
Selon des informations fiables en possession de dakarposte, l'ancien chef du bureau du Cadastre de Guédiawaye, a été finalement conduit, sous escorte policière, au parquet.
En effet, Habib Niang, puisqu'il s'agit de lui, tombé dans la nasse des limiers de la Division des Investigations Criminelles , auditionné avant d'être placé en positon de garde à vue, a été déféré au tribunal de Guédiawaye.
Au moment où ces lignes sont écrites, il se trouve dans la cave du parquet en attendant son face à face avec le maitre des poursuites (entendez le procureur ).
Il est poursuivi pour escroquerie foncière présumée.
Les faits concernent une vente de terrain fictif. Même si Habib Niang a restitué l’argent au plaignant, cela n’a pas empêché le procureur de la République près le tribunal de Pikine-Guédiawaye de lancer une procédure.
Selon nos confrères de Libération, le parquet justifie cette décision par l’implication de Niang dans plusieurs autres affaires similaires, déjà transmises à la justice.
La brigade de recherches de Keur Massar l’avait déjà convoqué dans un dossier identique. Là aussi, il avait remboursé les fonds perçus pour éviter les poursuites. Mais les plaintes se sont multipliées. Les autorités judiciaires ont décidé de sévir.
Le parquet estime que le remboursement ne suffit pas à effacer la gravité des faits ni à empêcher d’éventuelles poursuites pénales. Les signalements successifs ont fini par convaincre les enquêteurs que le mode opératoire était récurrent.
avec le SOLEIL
En effet, Habib Niang, puisqu'il s'agit de lui, tombé dans la nasse des limiers de la Division des Investigations Criminelles , auditionné avant d'être placé en positon de garde à vue, a été déféré au tribunal de Guédiawaye.
Au moment où ces lignes sont écrites, il se trouve dans la cave du parquet en attendant son face à face avec le maitre des poursuites (entendez le procureur ).
Il est poursuivi pour escroquerie foncière présumée.
Les faits concernent une vente de terrain fictif. Même si Habib Niang a restitué l’argent au plaignant, cela n’a pas empêché le procureur de la République près le tribunal de Pikine-Guédiawaye de lancer une procédure.
Selon nos confrères de Libération, le parquet justifie cette décision par l’implication de Niang dans plusieurs autres affaires similaires, déjà transmises à la justice.
La brigade de recherches de Keur Massar l’avait déjà convoqué dans un dossier identique. Là aussi, il avait remboursé les fonds perçus pour éviter les poursuites. Mais les plaintes se sont multipliées. Les autorités judiciaires ont décidé de sévir.
Le parquet estime que le remboursement ne suffit pas à effacer la gravité des faits ni à empêcher d’éventuelles poursuites pénales. Les signalements successifs ont fini par convaincre les enquêteurs que le mode opératoire était récurrent.
avec le SOLEIL