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Analyse

Quelle que pourrait être l’issue du dialogue élargi initié naguère par le chef de l’Etat Macky SALL, il sera écrit en lettres épaisses sur les annales de l’histoire politique du Sénégal que l’actuel locataire de l’avenue Roume s’est trop longtemps entiché à faire de la résistance avant de consentir à sacrifier à un rituel que tous les citoyens épris de stabilité appelaient de tous leurs vœux. Tous ceux qui décident d’y aller y vont-ils de gaieté de cœur ? Et ceux qui décideront de bouder les places à eux réservées dans ce banquet tardif du « Calumet de la paix », devrait-on leur en tenir rigueur, ou en revanche on devrait jeter l’opprobre sur leurs obtuses « têtes de Turcs » ?


Dialogue politique :   Une initiative piégée ?
Pourquoi le capitaine de bord de la majorité présidentielle a-t-il, enfin, décidé de susciter l’idée d’un dialogue élargi à toutes les énergies sectorielles du pays avant d’ordonner avec autant de précipitation les conditions de sa réalisation ? La question nous semble d’autant plus sensée que jamais un politique, surtout celui qui est à la tête d’un parti qui gouverne, ne se hasarde à ouvrir grandement les portes de ses appartements à de faux amis, des adversaires attestés et des contempteurs infatigables de sa gouvernance, sans interroger la météo de son agenda personnel. C’est dire que, tout en lui reconnaissant une présomption de nobles intentions, il n’est pas exagéré d’avancer l’hypothèse selon laquelle il y a de fortes chances que la convocation d’un tel dialogue puisse être sous-tendue par une volonté discrète de son ordonnateur et de ses affidés de consolider les fondements de leur règne, dont l’orientation générale est, à vrai dire, si peu compatible avec le débat contradictoire.

Après tout, il ne faut pas perdre de vue que le " Macky" a souvent été peint sous les traits d’un revanchard. Quelqu’un chez qui résonnent infiniment les cloches des torts qu’on lui a injustement fait subir. Si l’on peut un tant soit peu accorder de la crédibilité aux tenants d’un tel discours, il serait alors permis de croire que l’envie d’endormir le " MONSTRE" pour mieux l’abattre peut ne pas être étrangère à la convocation de ce dialogue. 
Par ailleurs, il est évident que beaucoup de ceux qui ont choisi de répondre présents sont parfaitement conscients de la présence dans l’air de ce troublant facteur. Mais ceux qui ont décidé de ne pas y aller en sont sans doute encore beaucoup plus conscients, puisque, selon toute vraisemblance, leur repli stratégique est de nature à nous faire croire qu’ils refusent d’être sacrifiés à l’autel d’un repas fraternel et convivial, patriotique pour tout dire, qui n’en est pas un !           


PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE : QUI FAIT QUOI CHEZ MACKY
Il y a quelques mois, Amsatou Sow Sidibé, encore ministre-conseiller du président de la République, se plaignait à haute voix de l’impossibilité qu’elle avait à accéder à celui qu’elle était censée conseiller. Cette sortie fracassante, suivie de son limogeage, avait remis sur la table la question de l’utilité même de certains personnels rattachés au président de la République. Zoom sur une cour et une arrière-cour chèrement entretenues par la cagnotte publique.

 

Comme dans une ruche d’abeilles, ils sont nombreux à arpenter les couloirs du Palais présidentiel ou de ses dépendances. Avec titres et qualités divers, ils émargent au budget de l’Etat  et bénéficient d’une carte de visite, sorte de sésame-ouvre toi. Eux, ce sont les ministres d’Etat auprès du président de la République, ministres-conseillers, conseillers spéciaux, conseillers techniques, ambassadeurs itinérants, chargés de missions. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs compétences ? Visite guidée dans l’univers feutré de la présidence de la République.

