Dans le cadre de l'affaire APR et autres contre le sieur Azoura Fall, les parties civiles précitées ont finalement décidé de se désister, par le biais de leurs avocats.
À travers une lettre adressée au président du Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar, les parties civiles sont revenues sur cette décision :
« La juge ayant présidé l'audience avait estimé devoir renvoyer la cause d'office et ordonné la mise en liberté provisoire du prévenu Assane Guèye dit Azoura Fall à la demande des avocats de la défense, dont l'argumentaire principal était fondé sur la démence d'Assane Guèye dit Azoura Fall [...]. Cette démence serait attestée par un rapport daté du 12 mai 2025, établi par le médecin Souleymane Loucar, militant de Pastef [...].
Ainsi, les parties civiles ont considéré qu'avec cette décision, le tribunal a déjà tranché le litige en considérant, sans expertise contradictoire, la démence d'Assane Guèye. »
À cet effet, la démence d'Assane Guèye étant actée, « les parties civiles ont estimé qu'il n'est plus nécessaire de maintenir leur action contre un "fou" en invoquant l'article 50 du Code pénal.
Par conséquent, elles ont décidé de choisir le désistement... »
DAKARACTU
À travers une lettre adressée au président du Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar, les parties civiles sont revenues sur cette décision :
« La juge ayant présidé l'audience avait estimé devoir renvoyer la cause d'office et ordonné la mise en liberté provisoire du prévenu Assane Guèye dit Azoura Fall à la demande des avocats de la défense, dont l'argumentaire principal était fondé sur la démence d'Assane Guèye dit Azoura Fall [...]. Cette démence serait attestée par un rapport daté du 12 mai 2025, établi par le médecin Souleymane Loucar, militant de Pastef [...].
Ainsi, les parties civiles ont considéré qu'avec cette décision, le tribunal a déjà tranché le litige en considérant, sans expertise contradictoire, la démence d'Assane Guèye. »
À cet effet, la démence d'Assane Guèye étant actée, « les parties civiles ont estimé qu'il n'est plus nécessaire de maintenir leur action contre un "fou" en invoquant l'article 50 du Code pénal.
Par conséquent, elles ont décidé de choisir le désistement... »
DAKARACTU