Dans un communiqué publié ce vendredi, son Pôle d’avocats qualifie ces informations de « graves, mensongères et dépourvues de tout fondement factuel ou juridique ».
Le texte précise que toute tentative de l’associer à cette affaire constitue une « atteinte caractérisée à son honneur, à sa réputation et à son image ». Les avocats mettent en demeure tous les auteurs et relais de ces contenus, y compris influenceurs et médias, de cesser immédiatement toute citation ou publication la concernant et de retirer tout contenu établissant ce lien.
Une plainte sera déposée dès demain à Barcelone contre le tiktokeur Elhadji Malick, alias « Choco Nostress », et contre toute personne impliquée dans la diffusion de ces fausses informations pour diffamation, atteinte à l’honneur et dénonciation calomnieuse.
Le communiqué rappelle que « la liberté d’expression ne saurait justifier des propos diffamatoires ou mensongers » et annonce que d’autres actions judiciaires pourront être engagées contre les auteurs et complices.
Le texte est signé par Maître Francisco García Bayona, avocat à la Cour de Barcelone, ainsi que par Maîtres Mamadou Djiby Diallo et Gaye, avocats à la Cour de Dakar.
Le Soleil
Le texte précise que toute tentative de l’associer à cette affaire constitue une « atteinte caractérisée à son honneur, à sa réputation et à son image ». Les avocats mettent en demeure tous les auteurs et relais de ces contenus, y compris influenceurs et médias, de cesser immédiatement toute citation ou publication la concernant et de retirer tout contenu établissant ce lien.
Une plainte sera déposée dès demain à Barcelone contre le tiktokeur Elhadji Malick, alias « Choco Nostress », et contre toute personne impliquée dans la diffusion de ces fausses informations pour diffamation, atteinte à l’honneur et dénonciation calomnieuse.
Le communiqué rappelle que « la liberté d’expression ne saurait justifier des propos diffamatoires ou mensongers » et annonce que d’autres actions judiciaires pourront être engagées contre les auteurs et complices.
Le texte est signé par Maître Francisco García Bayona, avocat à la Cour de Barcelone, ainsi que par Maîtres Mamadou Djiby Diallo et Gaye, avocats à la Cour de Dakar.
Le Soleil