Ballotés par plusieurs fers au feu (entre Ngor, Yoff et Ouakam), les gendarmes perdent pied
"J'ai l'impression que les gendarmes sont dépassés par l'ampleur des évènements" lâche tout de go une dame qui visionnait hier une vidéo sur la révolte entre Ngor, Ouakam et Yoff.
Quoi qu'il en soit, depuis l'éclatement de cette affaire des riverains de Ngor s'opposant à la construction d'une brigade de gendarmerie, les gendarmes sont constamment sur la brèche.
Ils ont joué au chat et à la souris avec les manifestants les plus agités.
Et, il faudrait être d'une extrême mauvaise foi pour ne pas reconnaitre que les forces de l’ordre ont été dépassées par l’ampleur du mouvement.
Les débordements constatés ça et là, entre Ngor, Ouakam et Yoff en disent long.
Les forces de l’ordre ont parfois sembler débordées par les actions des protestataires "Lébous". Qui, ont fait voir des vertes et des pas mûres aux "lutteurs antiémeute " de la gendarmerie.
Vous comprendrez légitimement que nous sommes assez inquiets par rapport à la tournure des évènements qui ont l'air de ... dégénérer au jour le jour.
Face à l’intensité des violences notées, pour prévenir et réprimer d’éventuels nouveaux désordres, l’État devrait renforcer la présence des forces de l’ordre en capacité de se confronter à la " jeunesse turbulente " des quartiers populaires à l'image de Ngor, Ouakam, Yoff...
Inutile d'être devin pour subodorer que des interactions frictionnelles, des rapports paroxystiques et complexes vont alors se développer à quelques mois de la Présidentielle entre des jeunes, entre autres opposants " figures de désordres " et des acteurs institués et émergents d’encadrement des classes populaires, en particulier des policiers et gendarmes chargés de pacifier les cités.
À bon entendeur...
njaydakarposte@gmail.com
Quoi qu'il en soit, depuis l'éclatement de cette affaire des riverains de Ngor s'opposant à la construction d'une brigade de gendarmerie, les gendarmes sont constamment sur la brèche.
Ils ont joué au chat et à la souris avec les manifestants les plus agités.
Et, il faudrait être d'une extrême mauvaise foi pour ne pas reconnaitre que les forces de l’ordre ont été dépassées par l’ampleur du mouvement.
Les débordements constatés ça et là, entre Ngor, Ouakam et Yoff en disent long.
Les forces de l’ordre ont parfois sembler débordées par les actions des protestataires "Lébous". Qui, ont fait voir des vertes et des pas mûres aux "lutteurs antiémeute " de la gendarmerie.
Vous comprendrez légitimement que nous sommes assez inquiets par rapport à la tournure des évènements qui ont l'air de ... dégénérer au jour le jour.
Face à l’intensité des violences notées, pour prévenir et réprimer d’éventuels nouveaux désordres, l’État devrait renforcer la présence des forces de l’ordre en capacité de se confronter à la " jeunesse turbulente " des quartiers populaires à l'image de Ngor, Ouakam, Yoff...
Inutile d'être devin pour subodorer que des interactions frictionnelles, des rapports paroxystiques et complexes vont alors se développer à quelques mois de la Présidentielle entre des jeunes, entre autres opposants " figures de désordres " et des acteurs institués et émergents d’encadrement des classes populaires, en particulier des policiers et gendarmes chargés de pacifier les cités.
À bon entendeur...
njaydakarposte@gmail.com
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