Ministres d’Etat : Ils sont ainsi nommés parce que, dans le protocole d’Etat, ils sont un cran plus haut placés que les autres et dépendent directement du président de la République à qui ils rendent compte. Ils ne disposent pas de budget propre, ne sont pas membres du gouvernement mais ont un poids politique et/ou une influence qui fait qu’ils ont un cabinet et un niveau de traitement (véhicule, salaire, téléphone, carburant, etc.) théoriquement supérieur à celui des simples ministres. Même si, relativise un ancien ministre d’Etat, «ministres simples et d’Etat jouissent des mêmes privilèges». Autre avantage : ils siègent, comme leurs autres collègues, en conseil des ministres. Depuis le départ de Bathily, Macky en compte trois connus : Amath Dansokho, Marième Badiane et Mbaye Ndiaye. Ousmane Tanor Dieng que d’aucuns rangent dans la catégorie des ministres d’Etat de Macky Sall n’a jamais confirmé. «Je suis plutôt son conseiller officieux. A sa demande ou à la mienne, je lui donne mes points de vue sur la marche de certains dossiers», répond-il invariablement.

Ministres-conseillers : C’est une création de l’ancien président de la République, Abdoulaye Wade. Arrivé au pouvoir, Macky Sall a perpétué cette tradition qui permet de «recaser» des ministres sortis du gouvernement, anciens directeurs généraux ou autres alliés à qui on n’a pas encore trouvé chaussure à leur pointure. A l’origine, il s’agissait d’un titre exclusivement réservé aux fonctionnaires du cadre des Affaires étrangères.

Rattachés au cabinet du président de la République, ils bénéficient d’avantages et autres privilèges qui font que c’est une fonction désormais très courue. Il se dit que Macky Sall en dispose d’un important contingent dont la plupart n’ont même pas de bureau dans le domaine présidentiel. Qu’à cela ne tienne ! La carte de visite et le traitement royal suffisent au bonheur des nommés. Les plus en vue sont : Baba Diaw d’Itoc, Mamadou Diagna Ndiaye, Ismaïla Madior Fall, Youssou Ndour. Pour les deux premiers, il se dit qu’ils n'ont ni bureau, ni salaire ni voiture à la présidence de la République. Quelle est alors la contrepartie des services qu’ils rendent à la République ? Mystère et boule de gomme.

Conseillers spéciaux : Ce sont des membres du cabinet chargés de missions bien précises pour et uniquement le président de la République. Ces missions comprennent la communication du président de la République, la gestion de ses affaires politiques. Mais, certains de ces conseillers sont également chargés de dossiers auxquels le président de la République accorde une importance particulière (sports, culture, fiscalité…).

Conseillers techniques : Ils sont nommés par arrêté du président de la République et dépendent du Secrétaire général de la Présidence de la République. Via ce dernier, ils émettent des notes et fiches techniques sur certains sujets à l’endroit du président de la République. Au tout début de l’avènement de Macky Sall, la plupart de ces conseillers qui se plaignaient d’un traitement modique avaient fini par déserter les rangs et retourner dans le privé ou reprendre leur business.

Chargés de mission : C’est la mission fourre-tout. La rumeur raconte qu’il y en a même qui s’occupent de représenter le président de la République dans les…cérémonies familiales (funérailles, par exemple) où ce dernier n’a pas le temps ou ne voit pas l’opportunité de mettre les pieds. Récemment, des jeunes chargés de mission à la Présidence s’étaient donné comme mission de déballer contre les jeunes de Y en a marre, coupables d’avoir appelé à voter «Non» au référendum.

Ambassadeurs itinérants : Comme leur titre l’indique, ils jouent le rôle d’ambassadeurs itinérants pour certaines missions à eux confiées par le président de la République hors des cercles traditionnels de la diplomatie. Très mal perçus par les diplomates professionnels, on les voit souvent se bousculer dans l’avion de commandement du président de la République. Pour quelles missions ? Allez savoir !

