" À travers le privilège rare qui m'a été accordé, j'ai eu l'honneur exquis d'accueillir la plupart des personnalités de la politique sénégalaise, pour les uns. Pour d'autres, j'ai engagé des conversations passionnantes et tenu des échanges intéressants dans la perspective de la présidentielle de 2024. Ma première conclusion est la suivante : la victoire au premier tour se dresse comme un défi insurmontable. Même la candidature du président Macky Sall n'aurait guère facilité la victoire au premier tour".
Qu'est-ce qui fonde une telle conviction ?
Il nous répond en ces termes : "J'aime à rappeler la loi de la gravité électorale. Elle se résume ainsi : lorsque les candidats ne croisent pas le fer avec le président sortant, le scrutin impose un second tour d'office. Après avoir observé une centaine d'élections présidentielles dans le monde, nous n'avons trouvé que de rares exceptions près. Dans cet éclat de lucidité, pour le pouvoir et l'opposition, un impératif clair se profile : il faut bâtir, rassembler, fusionner et fédérer les énergies pour tisser des alliances de forces majeures victorieuses au second tour. Alors voici venue l'heure de la gouvernance de consensus".
Rendez-vous dans 200 jours pour le savoir.
Qu'est-ce qui fonde une telle conviction ?
Il nous répond en ces termes : "J'aime à rappeler la loi de la gravité électorale. Elle se résume ainsi : lorsque les candidats ne croisent pas le fer avec le président sortant, le scrutin impose un second tour d'office. Après avoir observé une centaine d'élections présidentielles dans le monde, nous n'avons trouvé que de rares exceptions près. Dans cet éclat de lucidité, pour le pouvoir et l'opposition, un impératif clair se profile : il faut bâtir, rassembler, fusionner et fédérer les énergies pour tisser des alliances de forces majeures victorieuses au second tour. Alors voici venue l'heure de la gouvernance de consensus".
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