Cette petite fille de Serigne Touba ne connaît pas l’oisiveté. Dès sa plus tendre enfance, elle s’est toujours efforcée de suivre scrupuleusement les enseignements de son saint grand-père, c’est-à-dire : faire tout pour être un bon musulman, chercher le savoir et travailler dur pour servir sa communauté et son pays.
C’est ainsi qu’après ses études primaires et secondaires sanctionnées par le Bfem à Mbacké, elle s’inscrira au lycée technique Maurice Delafosse à Dakar. Alors en classe de terminale alors qu’elle préparait le Bac, son père lui demande de cesser ses études et de revenir à Touba où elle devait être mariée. Le "ndigueul" étant sacré chez les mourides, elle obtempère. Pendant trois bonnes années elle ne s’occupe que de son ménage.
Mais, avec l’autorisation de son époux et la bénédiction de Serigne Modou Awa Balla Mbacké plus connu sous le nom de Kara, elle décide de reprendre ses études.
Elle s’inscrit alors comme candidate libre pour le bac, ce qu’elle obtient brillamment. Elle a dû vendre des effets personnels comme ses bijoux en or pour payer ses propres études et elle réussit ainsi à obtenir le Brevet de Technicien Supérieur (BTS) comptabilité et, avec l’aide de son oncle, l’Honorable Député Moustapha Cissé Lo, elle trouve un emploi à l’Hôpital Matlaboul Fawzayni de Touba. Avec le salaire qu’elle percevait, elle s’arrangeait pour se rendre tous les week-ends à Dakar pour y suivre une formation en Management des Entreprises à l’IPD Thomas Sankara d’où elle sortit avec la licence, puis le master II en Gestion des Ressources Humaines. Sa dernière année de formation, dit-elle à un confrère, ont été payées par Macky Sall, alors dans l’opposition et dont elle soutenait le combat.
Le courage en bandoulière, elle obtient le MBA en GRH au CESAG. Après son passage à l’Agence de l’Informatique de l’Etat (ADIE) de 2012 à 2017 comme DRH, elle tiendra les manettes de la Direction de l’Assistance et de la Promotion des sénégalais de l’Extérieur au ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur.
Aujourd'hui, elle aux commandes de la névralgique Direction de l'Administration Générale et de l'Equipement au Ministère de l'Emploi, de la Formation Professionnelle, de l'Apprentissage et de l'Insertion. Aussi, est-elle Conseillère et Présidente de la Commission Environnementale du Conseil départemental de Mbacké et last but not least Présidente du Réseau des Femmes du Baol pour le Développement (RFBD).
"Même si la perversité, la suffisance, le dévergondage sont aujourd’hui quelques-uns des défauts les mieux partagés au sein de notre classe politique, il en est certains qui incarnent encore des vertus admirables, qu’ils distillent à travers des initiatives ponctuelles et concrètes, au seul bénéfice de leurs concitoyens. Sokhna Amy Mbacké est de ceux-là…" fait savoir une vielle connaissance de la dame avant de renchérir: "Cette femme remarquable de qualité, fait aussi beaucoup dans le social sans tambour ni trompette. Son combat de tous les jours, disait-elle à votre confrère Dakaractu, est de rendre autonomes les femmes en les amenant à s’autogérer et, aussi à lutter contre l’analphabétisme qui les tenaille en milieu rural. Les images à l'actif de Mme Mbacké devenues virales en disent long."
Des sources fiables de dakarposte , tapies dans la capitale du mouridisme, nous souffle qu'elle exécute ce genre d'activités (sur les images) avec une efficacité, une discrétion et une régularité qu’il est rare de retrouver chez les acteurs politiques de sa trempe.
En vérité, cette qualité enviable de la dame tient au fait qu’elle a toujours vécu avec la certitude que le politique n’a de mérite que s’il est capable de contribuer au développement de la Cité sans trop se soucier des profits que son action peut lui rapporter.
