Le rapport d’exécution budgétaire du premier trimestre 2025, publié par le ministre des Finances et du Budget montre que la dette bancaire du secteur est ainsi répartie : 504,04 milliards pour le FERA ; 2, 09 milliards pour l’ASER ; 24, 04 milliards pour le FHS et 0,03 milliard de découvert bancaire pour le CHR de Tambacounda. La dette d’exploitation qui s’élève à 226,77 milliards est décomposée, selon la tutelle de dettes fournisseurs de 150,76 milliards ; de dettes fiscales de 54,18 milliards et de dettes sociales de 21,83 milliards.
Concernant 176 organismes publics (OP) du secteur parapublic, le document indique qu’il s’agit notamment de 34 agences ; de 35 structures administratives similaires ou assimilées ; de 36 établissements publics de santé. Mais aussi, de 21 Universités, Facultés, écoles supérieures et ISEP ; de 07 Centres régionaux des œuvres universitaires (CROUS). Et de 14 écoles et instituts ; de 14 établissements publics à caractère administratif local (Agences régionales de Développement) et de 15 établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC). Ces derniers ont cumulé un budget de 2 140,73 milliards.
Les charges financières de la dette de l’Etat estimées à 225,24 milliards
D’après le rapport des services du ministre Cheikh Diba, les ressources de ces entités comprennent : les ressources propres pour une valeur de 1 136,44 milliards, soit 53,1%. Les transferts directs de l’Etat sont évalués à 537,22 milliards, soit 25,1%, décomposés en transferts courants pour 404,18 milliards et en transferts en capital pour 133,03 milliards. Concernant les ressources extérieures (PTF), elles sont à 450,41 milliards, soit 21,0% et les autres emprunts sont arrêtés à 16,66 milliards, soit 0,8% des prévisions de recettes globales.
Au-delà de la dette des entreprises parapubliques, le document informe que les charges financières de la dette de l’Etat au cours du premier trimestre 2025 se sont élevées à 225,24 milliards, soit 24,16% des prévisions de la LFI 2025. « Comparées à la même période de l’année précédente, les charges financières ont augmenté de 43,57 milliards, soit 23,98%. Cette hausse est imputable aux charges de la dette intérieure et extérieure qui ont augmenté respectivement de 25,44 milliards et 18,13 milliards », lit-on dans le texte.
Le Soleil
Concernant 176 organismes publics (OP) du secteur parapublic, le document indique qu’il s’agit notamment de 34 agences ; de 35 structures administratives similaires ou assimilées ; de 36 établissements publics de santé. Mais aussi, de 21 Universités, Facultés, écoles supérieures et ISEP ; de 07 Centres régionaux des œuvres universitaires (CROUS). Et de 14 écoles et instituts ; de 14 établissements publics à caractère administratif local (Agences régionales de Développement) et de 15 établissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC). Ces derniers ont cumulé un budget de 2 140,73 milliards.
Les charges financières de la dette de l’Etat estimées à 225,24 milliards
D’après le rapport des services du ministre Cheikh Diba, les ressources de ces entités comprennent : les ressources propres pour une valeur de 1 136,44 milliards, soit 53,1%. Les transferts directs de l’Etat sont évalués à 537,22 milliards, soit 25,1%, décomposés en transferts courants pour 404,18 milliards et en transferts en capital pour 133,03 milliards. Concernant les ressources extérieures (PTF), elles sont à 450,41 milliards, soit 21,0% et les autres emprunts sont arrêtés à 16,66 milliards, soit 0,8% des prévisions de recettes globales.
Au-delà de la dette des entreprises parapubliques, le document informe que les charges financières de la dette de l’Etat au cours du premier trimestre 2025 se sont élevées à 225,24 milliards, soit 24,16% des prévisions de la LFI 2025. « Comparées à la même période de l’année précédente, les charges financières ont augmenté de 43,57 milliards, soit 23,98%. Cette hausse est imputable aux charges de la dette intérieure et extérieure qui ont augmenté respectivement de 25,44 milliards et 18,13 milliards », lit-on dans le texte.
Le Soleil