Me Bamba Cisse, avocat de Sonko :" Les droits de notre client ont été bafoués, piétinés..."

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Nous sommes venus au tribunal. Nous avons cherché à la cave Me Bamba Cissé 
Nous sommes venus au tribunal. Nous avons cherché à la cave et nous ne l’avons pas vu. Nous sommes montés dans le bureau du doyen des juges qui nous a recu vers 9 heures et qui nous a dit qu’il n’avait pas lui-même vu Ousmane Sonko. Nous avons averti le doyen de ce qu’il était responsable de sécurité dès lors que son mandat d’amener a été exécuté. Il nous a dit qu’il nous informera lorsque Ousmane Sonko sera là. Nous sommes redescendus et vers 11h ; nous avons aperçu notre client monter avec les gendarmes pour se diriver vers le bureau du juge. Nous l’avons suivi. Une fois qu’on ‘est présenté devant le bureau du juge, Ousmane Sonko est entré à 11h03. Nous avons demandé à ce qu’on nous laisse accéder au bureau conformément à nos droits. Parce qu’Il appartient au doyen des juges de veiller à ce que Ousmane Sonko ne soit pas entendu hors la présence de ses avocats. Le gendarme nous a imposé un rapport de force. Il a obstrué notre travail et nous a empêché d’accéder au bureau du juge et nous avons crée un incident. Les droits de notre client ont été bafoués et piétinés. Le doyen des juges ne nous a pas reçu. Il a entendu Ousmane Sonko hors notre présence et nous avons alerté le bâtonnier après avoir fait constater cela. Le bâtonnier est intervenu illico presto . Il a demandé avec le secretaire général de l’ordre a être recu par le doyen des juges en notre présence. Le batnnier  rappeléé les principes qui régissent le fonctionnement de la justice. Il a rappelé que l’avocat est au cœur du système judiciaire en tant que acteur de la justice. Il rappelé qu’il était d’une impérieuse necessité que les droits de l’avocat soient préservés et respectés et que le bâtonnier lui ne transigera jamais sur ces questions liées au droit de la défense. Ousmane Sonko, son audition a été reporté au lundi pour le dossier de viol ; Le juge d’instruction a demandé à être dessaisi pour convenance personnelle. nous ne l’avons pas vu. Nous sommes montés dans le bureau du doyen des juges qui nous a recu vers 9 heures et qui nous a dit qu’il n’avait pas lui-même vu Ousmane Sonko. Nous avons averti le doyen de ce qu’il était responsable de sécurité dès lors que son mandat d’amener a été exécuté. Il nous a dit qu’il nous informera lorsque Ousmane Sonko sera là. Nous sommes redescendus et vers 11h ; nous avons aperçu notre client monter avec les gendarmes pour se diriver vers le bureau du juge. Nous l’avons suivi. Une fois qu’on ‘est présenté devant le bureau du juge, Ousmane Sonko est entré à 11h03. Nous avons demandé à ce qu’on nous laisse accéder au bureau conformément à nos droits. Parce qu’Il appartient au doyen des juges de veiller à ce que Ousmane Sonko ne soit pas entendu hors la présence de ses avocats. Le gendarme nous a imposé un rapport de force. Il a obstrué notre travail et nous a empêché d’accéder au bureau du juge et nous avons crée un incident. Les droits de notre client ont été bafoués et piétinés. Le doyen des juges ne nous a pas reçu. Il a entendu Ousmane Sonko hors notre présence et nous avons alerté le bâtonnier après avoir fait constater cela. Le bâtonnier est intervenu illico presto . Il a demandé avec le secretaire général de l’ordre a être recu par le doyen des juges en notre présence. Le batnnier  rappeléé les principes qui régissent le fonctionnement de la justice. Il a rappelé que l’avocat est au cœur du système judiciaire en tant que acteur de la justice. Il rappelé qu’il était d’une impérieuse necessité que les droits de l’avocat soient préservés et respectés et que le bâtonnier lui ne transigera jamais sur ces questions liées au droit de la défense. Ousmane Sonko, son audition a été reporté au lundi pour le dossier de viol ; Le juge d’instruction a demandé à être dessaisi pour convenance personnelle."