Il y a donc chez elle une espèce de sollicitude désintéressée sous tendue par un patriotisme viscéral. Voilà d’ailleurs pourquoi il est tout à fait compréhensible que Mme Mbacké place la vulgarisation du PSE entre autres réalisations qui portent l'estampille de son mentor (le Président Sall) au centre de ses préoccupations.
En tous cas, elle est connu dans l’espace politique pour être l’une des plus importantes pièces maîtresses que compte la zone du Baol. Des informations glanées, il ressort qu'elle a matinalement rallié les rangs de l’APR par pure conviction, et depuis, n’a de cesse de poser des actes allant dans le sens de prouver que son militantisme apporte une indiscutable valeur ajoutée à son parti.
Pour la petite histoire, son soutien au Président Macky Sall alors farouche opposant au "tout puissant" régime de Me Wade lui avait valu d’être limogée de son poste de chef de division de l’Économie de l’Hôpital Matlaboul Fawzayni de Touba. Des proches de la dame s'accordent à dire que depuis qu'elle milite à l'APR, et certainement ragaillardie par cette injustice, les gages d'efficacité de la Mbacké-Mbacké ont pris une allure considérablement conquérante.
La foi aux idéaux professés par son mentor chevillée à l’âme, les innombrables militants et militantes de la dame ont fini aujourd’hui de découvrir en lui une pièce maîtresse politique véridique et secourable, dédaigneux des facéties démagogiques. Et si on devait la qualifier de façon sympathiquement caricaturale, l’on pourrait dire sans risque de se tromper que c’est une assistante sociale de classe exceptionnelle. Pour soulager les couches défavorisées de sa localité par rapport à leurs besoins ponctuels, Amy Mbacké n’entend se fixer aucune limite. Elle se démène à tout va pour octroyer des bourses, payer des ordonnances, prendre en charge moult frais de scolarité, assurer le règlement de quantité de factures d’eau et d’électricité...
C’est la seule "Mbacké-Mbacké" connue qui, depuis que le Sénégal est indépendant occupe de grandes responsabilités dans le gouvernement. Elle mérite donc d’être connue. Qui dit mieux?
njaydakarposte@gmail.com
C’est ainsi qu’après ses études primaires et secondaires sanctionnées par le Bfem à Mbacké, elle s’inscrira au lycée technique Maurice Delafosse à Dakar. Alors en classe de terminale alors qu’elle préparait le Bac, son père lui demande de cesser ses études et de revenir à Touba où elle devait être mariée. Le "ndigueul" étant sacré chez les mourides, elle obtempère. Pendant trois bonnes années elle ne s’occupe que de son ménage.
Mais, avec l’autorisation de son époux et la bénédiction de Serigne Modou Awa Balla Mbacké plus connu sous le nom de Kara, elle décide de reprendre ses études.
Elle s’inscrit alors comme candidate libre pour le bac, ce qu’elle obtient brillamment. Elle a dû vendre des effets personnels comme ses bijoux en or pour payer ses propres études et elle réussit ainsi à obtenir le Brevet de Technicien Supérieur (BTS) comptabilité et, avec l’aide de son oncle, l’Honorable Député Moustapha Cissé Lo, elle trouve un emploi à l’Hôpital Matlaboul Fawzayni de Touba. Avec le salaire qu’elle percevait, elle s’arrangeait pour se rendre tous les week-ends à Dakar pour y suivre une formation en Management des Entreprises à l’IPD Thomas Sankara d’où elle sortit avec la licence, puis le master II en Gestion des Ressources Humaines. Sa dernière année de formation, dit-elle à un confrère, ont été payées par Macky Sall, alors dans l’opposition et dont elle soutenait le combat.
Le courage en bandoulière, elle obtient le MBA en GRH au CESAG. Après son passage à l’Agence de l’Informatique de l’Etat (ADIE) de 2012 à 2017 comme DRH, elle tiendra les manettes de la Direction de l’Assistance et de la Promotion des sénégalais de l’Extérieur au ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur.
