ni d'Adam les deux ex époux.
Encore une fois, Dakarposte.com, né il y'a presque une année se veut un journal en ligne sérieux et professionnel. Parce que, "la connaissance s'acquiert par l'expérience, tout le reste n'est que de l'information", nous avons cité, l'illustre Albert Einstein.
Au demeurant, l'équipe de jeunes journalistes et de vieux briscards qui m'entourent, sommes conscients de la gravité de la responsabilité : informer vite, juste et vrai. C’est pourquoi, nous nous sommes fixés bien des objectifs dans le professionnalisme et la rigueur du traitement de l'information.
Tout en bannissant les attaques ad hominem [crypto-personnelles] nous procéderons toujours à la triple vérification de l’information. D'ailleurs, ayant beau tenter de joindre la désormais ex Mme Mangara aux fins de recueillir sa version , nous lui avons finalement laissé des messages vocaux sur son numéro portable (7763...)
Nous tenons à préciser une fois de plus que nous privilégions sérieusement l'investigation dans tous les domaines...
Cela dit, www.dakarposte.com n'est pas un site de pression ou de chantage, nous ne sommes et ne serons le bras armé de personne. Nous ne servons et ne servirons guère de tribune à aucune chapelle. Seul informer vite, juste et vrai restera notre crédo.
"Les journalistes payent un très lourd tribut à la liberté d'informer, à la volonté de transmettre, à l'audace de déplaire, au courage de comprendre", défendait Claude Barolone, le président de l’Assemblée nationale français. C’est notre cas.
Ci dessous, voici ce que nous écrivions que nous maintenons:
La vérité sur le divorce entre le ministre du Budget Birima Mangara et sa deuxième femme Ndèye Maty Fall... Cocu, le ministre "himself" a fini par demander le divorce parce que son ex épouse le trompait avec ...un gigolo
Contrairement à ce qui a été dit et écrit ça et là, dakarposte.com, qui a "creusé, est en mesure de révéler les faits tels qu'ils se sont passés.
En un mot comme en mille, nous avons pu glaner que cela fait plus de... deux ans que le discret ministre du budget Birima Mangara nourrissait des soupçons sur la fidélité de son deuxième épouse Ndèye Maty Fall.
Cette dernière ignorait qu'elle était surveillée comme de l'huile sur le feu. En clair, la bonne dame , "qui se la coulait douce" ne se doutait pas qu'elle faisait l'objet d'une discrète filature.
Comme toute chose à une fin, elle sera prise la main dans le sac. Son mari polygame, qui disposait d'assez d'informations sur elle, découvrira , la mort dans l'âme, le pot aux roses. Et, comment?
Des sms d'une vulgarité assez renversante qu'elle s'envoyait constamment avec son jeune amant (dont nous détenons les copies) seront alors découverts par le ministre. Qui plus est, le ministre a failli tomber à la renverse lorsqu'il aperçoit le jeune amant sortir sur la pointe des pieds de l'appartement de Mme Mangara.
Quoi que cocu, le ministre "gardera son calme olympien", continuant ses investigations sans tambour ni trompette.
Pis, la dame, qui a récemment sacrifié au rituel du pèlérinage aux lieux saints de l'Islam, enverra des sms depuis la ...Mecque à son jeune amant. D'ailleurs sur l'un des sms, le gigolo aura quand même la jugeote de donner des conseils à sa "tata" en lui demandant de s'acquitter au moins de son "Hajj" en attendant de revenir savourer encore son "nekh c..." (affriolante qu...)" pour reprendre les écrits des sms les uns plus salaces que les autres.
C'est ainsi que le jeune amant de Maty Fall, qui a eu le culot de venir assister aux festivités marquant le retour de sa "tata" dans la propre résidence du couple Mangara, sera vite interpelé pour ne pas dire pris au collet par le ministre cocu. Sachant que les carottes étaient cuites, le gigolo (dont nous tairons en attendant l'identité) passera sans ambages à table avant de s'amender. Non sans filer le contenu de ses échanges de textos avec sa "tata".
C'est à son coeur défendant, c'est à dire évitant que cette ignominie s'ébruite, que Birima Mangara s'est résolu à divorcer d'avec Maty Fall. "Qui crie partout que le ministre l'aurait abandonné alors qu'elle bénéficie encore du gite où l'a installé son désormais ex mari depuis leur union" pour paraphraser une source au parfum de cet esclandre.
Nous nous en arrêtons là en attendant un éventuel rebondissement de cette aventure extra-conjugale mais aussi et surtout l'audience dans le fond prévu, sauf revirement, le 03 novembre prochain!
Mamadou Ndiaye
Dirpub www.dakarposte.com
Mail: njaydakarposte@gmail.com
Nous voulons dire par-là que si la dame Ndèye Maty Fall croit qu'elle a été diffamée, elle n'a qu'à saisir la Justice qui va, à coup sur, trancher. Et de ce fait nous répondrons preuves à l'appui. Jusque-là nous maintenons nos écrits. Afin que nul n'en ignore, nous ne sommes pas habités par une volonté de nuire ni au ministre en question encore moins à sa désormais ex épouse en l'occurrence Ndèye Maty Fall.
