Visiblement affaibli à cause d’un état de santé chancelant, mais le verbe haut, documents en main, notre interlocuteur a, pour faire court, anéanti Madiambal Diagne avec des révélations mortelles.
En effet, ce ponte de l’ancien régime, qui était au parfum de tout ce qui se tramait au plus haut sommet de l’Establishment, faisait partie du cercle restreint qui était en bonne intelligence avec l’ancien “homme fort” du pays, nous voulons nommer Macky Sall.
« Pour dire vrai, ce personnage sulfureux m’indiffère » disait-il de Madiambal Diagne avant de renchérir : « Par contre, je suis en colère lorsque je le vois, comme beaucoup d’autres de ses semblables sautiller dans le paysage politico-médiatique, revêtant le manteau du donneur de leçons. Leur exercice favori revient à sermonner des gens qui ne sont pas des malotrus, qui n’ont pas été mêlés à de sales histoires de mœurs rapidement étouffées, qui n’ont pas été radiés de leur corps de métier pour vente de documents administratifs, qui n’ont pas été pris la main dans le sac dans une affaire de corruption portant sur 200 millions de francs Cfa, avant qu’il ne se donne en un spectacle avilissant pour tous les journalistes sénégalais dans le bureau du Président Abdoulaye Wade, en 2006. Etc. »
Invité à être plus explicite, il laissera entendre : «
Madiambal Diagne et bien d’autres donneurs de leçons dans ce pays font qu’on a trop souvent envie de s’étrangler de rage. Ils sont comme tous les chats : le jour, ils sont divers, la nuit, ils sont communs, c’est-à-dire gris. A mon humble avis, c’est une œuvre de salubrité publique que de les dénoncer, car ils prennent les Sénégalais pour des demeurés. Ce sont les personnes les moins habilitées à nous parler de morale et d’amoralité, pourtant ce sont elles qui occupent en permanence le devant de la scène politico-médiatico-religieuse pour pomper l’air aux honnêtes Sénégalais. Et à mon avis, le danger qui nous guette, les Sénégalais et l’Etat, s’amplifie dans la mesure où nous avons tendance à opposer à ses usurpateurs le silence et l’indifférence, alors qu’il sied de les dénoncer et de les combattre. Edmund Burke a eu raison de dire que «le mal n’a besoin que de l’inaction des gens de bien».
A la suite de la publication dans les réseaux sociaux de deux documents portant attribution en sa faveur de terrains, l’un à Niaga Peulh d’une superficie de 5750 m2, l’autre à Bambilor de 02 hectares, les Sénégalais ont rapidement compris que Madiambal Diagne, le vitupérateur de ceux qu’il qualifie de bradeurs de nos terres, a été grassement servi. Seulement, ces Sénégalais sont loin de s’imaginer à quel point Madiambal Diagne a été grassement servi… »
Poussé jusque dans ses derniers retranchements pour être plus clair et précis, le Monsieur, au nombre des « visiteurs du soir » chez l’ex chef de l’État donc intime, lâche tout de go : « Soyez un peu plus patient pour me permettre de clore mon propos sur le point précité » avant d’embrayer : « Sentant le besoin de s’expliquer, tel un arroseur arrosé, Madiambal Diagne, n’a fait que s’enfoncer. Le terrain de Niaga Peulh, il l’aurait «acheté auprès de Mamadou Pierre en 2013». Seulement, le document rendu public ayant comme objet «Extrait de la délibération N°0004/2014/CTPN en date du 1er décembre 2014» dit en son article 1er : «Il est attribué à Madiambal Diagne CNI N°1 619 1963 03279 un terrain à usage agricole d’une superficie de 5750 m2 sis Niaga Peulh (voir plan)». Ledit document fait à Tivaouane Peulh le 23 février 2015 porte les cachets et signatures du maire, Momar Sokhna Diop, et du représentant de l’Etat, Bathie Diouf.
