À quelques heures de l’élection à la présidence de la Fédération sénégalaise de football (FSF), prévue ce samedi, la tension monte d’un cran. Pas moins de sept candidats avaient initialement manifesté leur intérêt pour un poste devenu bien plus qu’un simple mandat administratif : un levier de pouvoir, de visibilité et d’influence au Sénégal comme à l’international.
Le retrait de Me Moustapha KAMARA au profit du président sortant, Augustin SENGHOR, en lice pour un cinquième mandat, témoigne de la recomposition des alliances en coulisses, comme l’indique Seneweb. Mais cette nouvelle candidature d’Augustin SENGHOR, en poste depuis plus de 15 ans, suscite des résistances. Une coalition d’anciens proches, désormais opposants, milite pour un renouvellement à la tête de la fédération, malgré les acquis – dont le sacre continental en 2021. Parmi les challengers, Mady TOURE revient pour une nouvelle tentative. Le patron de Génération Foot incarne une vision tournée vers les clubs, souvent en opposition avec l’approche fédérale actuelle.
Comme le souligne toujours Seneweb, la présidence de la FSF offre un accès privilégié aux instances internationales comme la FIFA et la CAF, des canaux pour capter financements et projets, ainsi qu’une forte exposition médiatique. À cela s’ajoutent des enjeux politiques sous-jacents, qui confèrent à ce scrutin les allures d’une véritable bataille d’influence nationale.
Walf
Le retrait de Me Moustapha KAMARA au profit du président sortant, Augustin SENGHOR, en lice pour un cinquième mandat, témoigne de la recomposition des alliances en coulisses, comme l’indique Seneweb. Mais cette nouvelle candidature d’Augustin SENGHOR, en poste depuis plus de 15 ans, suscite des résistances. Une coalition d’anciens proches, désormais opposants, milite pour un renouvellement à la tête de la fédération, malgré les acquis – dont le sacre continental en 2021. Parmi les challengers, Mady TOURE revient pour une nouvelle tentative. Le patron de Génération Foot incarne une vision tournée vers les clubs, souvent en opposition avec l’approche fédérale actuelle.
Comme le souligne toujours Seneweb, la présidence de la FSF offre un accès privilégié aux instances internationales comme la FIFA et la CAF, des canaux pour capter financements et projets, ainsi qu’une forte exposition médiatique. À cela s’ajoutent des enjeux politiques sous-jacents, qui confèrent à ce scrutin les allures d’une véritable bataille d’influence nationale.
Walf