Le ministre Abdourahmane Diouf a jeté un pavé dans la mare. En prônant une réconciliation nationale et le pardon pour l’unité du pays, il a dérangé un grand nombre d’inconditionnels du parti « Pastef ». Qui n’ont pas manqué d’exprimer- à qui mieux-mieux- leur courroux, notamment sur sur les réseaux sociaux.
« Le plus simple, si le Professeur Abdourahmane Diouf croit encore en sa propre crédibilité, serait de rendre son tablier. Ses dernières sorties sont non seulement inopportunes, mais aussi creuses, maladroites et franchement contre-productives. À chaque prise de parole, il s’enfonce davantage dans le ridicule, comme s’il cherchait à saboter sa propre image » réagit un endoctriné du « PASTEF » avant d’en rajouter cette couche : « Quand le Président DiomayeFaye, le Premier ministre et le Pastef traversaient le désert politique, affrontant les persécutions et les obstacles, où était Abdourahmane Diouf ? Absent. Aujourd’hui, il se présente comme un chantre de la concorde, prônant le pardon et le consensus, mais ses appels sonnent faux, déconnectés des réalités du moment. Ce n’est pas de paix qu’il parle, mais d’effacement des responsabilités. Son discours sur la haine et la vengeance ressemble davantage à une tentative de blanchiment politique qu’à une réflexion sincère. Il refuse la polémique, certes, mais il refuse surtout de répondre aux vraies questions : quelle est sa position sur les crimes économiques passés ? Sur les injustices subies ? Sur les attentes du peuple ? Même son slogan détourné — “As moy Diomaye, Diomaye moy As” — trahit une posture ambiguë : entre loyauté affichée et calcul politique. Il veut se montrer fidèle tout en revendiquant une indépendance d’esprit, mais cette gymnastique ne trompe personne. Les internautes ne s’y sont pas trompés : beaucoup y voient une manœuvre pour préparer sa sortie du gouvernement et se repositionner. En somme, le Dr Diouf donne l’impression d’un homme en décalage, qui parle pour exister, mais qui ne propose rien de concret. Soit il part de lui-même, soit il sera poussé vers la sortie. Car dans un gouvernement qui se veut porteur de rupture, il incarne tout sauf le renouveau. »
L’expert en gestion de projets, aux commandes de la SN HLM, relativise
Bassirou Kebe du Moncaf, une structure de Pastef, a préféré relativiser. Pour lui, il s’agit d’une position que ses camarades de parti ne comprennent pas et l’interprètent à leur manière.
En tous les cas, nombre de « pastefiens », comme s’ils s’étaient passés le mot, accusent Abdourahmane Diouf d’oublier les victimes des évènements de 2021 et 2023.
Aux yeux de Bassirou Kebe, le duo Diomaye-Sonko reste sur une ligne bien claire : préserver la cohésion nationale sans renoncer à la vérité et à la justice.
À l’en croire, c’est ce cap que s’est fixé le président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko. Quant à ceux qui théorisent l’existence de divergences entre les deux hommes, il leur répond politiquement. « Les enjeux du moment sont trop importants pour qu’on s’arrête sur ce genre de débats » apaise-t-il.
Pour l’expert en gestion des projets, ceux qui alimentent cette rumeur souhaitent tout simplement casser la dynamique de réalisation de leur projet. Ils leur souhaitent donc d’échouer afin d’attiser la colère des Sénégalais qui les congédierons dès la fin de leur premier mandat. Mais, pour le sieur Kébé c’est peine perdue car les Sénégalais ne veulent plus de l’ancien système et ne reviendrons pas en arrière.
Aussi revient-il sur l’affaire Abdourahmane Diouf pour minimiser la portée des récriminations de certains « patriotes » contre lui.
À son avis il ne s’agit que d’une sensibilité interne au sein de Pastef, ce qu’il trouve normal dans un parti politique.
« Le plus simple, si le Professeur Abdourahmane Diouf croit encore en sa propre crédibilité, serait de rendre son tablier. Ses dernières sorties sont non seulement inopportunes, mais aussi creuses, maladroites et franchement contre-productives. À chaque prise de parole, il s’enfonce davantage dans le ridicule, comme s’il cherchait à saboter sa propre image » réagit un endoctriné du « PASTEF » avant d’en rajouter cette couche : « Quand le Président DiomayeFaye, le Premier ministre et le Pastef traversaient le désert politique, affrontant les persécutions et les obstacles, où était Abdourahmane Diouf ? Absent. Aujourd’hui, il se présente comme un chantre de la concorde, prônant le pardon et le consensus, mais ses appels sonnent faux, déconnectés des réalités du moment. Ce n’est pas de paix qu’il parle, mais d’effacement des responsabilités. Son discours sur la haine et la vengeance ressemble davantage à une tentative de blanchiment politique qu’à une réflexion sincère. Il refuse la polémique, certes, mais il refuse surtout de répondre aux vraies questions : quelle est sa position sur les crimes économiques passés ? Sur les injustices subies ? Sur les attentes du peuple ? Même son slogan détourné — “As moy Diomaye, Diomaye moy As” — trahit une posture ambiguë : entre loyauté affichée et calcul politique. Il veut se montrer fidèle tout en revendiquant une indépendance d’esprit, mais cette gymnastique ne trompe personne. Les internautes ne s’y sont pas trompés : beaucoup y voient une manœuvre pour préparer sa sortie du gouvernement et se repositionner. En somme, le Dr Diouf donne l’impression d’un homme en décalage, qui parle pour exister, mais qui ne propose rien de concret. Soit il part de lui-même, soit il sera poussé vers la sortie. Car dans un gouvernement qui se veut porteur de rupture, il incarne tout sauf le renouveau. »
L’expert en gestion de projets, aux commandes de la SN HLM, relativise
Bassirou Kebe du Moncaf, une structure de Pastef, a préféré relativiser. Pour lui, il s’agit d’une position que ses camarades de parti ne comprennent pas et l’interprètent à leur manière.
En tous les cas, nombre de « pastefiens », comme s’ils s’étaient passés le mot, accusent Abdourahmane Diouf d’oublier les victimes des évènements de 2021 et 2023.
Aux yeux de Bassirou Kebe, le duo Diomaye-Sonko reste sur une ligne bien claire : préserver la cohésion nationale sans renoncer à la vérité et à la justice.
À l’en croire, c’est ce cap que s’est fixé le président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko. Quant à ceux qui théorisent l’existence de divergences entre les deux hommes, il leur répond politiquement. « Les enjeux du moment sont trop importants pour qu’on s’arrête sur ce genre de débats » apaise-t-il.
Pour l’expert en gestion des projets, ceux qui alimentent cette rumeur souhaitent tout simplement casser la dynamique de réalisation de leur projet. Ils leur souhaitent donc d’échouer afin d’attiser la colère des Sénégalais qui les congédierons dès la fin de leur premier mandat. Mais, pour le sieur Kébé c’est peine perdue car les Sénégalais ne veulent plus de l’ancien système et ne reviendrons pas en arrière.
Aussi revient-il sur l’affaire Abdourahmane Diouf pour minimiser la portée des récriminations de certains « patriotes » contre lui.
À son avis il ne s’agit que d’une sensibilité interne au sein de Pastef, ce qu’il trouve normal dans un parti politique.


Affaire Abdourahmane Diouf – Bassirou Kébé, cadre de Pastef, clôt le débat !

