La Cour suprême va statuer, le 1er juillet, sur le rabat d'arrêt introduit par les avocats du Premier ministre. Un feuilleton judiciaire née des déclarations de Sonko, qui affirmait détenir un rapport (Igf) compromettant sur la gestion d'un programme, Prodac, piloté par Mame Mbaye Niang.
Un dossier qui a coûté à Ousmane Sonko, à l'époque opposant et chef de file du parti politique Pastef, son inéligibilité à la présidentielle de 2024. Une disqualification qui l'avait poussé à choisir Bassirou Diomaye Faye, devenu président de la République, comme candidat de la coalition Diomaye Président. Le 1er juillet, la Cour suprême va rouvrir le dossier pour les plaidoiries sur le rabat d'arrêt introduit à l'époque par les conseils de Ousmane Sonko.
Une requête qui avait été introduite suite à la décision de la Chambre pénale de la Cour suprême confirmant la condamnation, pour diffamation, de l'ex-maire de Zi-guinchor, à 6 (six) mois assortis de sursis et 200 millions FCfa à titre de dommages et intérêts à payer à Mame Mbaye Niang, partie civile. A l'époque, les avocats d'Ousmane Sonko, 13 au total, avaient plaidé pour une exception d'inconstitutionnalité, c'est-à-dire qu'ils ont demandé à ce que la Cour suprême se dessaisisse de l'affaire en faveur du Conseil constitutionnel.
Ensuite, ils demandaient une cassation de l'arrêt de la Cour d'appel du 8 mai, en mentionnant de nombreux vices de procédure, à savoir une citation à comparaitre que leur client n'aurait pas recue. A l'audience, l'Avocat général était en faveur d'une cassation de la condamnation, mais rejetée par le juge qui a donc maintenu la condamnation d'Ousmane Sonko à six mois de prison avec sursis et 200 millions FCfa de dommages et inté-rêts, avant de rejeter l'exception d'inconstitutionnalité. Les choses se feront sans Mame Mbaye Niang, à l'étranger depuis l'avènement de Pastef au pouvoir.
Igfm
Un dossier qui a coûté à Ousmane Sonko, à l'époque opposant et chef de file du parti politique Pastef, son inéligibilité à la présidentielle de 2024. Une disqualification qui l'avait poussé à choisir Bassirou Diomaye Faye, devenu président de la République, comme candidat de la coalition Diomaye Président. Le 1er juillet, la Cour suprême va rouvrir le dossier pour les plaidoiries sur le rabat d'arrêt introduit à l'époque par les conseils de Ousmane Sonko.
Une requête qui avait été introduite suite à la décision de la Chambre pénale de la Cour suprême confirmant la condamnation, pour diffamation, de l'ex-maire de Zi-guinchor, à 6 (six) mois assortis de sursis et 200 millions FCfa à titre de dommages et intérêts à payer à Mame Mbaye Niang, partie civile. A l'époque, les avocats d'Ousmane Sonko, 13 au total, avaient plaidé pour une exception d'inconstitutionnalité, c'est-à-dire qu'ils ont demandé à ce que la Cour suprême se dessaisisse de l'affaire en faveur du Conseil constitutionnel.
Ensuite, ils demandaient une cassation de l'arrêt de la Cour d'appel du 8 mai, en mentionnant de nombreux vices de procédure, à savoir une citation à comparaitre que leur client n'aurait pas recue. A l'audience, l'Avocat général était en faveur d'une cassation de la condamnation, mais rejetée par le juge qui a donc maintenu la condamnation d'Ousmane Sonko à six mois de prison avec sursis et 200 millions FCfa de dommages et inté-rêts, avant de rejeter l'exception d'inconstitutionnalité. Les choses se feront sans Mame Mbaye Niang, à l'étranger depuis l'avènement de Pastef au pouvoir.
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