
L’information, largement relayée sur les réseaux sociaux, est finalement confirmée par plusieurs sources judiciaires. La sortie de prison se serait faite en deux phases. D’abord, Sylvia Bongo aurait quitté sa cellule mardi 6 mai. Son fils Noureddin Bongo Valentin, vendredi 9 mai. Toujours selon ces sources, tous deux auraient rejoint la résidence de la Sablière, dans le nord de la capitale, où les attendait l’ancien président Ali Bongo.
L’ex-première dame et son fils ne sont pas pour autant totalement libres. Ils sont assignés à résidence. Ils doivent donc être toujours disponibles en cas de nécessité de la justice gabonaise.
« Cette évolution fait suite à un accord », soutient un proche du dossier qui ne donne aucun détail sur le contenu ou sur les signataires de cet accord.
Du côté du gouvernement, pas de déclaration : ni confirmation ni infirmation.
Sylvia Bongo et son fils avaient été arrêtés dès les premières heures du coup d’État du 30 août 2023 perpétré par leur ancien chef de Sécurité, Brice Clotaire Oligui Nguema. Plusieurs chefs d’accusation pèsent contre eux, dont le détournement de fonds publics et le blanchiment de capitaux.
Leurs avocats ont toujours dénoncé des conditions de détention particulièrement horribles à la prison centrale de Libreville.
Rfi
L’ex-première dame et son fils ne sont pas pour autant totalement libres. Ils sont assignés à résidence. Ils doivent donc être toujours disponibles en cas de nécessité de la justice gabonaise.
« Cette évolution fait suite à un accord », soutient un proche du dossier qui ne donne aucun détail sur le contenu ou sur les signataires de cet accord.
Du côté du gouvernement, pas de déclaration : ni confirmation ni infirmation.
Sylvia Bongo et son fils avaient été arrêtés dès les premières heures du coup d’État du 30 août 2023 perpétré par leur ancien chef de Sécurité, Brice Clotaire Oligui Nguema. Plusieurs chefs d’accusation pèsent contre eux, dont le détournement de fonds publics et le blanchiment de capitaux.
Leurs avocats ont toujours dénoncé des conditions de détention particulièrement horribles à la prison centrale de Libreville.
Rfi