Les personnes arrêtées, originaires du Sénégal, de la Guinée et du Togo, occupent divers profils : agents marketing, maçons, étudiants et soudeurs. La découverte de cette cellule criminelle fait suite à une dénonciation, qui a mis la lumière sur une séquestration suspecte d’une jeune fille malienne.
Selon le récit qui a été recueilli, l’enseignant-chercheur qui a alerté les autorités a expliqué que la jeune femme avait été recrutée via Facebook par une dame lui promettant un emploi fictif avec une rémunération de 100 000 FCFA par semaine. La réalité était toute autre : il s’agissait d’un recrutement déguisé par la société Qnet, une entreprise déjà impliquée dans de nombreuses escroqueries similaires. La jeune femme aurait été empêchée de repartir, ce qui a suscité l’indignation et la nécessité d’une intervention policière.
Les individus arrêtés ont nié les faits qui leur sont reprochés. Cependant, ils ont été placés en garde à vue en attendant la suite de l’enquête. Les autorités policières précisent que l’enquête est toujours en cours.
Le Soleil
Selon le récit qui a été recueilli, l’enseignant-chercheur qui a alerté les autorités a expliqué que la jeune femme avait été recrutée via Facebook par une dame lui promettant un emploi fictif avec une rémunération de 100 000 FCFA par semaine. La réalité était toute autre : il s’agissait d’un recrutement déguisé par la société Qnet, une entreprise déjà impliquée dans de nombreuses escroqueries similaires. La jeune femme aurait été empêchée de repartir, ce qui a suscité l’indignation et la nécessité d’une intervention policière.
Les individus arrêtés ont nié les faits qui leur sont reprochés. Cependant, ils ont été placés en garde à vue en attendant la suite de l’enquête. Les autorités policières précisent que l’enquête est toujours en cours.
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