
Sur la forme, le président français veut montrer que, même très pris par l’internationale, il est toujours connecté avec son pays, la France. Pendant les deux heures d’émission, il échangera avec un influenceur et chef d’entreprise, une leader syndicale, une jeune journaliste engagée sur les sujets environnementaux ou encore un maire porté sur les questions de sécurité et d’identité.
L’occasion de répondre à des critiques sur ses huit années de pouvoir. La contestée réforme des retraites, l’immigration, la sécurité, les finances publiques, l’écologie ou encore la dissolution de l’an dernier doivent s’inviter aux discussions.
Futur référendum en vue ?
Emmanuel Macron pourrait aussi faire une annonce très attendue. Un futur référendum déjà évoqué lors de ses vœux du Nouvel An. Fait inédit : la consultation pourrait comprendre trois questions. Plusieurs pistes circulent dans la presse comme la fin de vie, le travail, les enfants et les écrans ou encore une réforme territoriale.
Ce rendez-vous avec les Français intervient à un moment opportun. La popularité du président remonte quand celle du Premier ministre est à un niveau historiquement bas.
Combien coûte l'organisation d'un référendum en France ?
Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a expliqué dimanche qu’un référendum, éventuellement avec plusieurs questions, pouvait être organisé après l’été, pour un coût qu’il a évalué entre 100 et 200 millions d’euros. Le Premier ministre François Bayrou a récemment souhaité pouvoir interroger les Français directement sur la question des finances publiques. Le président Emmanuel Macron, dont c’est la prérogative, devrait dire mardi sur TF1 ce qu’il en pense et donner des détails sur les référendums qu’il avait évoqués lors de ses vœux aux Français pour 2025.
Assurant avoir déjà tenu « un certain nombre de réunions au ministère de l’Intérieur » et avoir été sollicité pour « trancher un certain nombre de questions », Bruno Retailleau a assuré au Grand Jury RTL-Public Sénat-Le Figaro-M6 qu’« un référendum qui n’est pas dématérialisé, c’est à peu près un coût de 200 millions d’euros » car « il faut prévoir le papier ». « Un référendum complètement dématérialisé, c’est 100 millions d’euros », a-t-il ajouté, en alertant néanmoins sur les risques liés à la « fracture numérique ».
Il a par ailleurs jugé peu probable l’organisation d’un tel scrutin avant l’été. « Il y a une énorme administration très concrète, y compris avec les communes, pour mettre au point la propagande électorale, pour mettre au point les règles. C’est compliqué », a-t-il justifié, rappelant également la nécessité d’avoir « une campagne électorale ». « Mais dans les mois ensuite, bien sûr que oui », a-t-il complété.
Rfi
L’occasion de répondre à des critiques sur ses huit années de pouvoir. La contestée réforme des retraites, l’immigration, la sécurité, les finances publiques, l’écologie ou encore la dissolution de l’an dernier doivent s’inviter aux discussions.
Futur référendum en vue ?
Emmanuel Macron pourrait aussi faire une annonce très attendue. Un futur référendum déjà évoqué lors de ses vœux du Nouvel An. Fait inédit : la consultation pourrait comprendre trois questions. Plusieurs pistes circulent dans la presse comme la fin de vie, le travail, les enfants et les écrans ou encore une réforme territoriale.
Ce rendez-vous avec les Français intervient à un moment opportun. La popularité du président remonte quand celle du Premier ministre est à un niveau historiquement bas.
Combien coûte l'organisation d'un référendum en France ?
Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a expliqué dimanche qu’un référendum, éventuellement avec plusieurs questions, pouvait être organisé après l’été, pour un coût qu’il a évalué entre 100 et 200 millions d’euros. Le Premier ministre François Bayrou a récemment souhaité pouvoir interroger les Français directement sur la question des finances publiques. Le président Emmanuel Macron, dont c’est la prérogative, devrait dire mardi sur TF1 ce qu’il en pense et donner des détails sur les référendums qu’il avait évoqués lors de ses vœux aux Français pour 2025.
Assurant avoir déjà tenu « un certain nombre de réunions au ministère de l’Intérieur » et avoir été sollicité pour « trancher un certain nombre de questions », Bruno Retailleau a assuré au Grand Jury RTL-Public Sénat-Le Figaro-M6 qu’« un référendum qui n’est pas dématérialisé, c’est à peu près un coût de 200 millions d’euros » car « il faut prévoir le papier ». « Un référendum complètement dématérialisé, c’est 100 millions d’euros », a-t-il ajouté, en alertant néanmoins sur les risques liés à la « fracture numérique ».
Il a par ailleurs jugé peu probable l’organisation d’un tel scrutin avant l’été. « Il y a une énorme administration très concrète, y compris avec les communes, pour mettre au point la propagande électorale, pour mettre au point les règles. C’est compliqué », a-t-il justifié, rappelant également la nécessité d’avoir « une campagne électorale ». « Mais dans les mois ensuite, bien sûr que oui », a-t-il complété.
Rfi