
Le comité des droits de l’homme de l’ONU a appelé la Côte d’Ivoire à « prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir que M. Cheick Tidjane THIAM puisse exercer ses droits politiques en vertu de l’article 25 du pacte, tant que sa requête est en cours d’examen par le comité », peut-on lire dans la décision rendue par le Haut-commissariat aux droits de l’homme.
Le comité a profité de l’occasion pour rappeler qu’aucune décision n’a été prise sur la question de la recevabilité de la communication ou sur le fond des allégations, et que « l’Etat partie est prié de soumettre ses observations sur la communication au plus tard le 8 juillet 2026 ».
Selon Me Mathias CHICHPORTICH, avocat de M. THIAM « le comité enjoint ainsi à la Côte d’Ivoire de permettre au président Tidjane Thiam de concourir à l’élection présidentielle de 2025. »
Selon l’avocat de M. THIAM, cette clause lui assure notamment le droit de vote, d’élection et d’accès, dans des conditions d’égalité générale, aux postes publics de son pays.
« Cette décision d’un organe indépendant de la plus haute instance internationale en charge du respect des droits de l’homme est sans appel. Les dirigeants de la Côte d’Ivoire sont désormais face à leurs responsabilités. Il y va de leur crédibilité dans le concert des nations », a estimé Maître CHICHPORTICH.
Walf
Le comité a profité de l’occasion pour rappeler qu’aucune décision n’a été prise sur la question de la recevabilité de la communication ou sur le fond des allégations, et que « l’Etat partie est prié de soumettre ses observations sur la communication au plus tard le 8 juillet 2026 ».
Selon Me Mathias CHICHPORTICH, avocat de M. THIAM « le comité enjoint ainsi à la Côte d’Ivoire de permettre au président Tidjane Thiam de concourir à l’élection présidentielle de 2025. »
Selon l’avocat de M. THIAM, cette clause lui assure notamment le droit de vote, d’élection et d’accès, dans des conditions d’égalité générale, aux postes publics de son pays.
« Cette décision d’un organe indépendant de la plus haute instance internationale en charge du respect des droits de l’homme est sans appel. Les dirigeants de la Côte d’Ivoire sont désormais face à leurs responsabilités. Il y va de leur crédibilité dans le concert des nations », a estimé Maître CHICHPORTICH.
Walf