Je ne suis pas un expert dans le domaine du foncier, et je suis assez prudent pour tenir des affirmations dont je suis sûr, tout de même il nous doit des explications soutenables. C’est un certain Mamadou Pierre qui lui a vendu le terrain ou est-ce une attribution de la Commune de Tivaouane Peulh-Niaga ? Si c’est un achat, quel est le montant de la transaction ? Nulle part dans ledit document, il n’est mentionné un achat. Il s’agit bien d’une attribution sollicitée auprès de la mairie de Tivaouane Peulh. »
Quid des 02 hectares de Bambilor ?
« Il nous dit que c’est une «attribution spontanée» au profit de la Sci Pharaon qui «n’a jamais formulé une demande sur le site». Donc, au Sénégal on peut se réveiller un beau jour, et être propriétaire de 02 hectares du domaine national sans en avoir fait la demande auprès de l’Etat ? Ou alors, le Directeur des Domaines a subtilisé sa carte d’identité nationale pour établir l’attribution ?
Au passage, en grand orfèvre de la tortuosité verbale, Madiambal Diagne parle de la Sci Pharaon comme d’une société qui lui est presque étrangère, alors qu’elle lui appartient.
Niaga Peulh et Bambilor sont les arbres qui cachent son appétit foncier démesuré et ses possessions dans ce domaine. »
Que dire du fameux mais prestigieux immeuble de 16 étages au cœur de l’esclandre judiciaire et financier ?
Avide d’en savoir un peu plus, le Monsieur , « garde rapprochée » de l’exilé de Marrakech , qui le tutoie et avec lequel il a de tous temps entretenu des relations franches, explique qu’entre Niagua Peulh, Bambilor, Toubab Dialaw, Ouakam, Ngor, Almadies et Grand-Dakar, l’ex greffier, viré pour avoir frauduleusement ouvert des scelles (Madiambal Diagne) est assis sur cinquante neuf mille (59 000) mètres carrés ou, si vous préférez 5,9 hectares. (Il brandit des documents) avant de dire : « Lisez ces documents pour savoir si je suis un plaisantin ou si ce que je dis est vrai . Et, vous savez quoi ? Son immeuble R +16 en face du monument de la renaissance à côté du restaurant « le Melo » a été bâti sur une superficie de 1000 m2 a raison de 3 appartements par niveau ce qui fait un total de 48 appartements»
À vos calculettes, il nous revient que chaque appartement du fameux immeuble est évalué actuellement à 300 millions de nos francs.
L’homme, notre interlocuteur, habitué de la fameuse villa de Mermoz où il se rendait presque tous les soirs aux fins de converser avec l’ex Président de la République de révéler : « En dehors de Niaga Peulh et Bambilor, il a 03 hectares à Touba Dialaw, soit 30 000 mètres carrés. A Ouakam, il dispose de 1 546 mètres carrés répartis en quatre terrains qui font 164, 180, 204 et 998 mètres carrés. C’est l’équivalent de la superficie de dix maisons. Je doute que le maire de Ouakam ou le Jaraaf aient la moitié de ce que Madiambal Diagne possède dans cette localité.
Aux Almadies, son épouse et gérante de la Sci Pharaon, a 600 mètres carrés.
Enfin, à Grand-Dakar, c’est un terrain de 612 mètres carrés qui lui revient.
En somme, le Madiambal Diagne, qui dénonce la bamboula foncière, est assis sur 58 508 mètres carrés ou 5,85 hectares. C’est ce qu’on appelle avoir du culot !
Et ce listing n’est pas exhaustif ! Faites un tour à la Somone et au Super Plateau près du Monument de la Renaissance… » N’est ce pas ahurissant ?
« Beaucoup d’autres choses motivent, poursuit-il, Madiambal Diagne. Interrogez la raison de sa démission de la direction de son entreprise «Avenir Communication», creusez et vous comprendrez les actes qu’il pose présentement. Seulement, au terme de ses manœuvres et calculs, il risque de se retrouver avec deux plus deux qui ne font pas quatre »
Lorsque nous lui avons fait la remarque comme quoi il n’en demeure pas moins que la responsabilité de leur régime est engagée, il coupe avant de marteler : « Soyons tout de même sérieux ! Je vous vois venir. Qu’est-ce que le Président Macky Sall a à voir dans des mic mac fonciers au niveau de Communautés rurales ? Croyez-vous qu’il soit à ce point inoccupé pour passer à la loupe toutes les attributions faites par les Domaines à Ouakam, Ngor et Almadies, dans le but de savoir que derrière Pathé, bénéficiaire sur le papier, se cache Mademba ?