Ibrahima Anne
WalfNet


La politique serait-elle à ce point jalouse des sujets auxquels elle a eu une fois à inoculer son venin ? A bien des égards, l’on est tenté de répondre par l’affirmative, si l’on s’en réfère à la décision déclarée de M. Abdoul Mbaye de garnir les rangs de l’opposition en créant son propre parti…


Abdoul Mbaye Le prince charmant peut-il être le roi de la reine politique ?
L’on ne dira pas tout de même qu’on n’avait pas vu la décision venir, surtout depuis que l’homme avait naguère exprimé, par presse interposée, son rejet catégorique du projet de Constitution du président Macky Sall soumis à l’appréciation des citoyens sénégalais par voie référendaire.
En son temps, on se souvient que les plus soupçonneux des proches collaborateurs de Macky ne se privaient guère de peindre ce banquier de classe exceptionnelle sous les traits d’un bureaucrate boulimique qui se mettait plus en valeur qu’il ne le faisait pour les projets et réalisations du Président.
Cette accusation, vraie ou fausse, n’aura pas été étrangère à sa brutale défenestration. Depuis, l’homme s’est terré dans un mutisme accablant, qui n’était pas cependant synonyme de perte de voix, encore moins d’ambition.
Pourquoi M. Mbaye s’est enfin résolu à se jeter à l’eau en mettant en place sa propre formation ? L’explication pourrait ne pas être difficile à trouver si l’on se rappelle que, selon toute vraisemblance, le financier n’a jamais su digérer les conditions plus ou moins cavalières dans lesquelles son "employeur"  l’avait dessaisi de ses responsabilités primatoriales. On pourrait, sans risque de se tromper, avancer l’hypothèse qu’il l’avait vécue comme une humiliation.
Il est presque évident cependant que les chances de M. Mbaye d’émerger et de s’imposer dans la mare aux crocodiles où il vient de s’inviter sont dérisoires. Car, à vrai dire, l’homme, même s’il bénéficie d’un préjugé particulièrement favorable en matière de management, n’a pas le profil du chef que le Sénégalais lambda rêve de voir à la tête de son Etat. Il n’a pas l’étoffe de quelqu’un capable de mouiller le maillot, d’avoir une basse oreille de prolétaire susceptible d’être un réceptacle idéal pour les pulsions quotidiennes de la grande misère publique.
Sans doute même que M. Mbaye est conscient, mieux que nous, des limites objectives de sa capacité à endosser un destin présidentiel digne de ce nom. Oui, l’homme n’est sans doute là, dans l’armée des présidentiables, que pour se venger ; pour prouver à l’homme qui l’éleva jusqu’au sommet de l’Etat avant de le projeter dans le caniveau de l’anonymat, qu’il est capable de dresser, d’instrumentaliser deux pelés et trois tondus acquis à sa cause pour les lancer à l’assaut de l’impétueuse caravane de chevaux marrons.        
 
 


CE QUE JE PENSE DE L'APPEL AU DIALOGUE ANNONCÉ  PAR LE CHEF DE L'ÉTAT (par Sheikh Alassane Sène "Tarée Yallah")
Depuis que le Président de la République est à la tête du pays, le dialogue est quasi inexistant, et les plus avertis compare cette situation, à un cadavre enseveli sans suaire dans un cimetière en ruine. 

Et constat fait, j'avais, en son temps, personnellement décidé de prendre mon bâton de pèlerin dans la liberté d'expression que m'a conféré la déclaration universelle des droits de l'homme, pour dénoncer cette forme singulière et suicidaire de gouverner notre pays, vous connaissez la suite, 13 mois de prison, sans motif aucun, avec un isolement serré, sans précédent assortis de dénigrements, de calomnies et de vilenies, .... et le noble Prophète (sws) nous a enseigné à pardonner et à nous concentrer sur l'essentiel, avec la paix comme viatique et attitude.

Et paradoxalement, en ces temps qui courent, dans beaucoup de pays, de nombreuses tensions et crises sociales sont nées, provoquées par des discordances entre peuples et gouvernants, qui ont fini par plomber sérieusement leurs économies et éclabousser leurs souverainetés.

