
Kylian Mbappé a lancé les hostilités. Le PSG a décidé de lui répondre. Toujours par le même moyen : une lettre. Après une première envoyée à la mi-juin (le 13), mais antidatée à juillet 2022 (le 12) pour annoncer son souhait de ne pas activer son option de prolongation d'un an, soit jusqu'en juin 2025, l'attaquant en a récemment expédié une deuxième. Avec, pour objet et selon L'Equipe, les motivations de ce choix qui a pris de court ses dirigeants.
Après ces deux courriers reçus, Paris a contre-attaqué le 3 juillet dernier... via une lettre. Et de trois pages, quand même. D'après les informations de nos confrères, le PSG y explique en préambule sa volonté de voir Mbappé rester, mais sans fermer la porte à une éventuelle demande de transfert. Selon certaines sources citées, il existait un accord oral pour un éventuel départ en 2024 si le principal intéressé en faisait la demande.
LE 31 JUILLET COMME ULTIMATUM
Mécontent d'avoir vu la première lettre envoyée par Mbappé fuiter dans la presse, Paris, qui avait entamé des discussions pour le convaincre de signer au-delà de 2025, n'hésite pas à parler "d'énormes préjudices" et "dommages causés" en vue de son possible départ libre à l'été 2024. Il serait également précisé que l'investissement financier consenti ne peut s'inscrire "que dans le cadre d'une cession future ou d'une continuité au-delà du 30 juin 2024, comme cela était convenu entre nous".
Afin d'éviter un statu quo que le PSG ne souhaite pas, la date du 31 juillet a été fixée comme ultimatum. D'ici là, soit Mbappé décide de rester et prolonger, soit il s'en va dès cet été, comme annoncé par Nasser al-Khelaïfi mercredi en conférence de presse. Enfin, concernant certains reproches du joueur, dont un mercato 2022 qui aurait dû être "très ambitieux", le club de la capitale se défend.
NOUS AVONS ESSAYÉ DE RÉPONDRE À VOS DEMANDES
"Nous n'avons pu que partiellement réaliser compte tenu des conditions du mercato et des contraintes réglementaires françaises et européennes, peut-on lire dans les extraits rapportés par L'Equipe. Des conditions complètement hors de notre contrôle mais en dépit desquelles nous avons essayé de répondre à vos demandes contrairement à ce que nous aurions fait pour tout autre joueur sans être fatal au club."
Après ces deux courriers reçus, Paris a contre-attaqué le 3 juillet dernier... via une lettre. Et de trois pages, quand même. D'après les informations de nos confrères, le PSG y explique en préambule sa volonté de voir Mbappé rester, mais sans fermer la porte à une éventuelle demande de transfert. Selon certaines sources citées, il existait un accord oral pour un éventuel départ en 2024 si le principal intéressé en faisait la demande.
LE 31 JUILLET COMME ULTIMATUM
Mécontent d'avoir vu la première lettre envoyée par Mbappé fuiter dans la presse, Paris, qui avait entamé des discussions pour le convaincre de signer au-delà de 2025, n'hésite pas à parler "d'énormes préjudices" et "dommages causés" en vue de son possible départ libre à l'été 2024. Il serait également précisé que l'investissement financier consenti ne peut s'inscrire "que dans le cadre d'une cession future ou d'une continuité au-delà du 30 juin 2024, comme cela était convenu entre nous".
Afin d'éviter un statu quo que le PSG ne souhaite pas, la date du 31 juillet a été fixée comme ultimatum. D'ici là, soit Mbappé décide de rester et prolonger, soit il s'en va dès cet été, comme annoncé par Nasser al-Khelaïfi mercredi en conférence de presse. Enfin, concernant certains reproches du joueur, dont un mercato 2022 qui aurait dû être "très ambitieux", le club de la capitale se défend.
NOUS AVONS ESSAYÉ DE RÉPONDRE À VOS DEMANDES
"Nous n'avons pu que partiellement réaliser compte tenu des conditions du mercato et des contraintes réglementaires françaises et européennes, peut-on lire dans les extraits rapportés par L'Equipe. Des conditions complètement hors de notre contrôle mais en dépit desquelles nous avons essayé de répondre à vos demandes contrairement à ce que nous aurions fait pour tout autre joueur sans être fatal au club."