Mais, à mes yeux, il y a une exigence : identifier toutes les personnes de la chaîne administrative qui ont participé à ce forfait pour le bénéfice d’une seule et unique personne.
Le problème de l’occupation du littoral est un problème sérieux, et à ce propos, ce n’est simplement à Dakar que Madiambal Diagne occupe une partie du littoral. Mais, à mon humble avis, je crois qu’il y a plus sérieux : s’attaquer à cette mafia qui a permis à tant de personnes dont un cartouchard, ancien greffier parti des tribunaux de fort honteuse manière, devenu journaliste par effraction, de se retrouver en dix ans propriétaire de près de 59 000 mètres carrés de terre dans des conditions douteuses »
Tout de même, les gens ont été estomaqués d’apprendre qu’ au lendemain de son article virulent, Madiambal Diagne a été reçu au Palais…
« Vous n’attendez quand même pas de moi que je commente sur la place publique les audiences du Président de la République ?
Ceci dit, il est plus indiqué de questionner la moralité de ce donneur de leçons. Lundi, il diffame sur la place publique celui qu’il dit être son ami. Mardi, il se précipite à son bureau. En sort pour aller à la télé tenir un discours aux antipodes de celui de la veille. Dire de cette personne qu’elle est une girouette, c’est faire preuve d’une grande gentillesse. Madiambal Diagne invente des histoires pour salir le Président Macky Sall dans le seul et unique but de faire chanter, je le canarde en exhumant les cadavres qu’il a planqués dans ses tiroirs. C’est simple. »
Solo Quotidien, qui épluche encore d’autres dossiers concernant « Sa Pekess » , vous promet d’y revenir avec une ébauche de détails.
En effet, ce ponte de l’ancien régime, qui était au parfum de tout ce qui se tramait au plus haut sommet de l’Establishment, faisait partie du cercle restreint qui était en bonne intelligence avec l’ancien “homme fort” du pays, nous voulons nommer Macky Sall.
« Pour dire vrai, ce personnage sulfureux m’indiffère » disait-il de Madiambal Diagne avant de renchérir : « Par contre, je suis en colère lorsque je le vois, comme beaucoup d’autres de ses semblables sautiller dans le paysage politico-médiatique, revêtant le manteau du donneur de leçons. Leur exercice favori revient à sermonner des gens qui ne sont pas des malotrus, qui n’ont pas été mêlés à de sales histoires de mœurs rapidement étouffées, qui n’ont pas été radiés de leur corps de métier pour vente de documents administratifs, qui n’ont pas été pris la main dans le sac dans une affaire de corruption portant sur 200 millions de francs Cfa, avant qu’il ne se donne en un spectacle avilissant pour tous les journalistes sénégalais dans le bureau du Président Abdoulaye Wade, en 2006. Etc. »
Invité à être plus explicite, il laissera entendre : «
Madiambal Diagne et bien d’autres donneurs de leçons dans ce pays font qu’on a trop souvent envie de s’étrangler de rage. Ils sont comme tous les chats : le jour, ils sont divers, la nuit, ils sont communs, c’est-à-dire gris. A mon humble avis, c’est une œuvre de salubrité publique que de les dénoncer, car ils prennent les Sénégalais pour des demeurés. Ce sont les personnes les moins habilitées à nous parler de morale et d’amoralité, pourtant ce sont elles qui occupent en permanence le devant de la scène politico-médiatico-religieuse pour pomper l’air aux honnêtes Sénégalais. Et à mon avis, le danger qui nous guette, les Sénégalais et l’Etat, s’amplifie dans la mesure où nous avons tendance à opposer à ses usurpateurs le silence et l’indifférence, alors qu’il sied de les dénoncer et de les combattre. Edmund Burke a eu raison de dire que «le mal n’a besoin que de l’inaction des gens de bien».