Ainsi, pour ma part, et à sa juste valeur, j'apprécie le fait que le Président de la République ait eu finalement la sagesse dans la maturité et l'humilité d'appeler toutes les forces vives de la nation à s'assoir autour d'une table pour, nous l'espérons, un dialogue sincère, constructif et durable.

Oui! même si c'est en présentant des condoléances quelque part dans Dakar, qu'il en a profité pour l'annoncer, son geste est à saluer, car toutes les décisions majeures qui ont laissé suinter la paix et féconder une entente, sont nées des situations circonstancielles et/ou conflictuelles, les guerres ont fini sur des tables de négociation, les querelles vidées devant des sages, en assemblée, ou encore des conférences nationales avec comme pivots la paix et la réconciliation, etc.

Je dénonce donc, à juste titre, ceux-là qui ont pour option de continuer à vouloir occuper négativement les allées de la presse, pour des réflexions fantaisistes et fallacieuses, qui déconstruisent la paix sociale et qui ne vont pas dans le sens du pardon ou de l'oubli, comme si dans ce désordre, ils y trouvent leur compte et leur "solde".

Ces quelques hommes qui s'agitent, ont pourtant du mal à se frayer un chemin, même dans leur propre jardin, où ils n'ont même pas l'estime des herbes qui y poussent, osons le dire, et défrichons ensemble la quintessence de cette analyse.

J'ai fait avec certains d'entre eux, la prison, et je suis bien placé pour dire qu'ils ont souffert psychologiquement de leur détention, car n'étant guère prêts à la vivre avec philosophie, comme si le monde s'était écroulé sur eux, et en sus de cela, leur parcours au sein des plus hautes instances de l'État ne fait guère rêver.. 

Aujourd'hui, vouloir attaquer ce que le peuple et celui qu'il a choisi croient meilleur pour le Senegal, entre concertation et cohésion sociale, n'est qu'une hérésie, et une vilaine manière de saborder la souveraineté nationale, le terme n'est pas si fort.
Alors vous n'avez pas le droit de prétendre prendre en otage le système, car la moralité et l'élégance rejettent ces manoeuvres déloyales et abjectes.

Nos différents passages en prisons, quelques soient les motifs qui les ont suscités ou motivés, ne peuvent guère avoir le dessus sur les intérêts généraux, sur la quiétude de tout un peuple, sur son épanouissement et sur son émergence. 

Un grand sage disait : "Si la paix de tout un peuple, l'emporte sur vos intérêts crypto personnels, alors acceptez-la, et entrez dans les rangs pour rentrer dans l'histoire du moment, et si vous en devenez un acteur, alors vous deviendrez à coup sûr et à jamais, une lettre d'or dans ses plus belles pages"!

Dans la souvenance, de 1960 à nos jours, et au-delà même de cette période, à chaque fois, qu'il est nécessaire d'ouvrir un dialogue dans notre pays, Dieu, l'Exalté, a toujours inspiré le principal chef, à appeler tout le monde autour d'une table, avec comme seul vainqueur, le Sénégal.

Maintenant s'assoir ensemble, ne veut pas dire s'entendre sur tout, ni non plus, s'opposer sur tout, et tant qu'il est possible de se concerter, le reste dans une quelconque circonstance, peut être guidé par Dieu, celui-là même qui aura inspiré, l'initiateur de la rencontre. 

Le Prophète Muhammad (sws) en fin stratège, nous a enseigné comment être la solution d'un problème, et non en devenir un autre problème. Il est tant donc, que de part et d'autre, que nous nous fassions confiance, que nous nous départissions des calculs politiques, qui n'honorent guère notre démocratie, vieille de plusieurs décennies, et plébiscitée partout dans le monde. 