Aujourd'hui, elle aux commandes de la névralgique Direction de l'Administration Générale et de l'Equipement au Ministère de l'Emploi, de la Formation Professionnelle, de l'Apprentissage et de l'Insertion. Aussi, est-elle Conseillère et Présidente de la Commission Environnementale du Conseil départemental de Mbacké et last but not least Présidente du Réseau des Femmes du Baol pour le Développement (RFBD).
"Même si la perversité, la suffisance, le dévergondage sont aujourd’hui quelques-uns des défauts les mieux partagés au sein de notre classe politique, il en est certains qui incarnent encore des vertus admirables, qu’ils distillent à travers des initiatives ponctuelles et concrètes, au seul bénéfice de leurs concitoyens. Sokhna Amy Mbacké est de ceux-là…" fait savoir une vielle connaissance de la dame avant de renchérir: "Cette femme remarquable de qualité, fait aussi beaucoup dans le social sans tambour ni trompette. Son combat de tous les jours, disait-elle à votre confrère Dakaractu, est de rendre autonomes les femmes en les amenant à s’autogérer et, aussi à lutter contre l’analphabétisme qui les tenaille en milieu rural. Les images à l'actif de Mme Mbacké devenues virales en disent long."
Des sources fiables de dakarposte , tapies dans la capitale du mouridisme, nous souffle qu'elle exécute ce genre d'activités (sur les images) avec une efficacité, une discrétion et une régularité qu’il est rare de retrouver chez les acteurs politiques de sa trempe.
En vérité, cette qualité enviable de la dame tient au fait qu’elle a toujours vécu avec la certitude que le politique n’a de mérite que s’il est capable de contribuer au développement de la Cité sans trop se soucier des profits que son action peut lui rapporter.
Il y a donc chez elle une espèce de sollicitude désintéressée sous tendue par un patriotisme viscéral. Voilà d’ailleurs pourquoi il est tout à fait compréhensible que Mme Mbacké place la vulgarisation du PSE entre autres réalisations qui portent l'estampille de son mentor (le Président Sall) au centre de ses préoccupations.
En tous cas, elle est connu dans l’espace politique pour être l’une des plus importantes pièces maîtresses que compte la zone du Baol. Des informations glanées, il ressort qu'elle a matinalement rallié les rangs de l’APR par pure conviction, et depuis, n’a de cesse de poser des actes allant dans le sens de prouver que son militantisme apporte une indiscutable valeur ajoutée à son parti.
Pour la petite histoire, son soutien au Président Macky Sall alors farouche opposant au "tout puissant" régime de Me Wade lui avait valu d’être limogée de son poste de chef de division de l’Économie de l’Hôpital Matlaboul Fawzayni de Touba. Des proches de la dame s'accordent à dire que depuis qu'elle milite à l'APR, et certainement ragaillardie par cette injustice, les gages d'efficacité de la Mbacké-Mbacké ont pris une allure considérablement conquérante.
La foi aux idéaux professés par son mentor chevillée à l’âme, les innombrables militants et militantes de la dame ont fini aujourd’hui de découvrir en lui une pièce maîtresse politique véridique et secourable, dédaigneux des facéties démagogiques. Et si on devait la qualifier de façon sympathiquement caricaturale, l’on pourrait dire sans risque de se tromper que c’est une assistante sociale de classe exceptionnelle. Pour soulager les couches défavorisées de sa localité par rapport à leurs besoins ponctuels, Amy Mbacké n’entend se fixer aucune limite. Elle se démène à tout va pour octroyer des bourses, payer des ordonnances, prendre en charge moult frais de scolarité, assurer le règlement de quantité de factures d’eau et d’électricité...
C’est la seule "Mbacké-Mbacké" connue qui, depuis que le Sénégal est indépendant occupe de grandes responsabilités dans le gouvernement. Elle mérite donc d’être connue. Qui dit mieux?
njaydakarposte@gmail.com