​AFFAIRE DE FAUX, ET USAGE DE FAUX ET TENTATIVE USAGE DE FAUX: Sale temps pour Abdoul Mbaye

L’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye est dans de sale draps. Son ex épouse Aminata Diack s’est constitué partie civil dans le dossier judiciaire en phase final d’instruction au niveau du premier cabinet d’instruction
Abdoul Mbaye l’avait récemment évoqué mais sans entré dans les détails. Selon les informations de Libération, son ex épouse Aminata Diack s’est constituer parti civil dans procédure pour faux, usage de faux et tentative d’escroquerie pendant devant le juge du premier cabinet et pour laquelle le leader de l’acte a été mise en examen et placé sous contrôle judiciaire. Ceux, en même temps que l’ancien officier de l’Etat civil Adama Thiam qui lui en liberté provisoire. Aminata Diack estime en effet avoir subi un lourd préjudice à cause du faux présumé qu’Abdoulaye Mbaye a tenté de faire passer avant que la présidente du tribunal hors classe de Dakar ne saisit le parquet de Dakar qui a ouvert une information judiciaire.
En effet, dans le cadre de la procédure de divorce intenté, Abdoul Mbaye a déposé un certificat de mariage constaté par adama Thiam, à l’époque, officier de l’Etat civil du centre secondaire de principal en date du 31 Décembre 1998. Selon ce document, le maries auraient juré le meilleur et pour le pire sous le registre de la « séparation des biens » et de la monogamie. Seulement, le certificat de mariage déposé par Aminta Diack qui date du 25 Juillet 2014 écrase le document cité plus haut. Ce certificat délivré par le même Adama Thiam sous le numéro 002/1982 constate que le mariage a été consentit sous le régime de la communauté des biens après le mariage d’Abdoul Mbaye et de Aminata Diack lorsque cette dernière été encore étudiante. La constitution de parti civil formalisé par Aminata Diack corse la note pour l’ancien Premier ministre qui pourrait voir son image ternir en cas d’un procès. Lors de l’audience de divorce Aminata Diack et ses conseillers avaient déjà affirmé au juge tout le « bien » qu’elle pensait de son mari : « la vie de ménage a été ponctuée par les comportement sus-décrits indique d’un époux responsable, que le lien matrimonial antérieur résultant de son option monogamie indéniable et prohibitif d’une seconde union matrimoniale ; il se glorifie d’une relation adultérine qui dure depuis Septembre 1998 et se perpétue dans le temps. Les actes et comportements de M Abdoul Mbaye sont blasphématoire pour une personne ayant occupée de sur quoi, des responsabilités dans les plus hauts sphère privée et publique, que pure celui-ci a cherché à l’atteindre au plus profond d’elle-même de par ses comportements sus-décrit, que toutes les tubitèles du mari ne saurait être décrites, ni étalé dans le cadre de la procédure tant elles sont insupportable pour elle. Que depuis longtemps, M. Mbaye ne lui voue aucune affection, ni attention particulière, voulant la réduire au silence et à la résignation. M Abdoul Mbaye est un homme irrespectueux de sa parole, de ses engagements, de son épouse et de la stabilité de son ménage a travers de son comportement et acte défiant la morale, et ses faits sont constitutifs d’injures de nature à rendre l’existence en comment impossible et d’adultère grave.
Libération