L’enquête sur la mort de Mor SECK a été confiée à la Division des investigations criminelles (DIC), rapporte Libération. Selon le journal, le parquet de Pikine-Guédiawaye, qui s’est autosaisi du dossier, a ordonné l’ouverture d’une information judiciaire confiée à la police judiciaire.
Pour mémoire, la famille du défunt, domiciliée à Wakhinane-Nimzatt, accuse des agents du commissariat de Yeumbeul Nord d’avoir infligé à Mor SECK des blessures ayant entraîné sa mort. Des accusations que la police concernée rejette catégoriquement. Le commissariat incriminé affirme en effet que « l’individu cité comme auteur présumé des coups ne figure pas parmi ses effectifs ».
Toujours d’après Libération, les conclusions de l’autopsie, demandée par le parquet, seront décisives pour déterminer les causes précises du décès et orienter la suite de l’enquête.
Walf
Pour mémoire, la famille du défunt, domiciliée à Wakhinane-Nimzatt, accuse des agents du commissariat de Yeumbeul Nord d’avoir infligé à Mor SECK des blessures ayant entraîné sa mort. Des accusations que la police concernée rejette catégoriquement. Le commissariat incriminé affirme en effet que « l’individu cité comme auteur présumé des coups ne figure pas parmi ses effectifs ».
Toujours d’après Libération, les conclusions de l’autopsie, demandée par le parquet, seront décisives pour déterminer les causes précises du décès et orienter la suite de l’enquête.
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