A la suite de la publication dans les réseaux sociaux de deux documents portant attribution en sa faveur de terrains, l’un à Niaga Peulh d’une superficie de 5750 m2, l’autre à Bambilor de 02 hectares, les Sénégalais ont rapidement compris que Madiambal Diagne, le vitupérateur de ceux qu’il qualifie de bradeurs de nos terres, a été grassement servi. Seulement, ces Sénégalais sont loin de s’imaginer à quel point Madiambal Diagne a été grassement servi… »
Poussé jusque dans ses derniers retranchements pour être plus clair et précis, le Monsieur, au nombre des « visiteurs du soir » chez l’ex chef de l’État donc intime, lâche tout de go : « Soyez un peu plus patient pour me permettre de clore mon propos sur le point précité » avant d’embrayer : « Sentant le besoin de s’expliquer, tel un arroseur arrosé, Madiambal Diagne, n’a fait que s’enfoncer. Le terrain de Niaga Peulh, il l’aurait «acheté auprès de Mamadou Pierre en 2013». Seulement, le document rendu public ayant comme objet «Extrait de la délibération N°0004/2014/CTPN en date du 1er décembre 2014» dit en son article 1er : «Il est attribué à Madiambal Diagne CNI N°1 619 1963 03279 un terrain à usage agricole d’une superficie de 5750 m2 sis Niaga Peulh (voir plan)». Ledit document fait à Tivaouane Peulh le 23 février 2015 porte les cachets et signatures du maire, Momar Sokhna Diop, et du représentant de l’Etat, Bathie Diouf.
Je ne suis pas un expert dans le domaine du foncier, et je suis assez prudent pour tenir des affirmations dont je suis sûr, tout de même il nous doit des explications soutenables. C’est un certain Mamadou Pierre qui lui a vendu le terrain ou est-ce une attribution de la Commune de Tivaouane Peulh-Niaga ? Si c’est un achat, quel est le montant de la transaction ? Nulle part dans ledit document, il n’est mentionné un achat. Il s’agit bien d’une attribution sollicitée auprès de la mairie de Tivaouane Peulh. »
Quid des 02 hectares de Bambilor ?
« Il nous dit que c’est une «attribution spontanée» au profit de la Sci Pharaon qui «n’a jamais formulé une demande sur le site». Donc, au Sénégal on peut se réveiller un beau jour, et être propriétaire de 02 hectares du domaine national sans en avoir fait la demande auprès de l’Etat ? Ou alors, le Directeur des Domaines a subtilisé sa carte d’identité nationale pour établir l’attribution ?
Au passage, en grand orfèvre de la tortuosité verbale, Madiambal Diagne parle de la Sci Pharaon comme d’une société qui lui est presque étrangère, alors qu’elle lui appartient.
Niaga Peulh et Bambilor sont les arbres qui cachent son appétit foncier démesuré et ses possessions dans ce domaine. »
Que dire du fameux mais prestigieux immeuble de 16 étages au cœur de l’esclandre judiciaire et financier ?
Avide d’en savoir un peu plus, le Monsieur , « garde rapprochée » de l’exilé de Marrakech , qui le tutoie et avec lequel il a de tous temps entretenu des relations franches, explique qu’entre Niagua Peulh, Bambilor, Toubab Dialaw, Ouakam, Ngor, Almadies et Grand-Dakar, l’ex greffier, viré pour avoir frauduleusement ouvert des scelles (Madiambal Diagne) est assis sur cinquante neuf mille (59 000) mètres carrés ou, si vous préférez 5,9 hectares. (Il brandit des documents) avant de dire : « Lisez ces documents pour savoir si je suis un plaisantin ou si ce que je dis est vrai . Et, vous savez quoi ? Son immeuble R +16 en face du monument de la renaissance à côté du restaurant « le Melo » a été bâti sur une superficie de 1000 m2 a raison de 3 appartements par niveau ce qui fait un total de 48 appartements»
À vos calculettes, il nous revient que chaque appartement du fameux immeuble est évalué actuellement à 300 millions de nos francs.
