Sur WhatsApp et Facebook, c'est leur colère que certains partagent. Les témoignages d’hommes et de femmes victimes d'agressions après les combats de lutte se sont multipliés ce week-end. Des images ont même été fixées sur les pellicules de téléphones portables.
Les faits dénoncés se sont passés entre Pikine, Thiaroye, Diamaguène, mais aussi à la Médina. « Plusieurs personnes ont vu ce qui s'était passé, mais elles n'ont rien fait car elles avaient peur. » On a entendu plusieurs témoignages de ce genre.
D'où l'importance de pousser la porte d'un commissariat pour dénoncer les agressions subies sur l’axe Thiaroye-Diamaguène. Beaucoup ont été victimes d'une agression au volant durant la soirée d’hier. « Les chances de retrouver l'agresseur sont faibles », reconnaît-on.
Selon nos informations, une cinquantaine de personnes couraient sur les deux voies de la N1, ce dimanche vers 21 h, pour agresser les gens. Ils s’en sont pris aux conducteurs de motos et véhicules en pleine circulation. « Il n’y avait pas de policiers ou de gendarmes, il n’y avait que les policiers de la circulation. Ils ont agressé les automobilistes, les gens qui attendaient le bus », selon des témoignages.
Chaque semaine des actes de vandalisme sont notés à la suite des manifestations liées à la lutte. Si ce n’est lors des face-à-face, ce sont des «hooligans» qui s’acharnent sur des passants et autres automobilistes, après des combats à l’Arène Nationale.
Déjà, ce dernier week-end, on a eu droit à deux galas organisés par Baol Production et Dièye Production, avec au bout des agressions, « sans que la police n’intervienne », d’après les témoignages...
Les faits dénoncés se sont passés entre Pikine, Thiaroye, Diamaguène, mais aussi à la Médina. « Plusieurs personnes ont vu ce qui s'était passé, mais elles n'ont rien fait car elles avaient peur. » On a entendu plusieurs témoignages de ce genre.
D'où l'importance de pousser la porte d'un commissariat pour dénoncer les agressions subies sur l’axe Thiaroye-Diamaguène. Beaucoup ont été victimes d'une agression au volant durant la soirée d’hier. « Les chances de retrouver l'agresseur sont faibles », reconnaît-on.
Selon nos informations, une cinquantaine de personnes couraient sur les deux voies de la N1, ce dimanche vers 21 h, pour agresser les gens. Ils s’en sont pris aux conducteurs de motos et véhicules en pleine circulation. « Il n’y avait pas de policiers ou de gendarmes, il n’y avait que les policiers de la circulation. Ils ont agressé les automobilistes, les gens qui attendaient le bus », selon des témoignages.
Chaque semaine des actes de vandalisme sont notés à la suite des manifestations liées à la lutte. Si ce n’est lors des face-à-face, ce sont des «hooligans» qui s’acharnent sur des passants et autres automobilistes, après des combats à l’Arène Nationale.
Déjà, ce dernier week-end, on a eu droit à deux galas organisés par Baol Production et Dièye Production, avec au bout des agressions, « sans que la police n’intervienne », d’après les témoignages...