Il s'est agi d'un fait divers sur lequel nous sommes tombés et que nous avons exploité.
Nous tenons à préciser que nous ne connaissons ni d'Eve ni d'Adam les deux ex époux.
Encore une fois, Dakarposte.com, né il y'a presque une année se veut un journal en ligne sérieux et professionnel. Parce que, "la connaissance s'acquiert par l'expérience, tout le reste n'est que de l'information", nous avons cité, l'illustre Albert Einstein.
Au demeurant, l'équipe de jeunes journalistes et de vieux briscards qui m'entourent, sommes conscients de la gravité de la responsabilité : informer vite, juste et vrai. C’est pourquoi, nous nous sommes fixés bien des objectifs dans le professionnalisme et la rigueur du traitement de l'information.
Tout en bannissant les attaques ad hominem [crypto-personnelles] nous procéderons toujours à la triple vérification de l’information. D'ailleurs, ayant beau tenter de joindre la désormais ex Mme Mangara aux fins de recueillir sa version , nous lui avons finalement laissé des messages vocaux sur son numéro portable (7763...)
Nous tenons à préciser une fois de plus que nous privilégions sérieusement l'investigation dans tous les domaines...
Cela dit, www.dakarposte.com n'est pas un site de pression ou de chantage, nous ne sommes et ne serons le bras armé de personne. Nous ne servons et ne servirons guère de tribune à aucune chapelle. Seul informer vite, juste et vrai restera notre crédo.
"Les journalistes payent un très lourd tribut à la liberté d'informer, à la volonté de transmettre, à l'audace de déplaire, au courage de comprendre", défendait Claude Barolone, le président de l’Assemblée nationale français. C’est notre cas.
Ci dessous, voici ce que nous écrivions que nous maintenons:
La vérité sur le divorce entre le ministre du Budget Birima Mangara et sa deuxième femme Ndèye Maty Fall... Cocu, le ministre "himself" a fini par demander le divorce parce que son ex épouse le trompait avec ...un gigolo
Contrairement à ce qui a été dit et écrit ça et là, dakarposte.com, qui a "creusé, est en mesure de révéler les faits tels qu'ils se sont passés.
En un mot comme en mille, nous avons pu glaner que cela fait plus de... deux ans que le discret ministre du budget Birima Mangara nourrissait des soupçons sur la fidélité de son deuxième épouse Ndèye Maty Fall.
Cette dernière ignorait qu'elle était surveillée comme de l'huile sur le feu. En clair, la bonne dame , "qui se la coulait douce" ne se doutait pas qu'elle faisait l'objet d'une discrète filature.
Comme toute chose à une fin, elle sera prise la main dans le sac. Son mari polygame, qui disposait d'assez d'informations sur elle, découvrira , la mort dans l'âme, le pot aux roses. Et, comment?
Des sms d'une vulgarité assez renversante qu'elle s'envoyait constamment avec son jeune amant (dont nous détenons les copies) seront alors découverts par le ministre. Qui plus est, le ministre a failli tomber à la renverse lorsqu'il aperçoit le jeune amant sortir sur la pointe des pieds de l'appartement de Mme Mangara.
Quoi que cocu, le ministre "gardera son calme olympien", continuant ses investigations sans tambour ni trompette.
Pis, la dame, qui a récemment sacrifié au rituel du pèlérinage aux lieux saints de l'Islam, enverra des sms depuis la ...Mecque à son jeune amant. D'ailleurs sur l'un des sms, le gigolo aura quand même la jugeote de donner des conseils à sa "tata" en lui demandant de s'acquitter au moins de son "Hajj" en attendant de revenir savourer encore son "nekh c..." (affriolante qu...)" pour reprendre les écrits des sms les uns plus salaces que les autres.
C'est ainsi que le jeune amant de Maty Fall, qui a eu le culot de venir assister aux festivités marquant le retour de sa "tata" dans la propre résidence du couple Mangara, sera vite interpelé pour ne pas dire pris au collet par le ministre cocu. Sachant que les carottes étaient cuites, le gigolo (dont nous tairons en attendant l'identité) passera sans ambages à table avant de s'amender. Non sans filer le contenu de ses échanges de textos avec sa "tata".
C'est à son coeur défendant, c'est à dire évitant que cette ignominie s'ébruite, que Birima Mangara s'est résolu à divorcer d'avec Maty Fall. "Qui crie partout que le ministre l'aurait abandonné alors qu'elle bénéficie encore du gite où l'a installé son désormais ex mari depuis leur union" pour paraphraser une source au parfum de cet esclandre.
Nous nous en arrêtons là en attendant un éventuel rebondissement de cette aventure extra-conjugale mais aussi et surtout l'audience dans le fond prévu, sauf revirement, le 03 novembre prochain!
Mamadou Ndiaye
Dirpub www.dakarposte.com
Mail: njaydakarposte@gmail.com