L’homme, notre interlocuteur, habitué de la fameuse villa de Mermoz où il se rendait presque tous les soirs aux fins de converser avec l’ex Président de la République de révéler : « En dehors de Niaga Peulh et Bambilor, il a 03 hectares à Touba Dialaw, soit 30 000 mètres carrés. A Ouakam, il dispose de 1 546 mètres carrés répartis en quatre terrains qui font 164, 180, 204 et 998 mètres carrés. C’est l’équivalent de la superficie de dix maisons. Je doute que le maire de Ouakam ou le Jaraaf aient la moitié de ce que Madiambal Diagne possède dans cette localité.
Aux Almadies, son épouse et gérante de la Sci Pharaon, a 600 mètres carrés.
Enfin, à Grand-Dakar, c’est un terrain de 612 mètres carrés qui lui revient.
En somme, le Madiambal Diagne, qui dénonce la bamboula foncière, est assis sur 58 508 mètres carrés ou 5,85 hectares. C’est ce qu’on appelle avoir du culot !
Et ce listing n’est pas exhaustif ! Faites un tour à la Somone et au Super Plateau près du Monument de la Renaissance… » N’est ce pas ahurissant ?
« Beaucoup d’autres choses motivent, poursuit-il, Madiambal Diagne. Interrogez la raison de sa démission de la direction de son entreprise «Avenir Communication», creusez et vous comprendrez les actes qu’il pose présentement. Seulement, au terme de ses manœuvres et calculs, il risque de se retrouver avec deux plus deux qui ne font pas quatre »
Lorsque nous lui avons fait la remarque comme quoi il n’en demeure pas moins que la responsabilité de leur régime est engagée, il coupe avant de marteler : « Soyons tout de même sérieux ! Je vous vois venir. Qu’est-ce que le Président Macky Sall a à voir dans des mic mac fonciers au niveau de Communautés rurales ? Croyez-vous qu’il soit à ce point inoccupé pour passer à la loupe toutes les attributions faites par les Domaines à Ouakam, Ngor et Almadies, dans le but de savoir que derrière Pathé, bénéficiaire sur le papier, se cache Mademba ?
Mais, à mes yeux, il y a une exigence : identifier toutes les personnes de la chaîne administrative qui ont participé à ce forfait pour le bénéfice d’une seule et unique personne.
Le problème de l’occupation du littoral est un problème sérieux, et à ce propos, ce n’est simplement à Dakar que Madiambal Diagne occupe une partie du littoral. Mais, à mon humble avis, je crois qu’il y a plus sérieux : s’attaquer à cette mafia qui a permis à tant de personnes dont un cartouchard, ancien greffier parti des tribunaux de fort honteuse manière, devenu journaliste par effraction, de se retrouver en dix ans propriétaire de près de 59 000 mètres carrés de terre dans des conditions douteuses »
Tout de même, les gens ont été estomaqués d’apprendre qu’ au lendemain de son article virulent, Madiambal Diagne a été reçu au Palais…
« Vous n’attendez quand même pas de moi que je commente sur la place publique les audiences du Président de la République ?
Ceci dit, il est plus indiqué de questionner la moralité de ce donneur de leçons. Lundi, il diffame sur la place publique celui qu’il dit être son ami. Mardi, il se précipite à son bureau. En sort pour aller à la télé tenir un discours aux antipodes de celui de la veille. Dire de cette personne qu’elle est une girouette, c’est faire preuve d’une grande gentillesse. Madiambal Diagne invente des histoires pour salir le Président Macky Sall dans le seul et unique but de faire chanter, je le canarde en exhumant les cadavres qu’il a planqués dans ses tiroirs. C’est simple. »
Solo Quotidien, qui épluche encore d’autres dossiers concernant « Sa Pekess » , vous promet d’y revenir avec une ébauche de détails.