La tristesse était à son paroxysme ce lundi au domicile de Fatoumata Mactar Ndiaye. En effet, la vice-présidente du Conseil économique social et environnemental (Cese), tuée chez elle ce samedi à Pikine, a été accompagnée jusqu’à sa dernière demeure ce lundi. Inhumée au cimetière de Pikine, elle a été accompagnée jusqu’à sa dernière demeure par une foule nombreuse qui chantait des versets coraniques. 
De nombreuses personnalités publiques, telles  que Aminata Tall, la présidente du Conseil économique social et environnemental (Cese), le ministre conseiller Mor Ngom, l’ancien ministre de l’Emploi, Benoit Sambou, Déthié Faye de Rewmi, et de nombreuses autres personnalités médiatiques se sont rendues à la maison mortuaire qui a refusé du monde en cette journée de lundi.
 
 

Auteur: Seneweb.com

Le jeune chanteur non voyant a perdu ce dimanche son père. Le défunt s’appelait El Hadj Dame Mbaye et a rendu l’âme à l’hôpital Abass Ndao.

La triste nouvelle a été communiquée par Guissé Pène sur sa page facebook, non sans rappeler que le Père Mbaye père a été manager de la célèbre écurie de lutte de Fass. Il était aussi l’oncle du percussionniste Mbaye Dièye Faye, cousin donc de Ablaye Mbaye.

Dakarposte prie pour le défunt et présente ses sincères condoléances à Ablaye Mbaye, ainsi qu'à Mbaye Dièye.

Premier gouverneur de la région de Fatick dès la réforme de 1985, Seyni Male par ailleurs ancien directeur des affaires générales et de l’administration territoriale(Dagat) au ministère de l’intérieur est décédé à Dakar. Il a été inhumé  au cimetière de Grand Thiès aux côtés de son illustre oncle Elhadj Amadou Mbagnick Sarr, ancien inspecteur des postes de Thiès.
Un grand commis de l’Etat et ténor de l’administration territoriale vient de rendre l’âme .Le gouverneur Seyni Male était un administrateur civil de classe exceptionnelle en retraite. Né en 1939 à Podor, il a gravi tous les échelons de l’administration grâce à sa rigueur, son dévouement et son efficacité.
Diplômé en droit public des universités de Dakar et de Rouen (Normandie-France), il  a franchi les portes de la prestigieuse école nationale d’administration du Sénégal  pour en sortir auréolé d’un diplôme option administration générale. C’était parti dès 1972 pour une brillante carrière administrative qui l’a mené notamment à Thiès comme administrateur de la commune, Nioro comme préfet du département  et Fatick comme premier gouverneur de la région en 1985 .
Seyni Male était par ailleurs un grand chercheur en administration générale pour avoir été l’auteur de plusieurs publications de référence. Il s’agit notamment de ses ouvrages sur la déconcentration au Sénégal et la loi sur le domaine national dans le bassin arachidier et sur la vallée du fleuve Sénégal.
Brillant formateur à l’Enam  et à l’école de formation des inspecteurs de la jeunesse il a dispensé des cours relativement aux finances publiques,  au droit maritime, aux collectivités locales, etc.Seyni Male a aussi participé activement à l’élaboration du code des collectivités locales  au Sénégal en 1995. Chevalier, officier puis commandeur de l’ordre national du Lion, c’est cet illustre serviteur de l’Etat que la nation sénégalaise vient de perdre .Reposez en paix Gouverneur. Que la terre de Thiès vous soit légère.

Auteur: Seneweb 

La disparition de l’artiste Ndiouga Dieng est une "grande perte", affirme l'auteur compositeur. "Nous avons grandi ensemble. Il est de Bargny et Rufisque. C'est pourquoi dès que j'ai appris son décès, je me suis rendu auprès de la famille", renseigne "père" Ouza à L'Observateur. 

Décrit comme un monument de la musique sénégalaise, Ndiouga Dieng a composé de célèbres titres comme "Jirim", "Bul ma miin". Mais, le tube "Déé moo woor" (il n'y a de plus vrai que la mort) restera éternel, selon Ouza Diallo. 

"Tout à l'heure j'écoutais son morceau "Déé moo woor". J'ai l'impression de ne l'avoir jamais écouté auparavant. Aujourdhui, ce morceau m'a particulièrement touché. Je ressens un grand vide. Si ce n'était les préceptes de l'Islam, on aurait mis ce tube pour l'accompagner dans sa dernière demeure. Ndiouga Dieng était très talentueux. Sa musique est interne. Regardez "Déé moo woor", elle date d'une quarantaine d'années. Elle est d'inspiration divine", dit-il.

L’artiste-chanteur sénégalais El Hadj Ndiouga Dieng, un des piliers de l’Orchestra Baobab, est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi à Dakar, à l’âge de 71 ans. "Je vous annonce une mauvaise nouvelle : notre ami et camarade Ndiouga Dieng est décédé cette nuit", a-t-il dit par téléphone, précisant que les obsèques sont prévues vendredi, selon des informations fournies par sa famille. Issu d’une longue lignée de griots de l’ancienne région du Cap-Vert (actuelle région de Dakar), Ndiouga Dieng, né à Bargny (département de Rufisque), était électricien de formation. Il avait intégré l’armée puis la police, dans les années 1960, avant de quitter ce corps, période au cours de laquelle il avait chanté "Xarit mbaa merewoo ma". Il a intégré l’Orchestra Baobab au début des années 1970. Il y trouve de célèbres musiciens, Abdoulaye Mboup, Balla Sidibé, Médoune Diallo, entre autres. Ndiouga Dieng a aussi été membre de l’Orchestre national. Il y a pris sa retraite en 2005. Compositeur de talent, il l’auteur de titres devenus des tubes : "Dee moo woor", "Bul ma miin", "Jirim". Dakarposte.com tient qu'il était longtemps alité et souffrait de diabète. Il avait même reçu, il y'a de cela quelques jours un soutien du Président de la République par l'entremise d'un des ses conseillers, notre confrère Ibrahima Ndoye. Que Dieu l'accueille dans son paradis céleste!