
L’enquête sur la mort suspecte de quatre talibés à Thiénaba s’accélère. La brigade de gendarmerie de Kébémer, en charge de l’affaire, se trouve devant trois pistes qui pourraient faire éclater la vérité sur les circonstances des décès successifs de Pape Ndiassé Mbengue, Fallou Fall, Cheikh Oumar Guèye et Modou Dièye, survenus après consommation des fruits d’une mystérieuse plante.
Une : L’Observateur informe que les enquêteurs ont procédé à l’arrestation de M. Seck, «le suppléant du maître coranique» de l’école des quatre victimes. Ce dernier est poursuivi pour «mise en danger de la vie d’autrui, homicide involontaire et ouverture d’une école coranique sans autorisation administrative», rapporte le journal. Qui ajoute que sa garde à vue a été prolongée et qu’il aurait déclaré au cours de son audition que la plante suspectée se nomme «mbante mare».
Deux : la même source renseigne que le Centre national d’identification criminelle (CNIC) de la gendarmerie nationale, mis à contribution par les enquêteurs, ont effectué des prélèvements sur la plante en question. Ceux-ci «seront envoyés à l’institut Pasteur pour en déterminer le degré de toxicité», complète le quotidien d’information du Groupe futurs médias.
Et trois : les résultats des analyses de l’institut Pasteur devraient être comparés à ceux de l’autopsie des corps des talibés, qui, selon L’Observateur, «devrait être réalisée aujourd’hui [jeudi 15 mai] à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff».
seneweb
Une : L’Observateur informe que les enquêteurs ont procédé à l’arrestation de M. Seck, «le suppléant du maître coranique» de l’école des quatre victimes. Ce dernier est poursuivi pour «mise en danger de la vie d’autrui, homicide involontaire et ouverture d’une école coranique sans autorisation administrative», rapporte le journal. Qui ajoute que sa garde à vue a été prolongée et qu’il aurait déclaré au cours de son audition que la plante suspectée se nomme «mbante mare».
Deux : la même source renseigne que le Centre national d’identification criminelle (CNIC) de la gendarmerie nationale, mis à contribution par les enquêteurs, ont effectué des prélèvements sur la plante en question. Ceux-ci «seront envoyés à l’institut Pasteur pour en déterminer le degré de toxicité», complète le quotidien d’information du Groupe futurs médias.
Et trois : les résultats des analyses de l’institut Pasteur devraient être comparés à ceux de l’autopsie des corps des talibés, qui, selon L’Observateur, «devrait être réalisée aujourd’hui [jeudi 15 mai] à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff».
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