Solo Quotidien est en mesure de révéler que Madiambal Diagne a réussi l’exploit d’entrer en France et tenez-vous bien…par avion.
Cerise sur le gâteau : il nargue les autorités du pays, notamment les forces de l’ordre à ses trousses, en postant ce qui suit sur X ex Tweeter : «Je suis arrivé en France depuis ce 24/9/2025. J’ai quitté le Sénégal le soir même de l’opposition par la Police à mon départ pour la France. J’ai tenu à me donner quelques (sic) pour préparer ma défense. Je reviendrai dans quelques jours pour faire face à mes responsabilités»
Comment a-t-il réussi à déjouer les contrôles de sécurité et à prendre un vol pour rallier le pays de Marianne ?
Des informations glanées de nos réseaux de renseignements, tapis sous nos cieux et à l’étranger, il ressort que le fugitif le plus recherché du pays, est parvenu à quitter le territoire Sénégalais par voie terrestre pour se rendre en Gambie. Et, c’est à partir de chez nos « mbokas » que le sieur Diagne, éconduit à l’AIBD alors qu’il voulait filer à l’anglaise pour se rendre à Paris, réussit à prendre l’avion, précisément le vol de la compagnie Royal air Maroc immatriculé AT 578 en partance pour la France.
Comment a-t-il réussi son coup ? Quid de son secret ? Un savant mélange de manipulations bien ficelés, comme il fait d’ordinaire, mais aussi et surtout une parfaite maîtrise des failles du système sécuritaire.
C’est révéler un secret de polichinelle de dire que nos frontières sont poreuses et plusieurs observateurs le signalent depuis plusieurs années. Certes, la police est présente dans les localités où passent le plus grand nombre de voyageurs qui voyagent vers l’étranger mais il existe des points de passage qui ne sont surveillés que de loin par la police et les douanes.
Aussi, un individu, qui qu’il puisse être ne devrait pouvoir quitter le territoire national s’il lui est notifié une interdiction de sortie.
Pourtant Madiambal Diagne, devenu, depuis plus de 72 heures, la cible d’une chasse à l’homme d’envergure nationale, s’est fait la malle.
Force est de reconnaitre qu’il a, sans aucun doute , bénéficié de complicités.
Il y’a de quoi se faire un sang d’encre sur la fiabilité des dispositifs de contrôle à nos frontières.
Il convient de renforcer la surveillance et la coopération avec nos voisins afin que des fugitifs ne puissent utiliser leur territoire pour se soustraire à la justice de notre pays.
En tout état de cause cette fuite sonne comme un aveu de culpabilité car, l’homme était un proche de l’ancien président Macky Sall et avait donc des entrées dans toutes les administrations.
Les relations qu’il a pu y nouer lui auraient peut-être servi à se sauver sur la pointe des pieds.
Mais il se pose une autre question – Pourquoi Madiambal a-t-il pris la poudre d’escampette s’il n’a rien à se reprocher ? Mais force est d’insister sur la fuite de l’ancien greffier et donc la fiabilité des dispositifs de contrôle à nos frontières.
Il convient de renforcer la surveillance et la coopération avec nos voisins afin que des fugitifs ne puissent utiliser leur territoire pour se soustraire à la justice de notre pays.
Sa fuite a captivé l’opinion publique et dans le même temps devrait mettre en alerte les autorités, notamment les pièces maitresses des FDS sur les failles en matière de sécurité qui l’ont rendue possible, et ce jusqu’au sommet de l’État.
Il est donc plus que temps de nettoyer les écuries d’augias, bref de situer les responsabilités avant de sanctionner les fautifs.
africa7.com
Cerise sur le gâteau : il nargue les autorités du pays, notamment les forces de l’ordre à ses trousses, en postant ce qui suit sur X ex Tweeter : «Je suis arrivé en France depuis ce 24/9/2025. J’ai quitté le Sénégal le soir même de l’opposition par la Police à mon départ pour la France. J’ai tenu à me donner quelques (sic) pour préparer ma défense. Je reviendrai dans quelques jours pour faire face à mes responsabilités»
Comment a-t-il réussi à déjouer les contrôles de sécurité et à prendre un vol pour rallier le pays de Marianne ?
Des informations glanées de nos réseaux de renseignements, tapis sous nos cieux et à l’étranger, il ressort que le fugitif le plus recherché du pays, est parvenu à quitter le territoire Sénégalais par voie terrestre pour se rendre en Gambie. Et, c’est à partir de chez nos « mbokas » que le sieur Diagne, éconduit à l’AIBD alors qu’il voulait filer à l’anglaise pour se rendre à Paris, réussit à prendre l’avion, précisément le vol de la compagnie Royal air Maroc immatriculé AT 578 en partance pour la France.
Comment a-t-il réussi son coup ? Quid de son secret ? Un savant mélange de manipulations bien ficelés, comme il fait d’ordinaire, mais aussi et surtout une parfaite maîtrise des failles du système sécuritaire.
C’est révéler un secret de polichinelle de dire que nos frontières sont poreuses et plusieurs observateurs le signalent depuis plusieurs années. Certes, la police est présente dans les localités où passent le plus grand nombre de voyageurs qui voyagent vers l’étranger mais il existe des points de passage qui ne sont surveillés que de loin par la police et les douanes.
Aussi, un individu, qui qu’il puisse être ne devrait pouvoir quitter le territoire national s’il lui est notifié une interdiction de sortie.
Pourtant Madiambal Diagne, devenu, depuis plus de 72 heures, la cible d’une chasse à l’homme d’envergure nationale, s’est fait la malle.
Force est de reconnaitre qu’il a, sans aucun doute , bénéficié de complicités.
Il y’a de quoi se faire un sang d’encre sur la fiabilité des dispositifs de contrôle à nos frontières.
Il convient de renforcer la surveillance et la coopération avec nos voisins afin que des fugitifs ne puissent utiliser leur territoire pour se soustraire à la justice de notre pays.
En tout état de cause cette fuite sonne comme un aveu de culpabilité car, l’homme était un proche de l’ancien président Macky Sall et avait donc des entrées dans toutes les administrations.
Les relations qu’il a pu y nouer lui auraient peut-être servi à se sauver sur la pointe des pieds.
Mais il se pose une autre question – Pourquoi Madiambal a-t-il pris la poudre d’escampette s’il n’a rien à se reprocher ? Mais force est d’insister sur la fuite de l’ancien greffier et donc la fiabilité des dispositifs de contrôle à nos frontières.
Il convient de renforcer la surveillance et la coopération avec nos voisins afin que des fugitifs ne puissent utiliser leur territoire pour se soustraire à la justice de notre pays.
Sa fuite a captivé l’opinion publique et dans le même temps devrait mettre en alerte les autorités, notamment les pièces maitresses des FDS sur les failles en matière de sécurité qui l’ont rendue possible, et ce jusqu’au sommet de l’État.
Il est donc plus que temps de nettoyer les écuries d’augias, bref de situer les responsabilités avant de sanctionner les fautifs.
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