Mbour est sous le choc après un drame survenu ce week-end au quartier Zone Sonatel. Une banale dispute autour d’un ballon a viré au cauchemar, coûtant la vie à Issa Kadam, un adolescent de 17 ans, poignardé par son propre ami, S.C., âgé de 16 ans.
Tout est parti d’un match de football entre jeunes du quartier. À la fin de la rencontre, les deux équipes se disputaient la possession du ballon. La tension est montée d’un cran, puis une violente bagarre a éclaté. C’est alors que S.C. s’est dirigé calmement vers sa moto, a sorti un petit couteau qu’il avait acheté pour 100 F CFA, avant de revenir et de planter l’arme en plein thorax de son camarade Issa Kadam.
La scène a horrifié les témoins présents. Malgré une évacuation en urgence à l’hôpital, Issa n’a pas survécu à sa blessure.
Alertées, les forces de l’ordre dirigées par le commissaire central Bara Niang sont rapidement intervenues. Le jeune meurtrier a été appréhendé et placé en garde à vue. Une enquête est en cours pour faire toute la lumière sur cette tragédie.
Ce drame relance le débat sur la violence juvénile et la banalisation des armes blanches dans l’espace public. Dans le quartier, familles et voisins pleurent un jeune fauché en pleine jeunesse pour une raison aussi dérisoire qu’un ballon.
dakaractu
Tout est parti d’un match de football entre jeunes du quartier. À la fin de la rencontre, les deux équipes se disputaient la possession du ballon. La tension est montée d’un cran, puis une violente bagarre a éclaté. C’est alors que S.C. s’est dirigé calmement vers sa moto, a sorti un petit couteau qu’il avait acheté pour 100 F CFA, avant de revenir et de planter l’arme en plein thorax de son camarade Issa Kadam.
La scène a horrifié les témoins présents. Malgré une évacuation en urgence à l’hôpital, Issa n’a pas survécu à sa blessure.
Alertées, les forces de l’ordre dirigées par le commissaire central Bara Niang sont rapidement intervenues. Le jeune meurtrier a été appréhendé et placé en garde à vue. Une enquête est en cours pour faire toute la lumière sur cette tragédie.
Ce drame relance le débat sur la violence juvénile et la banalisation des armes blanches dans l’espace public. Dans le quartier, familles et voisins pleurent un jeune fauché en pleine jeunesse pour une raison aussi dérisoire qu’un ballon.
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