Aïssatou Diop Fall est une énigme. Faire étalage au quotidien d’une si crasse médiocrité et refuser de se taire relève d’un don. La prouesse de cette femme est de, tous les jours, ternir l’image d’honnêtes citoyens sans jamais se remettre en question. Aïssatou Diop Fall a un niveau proche d’un élève de CM2, mais elle inonde les plateaux pour déverser sa haine de toute personne qui aspire à servir notre pays dans le culte du travail et de la rigueur.
Cette haine des gens qui agissent, qui tentent, échouent parfois, mais recommencent dans une quête perpétuelle de la perfection, relève de la pathologie. Cette journaliste doit souffrir dans sa chair et sa conscience pour ne jamais voir chez les autres un soupçon de bien. Elle ne décèle que du mal chez ses concitoyens quel que soit leur bord politique. C’en est affligeant à la fin.
Le journalisme est un métier noble. Les médias sont les piliers de la démocratie et les vigies de la liberté d’expression, notamment en ces temps de crise. C’est pour cette raison que je suis triste de voir les vrais journalistes rigoureux et sérieux devoir se coltiner une marchande de ragots et une productrice de haines ; une femme dont le niveau n’a jamais évolué car elle ne sacralise ni le travail ni l’effort pour se perfectionner.
ADF ne parle aucune langue de manière convenable. Son français est calamiteux. Son wolof est tortueux. Cette bouillie infâme qu’elle nous sert donne un résultat atroce pour nos oreilles. Devoir l’écouter est un supplice à tel point que la femme est devenue plus une risée des plateaux qu’une professionnelle de l’information.
ADF doit arrêter son entreprise haineuse à l’encontre de citoyens qui ont tort de ne pas entrer dans son cercle affectif. Elle s’érige en distributrice automatique d’insanités pour des gens qu’elle a décidé de détruire afin d’assouvir une vengeance personnelle.
L’entreprise d’ADF est injuste en plus d’être lâche. Car elle dispose d’une tribune médiatique pour amplifier sa parole enveloppée dans une pseudo analyse politique et sociale. Quand elle s’en prend à d’honnêtes citoyens, elle n’a pas de contradicteurs et donc peut dérouler son maléfique agenda comme bon lui semble.
Les médias ne sont pas une tribune pour régler des comptes personnels ou soigner un complexe de nullité intellectuelle. S’en servir pour détruire des concitoyens qu’ils soient du pouvoir ou de l’opposition est lâche et indigne de la longue tradition de rigueur dans le débat public sénégalais. Les journalistes soucieux de l’éthique et de la déontologie doivent avoir honte en regardant cette femme profaner ce beau métier à chaque fois qu’elle daigne prendre la parole.
Je rappelle à ADF que contribuer au débat public par des idées et des opinions est une chose. Injurier, moquer, vilipender, salir d’honnêtes citoyens en est une autre qui ne l’honore pas.
Le temps est le seul juge des turpitudes. Je la laisse au jugement implacable de sa conscience qui je l’espère, le jour où elle recouvrera une lucidité, la poussera à se conformer aux valeurs de son beau métier.
Mais jusque-là ADF fait honte au journalisme sénégalais.
Cette haine des gens qui agissent, qui tentent, échouent parfois, mais recommencent dans une quête perpétuelle de la perfection, relève de la pathologie. Cette journaliste doit souffrir dans sa chair et sa conscience pour ne jamais voir chez les autres un soupçon de bien. Elle ne décèle que du mal chez ses concitoyens quel que soit leur bord politique. C’en est affligeant à la fin.
Le journalisme est un métier noble. Les médias sont les piliers de la démocratie et les vigies de la liberté d’expression, notamment en ces temps de crise. C’est pour cette raison que je suis triste de voir les vrais journalistes rigoureux et sérieux devoir se coltiner une marchande de ragots et une productrice de haines ; une femme dont le niveau n’a jamais évolué car elle ne sacralise ni le travail ni l’effort pour se perfectionner.
ADF ne parle aucune langue de manière convenable. Son français est calamiteux. Son wolof est tortueux. Cette bouillie infâme qu’elle nous sert donne un résultat atroce pour nos oreilles. Devoir l’écouter est un supplice à tel point que la femme est devenue plus une risée des plateaux qu’une professionnelle de l’information.
ADF doit arrêter son entreprise haineuse à l’encontre de citoyens qui ont tort de ne pas entrer dans son cercle affectif. Elle s’érige en distributrice automatique d’insanités pour des gens qu’elle a décidé de détruire afin d’assouvir une vengeance personnelle.
L’entreprise d’ADF est injuste en plus d’être lâche. Car elle dispose d’une tribune médiatique pour amplifier sa parole enveloppée dans une pseudo analyse politique et sociale. Quand elle s’en prend à d’honnêtes citoyens, elle n’a pas de contradicteurs et donc peut dérouler son maléfique agenda comme bon lui semble.
Les médias ne sont pas une tribune pour régler des comptes personnels ou soigner un complexe de nullité intellectuelle. S’en servir pour détruire des concitoyens qu’ils soient du pouvoir ou de l’opposition est lâche et indigne de la longue tradition de rigueur dans le débat public sénégalais. Les journalistes soucieux de l’éthique et de la déontologie doivent avoir honte en regardant cette femme profaner ce beau métier à chaque fois qu’elle daigne prendre la parole.
Je rappelle à ADF que contribuer au débat public par des idées et des opinions est une chose. Injurier, moquer, vilipender, salir d’honnêtes citoyens en est une autre qui ne l’honore pas.
Le temps est le seul juge des turpitudes. Je la laisse au jugement implacable de sa conscience qui je l’espère, le jour où elle recouvrera une lucidité, la poussera à se conformer aux valeurs de son beau métier.
Mais jusque-là ADF fait honte au journalisme sénégalais.