Quant un homme marche dans un désert chaud et aride, quand ses souliers semblent usés, quand la déshydratation le guète, et que la pluie par extraordinaire tombe sur lui, le seul acte qu'il doit poser, est de rendre grâce à Dieu, de l'avoir sorti de cette pénombre et demander à ce que cette même grâce se répande sur cette même terre.

Et,vivement donc que "Dame-Retrouvaille" soit célébrée dans nos coeurs comme une perche de paix tendue à tout un peuple,qui aura tout à y gagner!


Pour la libération de son fils, Wade accepte de dialoguer avec Macky... Les préoccupations  du Pr Sall... Idrissa Seck, le grand perdant? ...
C'est connu par les observateurs avertis: les circonstances historiques n'interdisent pas  les conséquences politiques. Ni les calculs tactiques. Le discours de Me Madické Niang au nom et pour le compte de son mentor, Me Abdoulaye Wade, lequel a fini par accepter la main tendue du Pr Sall marque de ce point de vue un tournant et pas des moindres.

Mais soit dit en passant,  un revirement est toujours périlleux. Changer de direction a ses risques et périls. 
Certes, la jugeote recommande une pacification des relations politiques, particulièrement entre l'actuel chef de l'Etat Macky Sall et son ancien mentor Abdoulaye Wade.
Seulement, ce regain de discours, et homélies ronflantes sur l'urgence d'une paix des braves   pourrait avoir des conséquences déstabilisatrices en termes stratégiques,  de part et d'autres. Et, pour cause?

En cédant finalement aux attraits ensorcelants de son jeune successeur au pouvoir Exécutif, Wade a fini par donner raison à ceux qui ont de temps soutenu qu'il n'est obnubilé que par le triste sort de son fils, détenu entre quatre murs pour des raisons connues. Il faudrait être d'une extrême mauvaise foi pour ne pas reconnaitre que le seul et unique souhait  de Wade reste la libération de son fils biologique.

Pour avoir beau cogiter, joué N combinaisons à l'image d'un parieur de pari mutuel urbain, en vain, le "vieux" accepte de s'asseoir enfin à la table du Macky. Osons le dire, ce n'est pas, du tout alors de gaieté de coeur que le "Vieux" se plie de la sorte.  Et de ce retournement de situation, Wade offre ainsi l'occasion rêvée, inespérée à Macky de prendre sa revanche. Ce dernier, qui garde encore vivace dans son esprit ses démêlées avec le PDS, particulièrement avec Wade fils,  n'a  jamais caché son  ambition de réduire l'opposition particulièrement le Pds à sa plus simple expression.
Et pour y arriver, Macky Sall formé à bonne école par Me Abdoulaye Wade, joue ainsi le jeu. Quitte à accepter toutes sortes de compromission.

Qui plus, combien de fois Wade n'a t'il fait des appels du pied, à travers d'abord un discours policier puis moralisateur à son "poulain" (Macky Sall) devenu par la volonté de Dieu... chef de l'Etat et Macky  de faire la sourde oreille? 
Le "pape du Sopi" connu comme un imbu à l’excès des privilèges que lui confère son âge très avancé, a beau manoeuvrer espérant tirer profit plus que la raison sociale n’en peut tolérer de son prestige gérontocratique. En vain.

Et si, Macky a fini par accepter de dialoguer, c'est parce qu'il a fini de cogiter. En plus de vouloir s'accaparer du Pds, l'actuel homme fort du pays, qui s'est entouré de toutes les précautions, pesant le pour et le contre, évite ainsi pour les échéances électorales ce fort taux d'abstention noté lors de la dernière consultation référendaire. En un mot, Macky  entend ainsi prendre le dessus lors des décisives joutes législatives dites "mère des batailles" avant d'aborder la Présidentielle de ...2019.

Aussi, Macky, qui garde encore en  travers de la gorge, les sorties fracassantes, les agissements et déclarations si peu élégants  d'un Idrissa Seck, accepte  t'il ses retrouvailles avec le Pds,dans un souci permanent d' isoler le chef de file de "Rewmi". 


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