Le piège se referme lentement mais sûrement sur El Hadj Babacar Dioum, alias “Kocc”. Selon les informations exclusives du quotidien L’Observateur, les éléments de la Division Spéciale de Cybersécurité (DSC) ont poursuivi leur vaste opération visant à démanteler l’empire tentaculaire du célèbre administrateur du site pornographique Seneporno. L’enquête, lancée après l’arrestation choc de Kocc, prend une ampleur insoupçonnée, débordant largement du simple cadre des délits de mœurs.
Une enquête sous haute tension
Ce week-end, les enquêteurs de la DSC ont frappé fort. D’abord vendredi, puis à nouveau dimanche, des perquisitions musclées ont été menées dans plusieurs lieux stratégiques associés à l’accusé. Et pour cause : lors de la première descente, une arme à feu et des munitions avaient été découvertes. La hiérarchie policière a alors décidé de solliciter l’appui de la Brigade d’Intervention Polyvalente (BIP), qui a sécurisé les nouvelles opérations de dimanche.
Ces descentes ont permis la saisie d’un arsenal de pièces à conviction : ordinateurs portables, véhicules, armes, billets de banque… Un butin qui ne laisse guère de place au doute sur la sophistication du réseau. Et surtout, un réseau bien plus vaste que ce que laissait entrevoir la façade sulfureuse du site Seneporno.
Blanchiment de capitaux et autres délits en cascade
D’après L’Observateur, les enquêteurs de la cybersécurité s’intéressent désormais à une possible entreprise criminelle structurée autour de la collecte illégale de données, d’atteintes à la vie privée, de chantage sexuel, mais aussi – fait nouveau – de blanchiment d’argent à grande échelle. Un véritable « boulevard » financier s’ouvre à eux, avec la découverte d’un impressionnant parc automobile lié à Kocc. Chaque voiture, chaque transaction est désormais passée au crible.
L’un des propriétaires de ces véhicules – dont un gros cylindré emprunté par Mame Ndiaye “Savon” pour un baptême – s’est d’ailleurs présenté de lui-même aux enquêteurs, preuve que le filet judiciaire commence à provoquer des remous jusque dans les cercles de “proches” ou d’“associés” du mis en cause.
Des intérêts commerciaux sous surveillance
Un des lieux visés par les descentes est le restaurant Eddy’s, point névralgique de l’enquête. Les enquêteurs s’intéressent de près à l’identité de son propriétaire, soupçonné de jouer un rôle non négligeable dans ce réseau. Les opérations de la DSC ne laissent rien au hasard, et chaque lien, même indirect, avec Kocc est méticuleusement vérifié
dakaractu
Une enquête sous haute tension
Ce week-end, les enquêteurs de la DSC ont frappé fort. D’abord vendredi, puis à nouveau dimanche, des perquisitions musclées ont été menées dans plusieurs lieux stratégiques associés à l’accusé. Et pour cause : lors de la première descente, une arme à feu et des munitions avaient été découvertes. La hiérarchie policière a alors décidé de solliciter l’appui de la Brigade d’Intervention Polyvalente (BIP), qui a sécurisé les nouvelles opérations de dimanche.
Ces descentes ont permis la saisie d’un arsenal de pièces à conviction : ordinateurs portables, véhicules, armes, billets de banque… Un butin qui ne laisse guère de place au doute sur la sophistication du réseau. Et surtout, un réseau bien plus vaste que ce que laissait entrevoir la façade sulfureuse du site Seneporno.
Blanchiment de capitaux et autres délits en cascade
D’après L’Observateur, les enquêteurs de la cybersécurité s’intéressent désormais à une possible entreprise criminelle structurée autour de la collecte illégale de données, d’atteintes à la vie privée, de chantage sexuel, mais aussi – fait nouveau – de blanchiment d’argent à grande échelle. Un véritable « boulevard » financier s’ouvre à eux, avec la découverte d’un impressionnant parc automobile lié à Kocc. Chaque voiture, chaque transaction est désormais passée au crible.
L’un des propriétaires de ces véhicules – dont un gros cylindré emprunté par Mame Ndiaye “Savon” pour un baptême – s’est d’ailleurs présenté de lui-même aux enquêteurs, preuve que le filet judiciaire commence à provoquer des remous jusque dans les cercles de “proches” ou d’“associés” du mis en cause.
Des intérêts commerciaux sous surveillance
Un des lieux visés par les descentes est le restaurant Eddy’s, point névralgique de l’enquête. Les enquêteurs s’intéressent de près à l’identité de son propriétaire, soupçonné de jouer un rôle non négligeable dans ce réseau. Les opérations de la DSC ne laissent rien au hasard, et chaque lien, même indirect, avec Kocc est méticuleusement vérifié
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